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    Stars At Noon
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    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    142 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juin 2023
    Une grande chatte efflanquée ( la fille d'Andie Mc Dowell ) promène ses os dans les rues et hotels du Nicaragua... elle rencontre un très très beau blond... tous deux ont chaud et ils aiment les dollars et la clim ... voilà vous pouvez vous vanter d'avoir vu le dernier film primé à Cannes mais c'est dommage : vous n'avez pas vu le très très beau blond:))
    Jipéhel
    Jipéhel

    30 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2023
    Des étoiles à midi

    Grand Prix au Festival de Cannes 2022 ??? On se demandait pourquoi le film de Claire Denis a mis plus d’un an pour arriver sur nos écrans. 137 très très longues minutes, on comprend pourquoi Ad Vitam - pourtant un des distributeurs les plus avisés du moment -, a tant hésité à sortir ce film inutile en forme de piège poisseux. Une jeune journaliste américaine en détresse bloquée sans passeport dans le Nicaragua d’aujourd’hui en pleine période électorale rencontre dans un bar d’hôtel un voyageur anglais. Il lui semble être l’homme rêvé pour l’aider à fuir le pays. Elle réalise trop tard qu’au contraire, elle entre à ses côtés dans un monde plus trouble, plus dangereux. Adapté du roman américain éponyme de Dennis Johnson, c’est un ratage complet d’un ennui total où quand ledit piège poisseux se referme aussi sur le spectateur. Passez votre chemin.
    Claire Denis, qui a 75 ans, a longtemps été la 1ère assistante des plus grands, Costa-Gravas, Sautet, Rouffio, Enrico, Wenders, - Les Ailes du désir, Paris Texas, - avant de se lancer dans la réalisation. On doit lui reconnaître qu’elle sait faire, cadrer, monter, éclairer et surtout filmer le désir et les corps. Le problème, comme souvent, ici, c’est le scénario… à propos quel scénario ? Il tient sur un timbre poste… et encore. On ne comprend quasiment rien aux péripéties molles et alanguies… - faut dire, il fait tellement chaud… -, qui jalonnent ce qui devrait être une fuite éperdue vers la liberté. Hélas, on passe plus de temps dans les bars et surtout les chambres de motels minables à débiter des dialogues insipides – juste une perle parmi beaucoup d’autres : l’héroïne a près une des nombreuses parties de jambe en l’air qui jalonnent ce nanar Ta peau est si blanche. C’est comme si j’avais été baisée par un nuage. (sic) On ne sait pas qui sont cet homme et cette femme, pourquoi ils sont coincés dans ce pays d’Amérique centrale qui ne dit pas son nom, et quelles sont les véritables interactions des personnages secondaires. Donc, on picole et on baise beaucoup, on transpire encore plus, et le spectateur que je suis, baîlle à s’en décrocher la mâchoire et à regretter le prix du billet d’entrée dans la salle heureusement climatisée. A ranger au rayon des nanars de l’année.
    La fille de la charismatique Andie MacDowell s’appelle Margaret Qualley, déjà remarquée chez Tarantino, dans Once upon time in Hollywood, est belle à faire se damner un ayatollah, et reste la seule attraction de ce film. Elle m’a irrésistiblement fait penser à la jeune Adjani d’Un été meurtrier. Quant à son partenaire, Joe Alwyn, il est fade à souhait. Benny Safdie, Dannie Ramirez, Nick Romano, Stefan Proano… jouent les utilités sans grande conviction, accablés qu’ils sont par la chaleur… et le scénario. Bon, je ne vais pas en rajouter, ce serait peine perdue, vous avez compris, je n’ai pas beaucoup aimé. Quant on pense que ce film a partagé le Grand Prix avec l’excellent Close du belge Lucas Dhont… c’est à n’y rien comprendre.
    Kat's eyes
    Kat's eyes

    33 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juin 2023
    C'est un film pas désagréable qui suit un couple hypnotique au casting réussi, accompagné d'une belle musique lancinante. Cependant, c'est trop long et lent et surtout le scénario est incompréhensible. Le but n'était visiblement pas de faire dans le spectaculaire mais plutôt dans l'intime. C'est un parti pris radical au final dommageable faisant du film une sorte de rêve bizarre, pas malsain mais juste étrange, oublié si tôt sorti de la salle.
    Dans le genre érotico-romantico-espionnage au scénario solide, mieux vaut revoir le sublime Möbius.
    Masaki Himeno
    Masaki Himeno

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 juin 2023
    Visions du monde macho, exotisme traité à la façon occidentale.

    La personnage principale très vivante mais ça suffit pas pour sauver le film qui n'a pas l'histoire
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    348 abonnés 661 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juin 2023
    « Stars at Noon » la seconde aventure américaine de Claire Denis devrait sortir en mai 2023 sur les écrans français mais a déjà bénéficié d’une sortie outre-Atlantique et m’a permis de me faire mon opinion suite à des avis critiques mitigés lors de sa présentation au Festival de Cannes.
    L’action se situe en 1984, quand Trish, une jeune journaliste américaine en détresse bloquée sans passeport dans le Nicaragua en pleine période électorale rencontre dans un bar d'hôtel Daniel, un voyageur anglais. Il lui semble être l'homme rêvé pour l'aider à fuir le pays.
    Sur le papier on peut se dire cette histoire n’est pas très révolutionnaire et que des films comme « Salvador » ont déjà fait le boulot.
    Sur écran, la désillusion nous gagne rapidement, en raison de la légèreté avec laquelle Claire Denis traite d’un pan de l’histoire récente, mais également en raison du manque d’épaisseur des rôles principaux interprété par Margaret Qualley (fille de Andy Mc Dowell) et Joe Alwyn (bogosse de service).
    Claire Denis filme toujours admirablement les corps et l’intimité de ses personnages mais cela ne suffit malheureusement pas à installer une atmosphère.
    Ni suspens, ni message politique – un comble car c’est probablement un des objectifs du film – ne se dégage de ces 2h07 min d’ennui.
    Félix MASSON
    Félix MASSON

    27 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2023
    Le film rayonne par une histoire d'amour puissante entre ces deux personnages au fond du trou, un peu caricaturaux et excessifs mais profondément fébriles d'humanité noire. L'interprétation des acteurs (même si Djo n'était à l'origine pas l'acteur choisi (coucou Pattinson)) est clairement le plus du film. Ça peut paraître grossier mais étrangement ça m'a fasciné. Le fond politique et social (COVID, crise sociale et politique, crise météorologique) est lourd et par sa mise en scène on le constate, ne le comprend pas forcément. Le fait que ce paysage ne soit pas très clair contribue à cet espèce de fatigue et de lassitude constante qu'on peut ressentir au visionnage. Le film a des grosses longueurs qui me rappellent presque un style documentaire. En effet, des scènes pourraient disparaître, d'autres être raccourcis. Ça aurait permis au récit d'être plus clair, poignant, dynamique et efficace. Mais quand on est dedans, on apprécie ces longueurs qui nous font vivre encore plus l'humanité du duo. Ces longueurs donnent vie à nos héros.
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 juin 2023
    Trish Johnson (Margaret Qualley) est une journaliste américaine coincée au Nicaragua, en pleine crise du Covid. Les autorités lui ont confisqué son passeport après qu'elle a écrit un reportage sur les exactions commises dans le nord du pays et refusent de le lui rendre. Trish n'a en tout état de cause plus assez d'argent pour se payer son billet de retour. Elle croit trouver une planche de salut en rencontrant un homme d'affaires anglais, Daniel DeHaven (Joe Alwyn), au bar de l'hôtel Intercontinental. Mais elle réalise vite que Daniel est une personnalité louche, suspectée par la CIA qui le file d'être de mèche avec les autorités nicaraguayennes.

    "Stars at Noon" est l'adaptation du livre éponyme, écrit en 1986 par Daniel Johnson qui racontait son séjour chaotique dans le Nicaragua sandiniste en pleine guerre civile deux années plus tôt. Curieusement, Claire Denis n'opte pas pour une reconstitution historique dans les 80ies mais situe l'action de nos jours, avec des téléphones portables, des liaisons Internet et des masques pour se protéger du Covid. Le résultat en est paradoxal, sinon bancal qui ancre définitivement cette petite république centraméricaine, qui a vaillamment pansé ses cicatrices, dans son passé et dans une guerre civile qui ne passe pas.

    Mais là n'est pas le principal défaut du film qui en compte un autre, beaucoup plus rédhibitoire.
    "Stars at Noon" a en effet tous les atours d'un film d'espionnage, une sorte de "Journaliste à Panama" façon John Le Carré ou de "Notre agente à La Havane" façon Graham Greene avec son héroïne sexy en diable et son héros plus mystérieux que nature. Mais "Stars at Noon" nous frustre du plaisir qu'il nous promet en oubliant en cours de route son intrigue qui s'enlise dans la jungle costaricaine.

    Claire Denis semble prendre tant de plaisir à filmer les corps sensuels de ses deux héros qu'elle en oublie son scénario en chemin. On la comprend volontiers. Margaret Qualley - révélée dans la série "The Leftovers", à mon sens la meilleure série de la dernière décennie, qui accomplissait une prestation bluffante dans la pub pour Kenzo World et dont les pieds dans "Once Upon a Time... in Hollywood" ont enflammé mes paraphilie podophiles (avec un o) - y est éblouissante. Je prends le pari qu'elle rejoindra bientôt les rangs des plus grandes stars de Hollywood, quelque part entre Nicole Kidman et Tilda Swinton.
    En revanche, Joe Alwyn est nettement moins convaincant. D'ailleurs le rôle a été proposé à Robert Pattinson, qui y aurait été parfait (et que Claire Denis avait fait jouer dans "High Life") puis à Taron Egerton. Alors que les deux héros partagent la tête de l'affiche et le même lit, dans des scènes qui se voudraient d'un érotisme torride, aucune alchimie ne naît entre eux pour enflammer la pellicule.
    velocio
    velocio

    1 319 abonnés 3 151 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 juin 2023
    Adaptation du roman « Des étoiles à midi » du journaliste et écrivain américain Denis Johnson, livre sorti en 1986 dans sa version anglophone sous le titre « The stars at noon » et dont l’action se déroule au Nicaragua en pleine révolution sandiniste, le film, censé se passer au Nicaragua en 2021 et tourné en langue anglaise, a en fait été tourné au Panama. En fait, ce changement de décors n’a strictement aucune importance. Ce qui, par contre, a beaucoup d’importance, c’est que le film s’est beaucoup trop écarté du roman au point d’avoir remplacé les enjeux politiques qu’il décrivait par des scènes à caractère sexuel inexistantes dans le roman, c’est donc le fait qu’on n’arrive jamais à savoir si on est dans un film d’espionnage sur fond d’histoire d’amour ou d’un film sur une relation amoureuse sur fond d’intrigue d’espionnage, c’est le manque de consistance des personnages qui sont censés affronter des dangers mortels mais n’en oublient pas pour autant de faire l’amour aussi souvent que possible, c’est la vacuité navrante des dialogues, tout cela aboutissant à un manque d’intérêt pour ce que l’on voit et ce qu’on entend, les interprètes faisant ce qu’elles et ils peuvent face à ce véritable naufrage. Par contre, comme c’est devenu une habitude dans les films de Claire Denis, c’est dans la musique du groupe Tindersticks qu’on arrive à trouver un point positif. critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-express-stars-at-noon/
    Joël DI DOMIZIO
    Joël DI DOMIZIO

    14 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2023
    Vu en avant première le 9 Mai au cinéma Utopia d' Avignon, car la sortie est reportée au 14 Juin.
    Beaucoup de zones de mystères dans le déroulement de l'histoire.
    L'actrice principale crève l'écran et les autres rôles principaux s'en sortent bien.
    Le film est sorti aux States à l'automne dernier et a été un flop commercial.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2022
    C’est le second film de Claire Denis à sortir sur les écrans cette année après le déjà pas terrible « Avec amour et acharnement ». Et comme à son habitude elle change totalement de registre sur la forme même si sur le fond ses obsessions et thématiques semblent avoir quelques similitudes. Elle passe donc d’un appartement bourgeois dans la grisaille parisienne qui accueillait un triangle amoureux et adultère à une rencontre sulfureuse au Nicaragua nappée de coup d’État et de magouilles financières et politiques. Seule constante : c’est peut-être la seule cinéaste à aimer autant illustrer le Covid et ses mesures à l’écran : masques, tests, contrôles sanitaires, ... Merci Claire, mais non merci, on ne paye pas pour voir des acteurs sans expression et voir ce qu’on a subi pendant deux ans! Et elle passe ici de la langue de Molière à celle de Shakespeare pour une œuvre toujours aussi âpre et peu aimable qui a reçu le Grand Prix du jury à Cannes cette année. Une récompense qui est tout de même la seconde plus prestigieuses après la Palme d’or. Un prix reçu ex-aequo avec le « Close » de Lukas Dhont, autrement plus apprécié des festivaliers. A se demander si cette récompense n’est pas la preuve du copinage entre la cinéaste et son acteur fétiche, Vincent Lindon, qui était alors le président du jury de cette édition 2022. Car franchement, on ne voit clairement en quoi ce film mérite un tel privilège. Sans être mauvais ou détestable, il ne recèle rien de transcendant qui mérite une reconnaissance de la sorte, que ce soit sur le fond ou sur la forme. « Des étoiles à midi » est interminable, épuisant et n’a pas vraiment de fond assez fort qui lui permette de prétendre à un prix politique. En effet, hormis une vague et timide critique des intérêts américains dans les pays d’Amérique centrale et des petits arrangements politico-financiers entre pays riches et pauvres quant à leurs ressources, rien de bien excitant sous le soleil nicaraguayen à se mettre sous la dent.

    Au niveau du cinéma pur et simple, « Des étoiles à midi » a certaines qualités que l’on ne peut nier. L’atmosphère étouffante de la moiteur de l’Amérique centrale transpire (c’est le cas de le dire) à travers l’écran. Cette moiteur languissante a la qualité de son défaut. Assortie de nombreuses longueurs et d’un rythme flirtant souvent avec l’ennui, elle n’en demeure pas moins envoûtante par moments. Denis sait également emballer quelques séquences atmosphériques comme celle dans ce club vide sur la douce et tout aussi envoûtante mélodie de Tindersticks. Quant au côté sexuel un peu dépassé souvent reproché au film, c’est un faux problème, les scènes de sexe n’étant pas si nombreuses ni explicites que cela et collant parfaitement au coup de foudre entre les deux protagonistes. Cependant, le film se traîne inutilement et si l’histoire d’amour nous emporte par intermittences, le versant thriller politique ou d’espionnage (on ne sait plus trop) ne convainc pas du tout. Trop nébuleux, perclus de zones d’ombres et avançant par à-coups, il désintéresse de plus en plus. Pour terminer, le couple formé par Margaret Qualley et Joe Alwyn est probant, on ne peut nier qu’il l y a une certaine alchimie entre eux. Mais lui manque un peu de charisme et de prestance tandis qu’elle en fait un peu trop dans la désinvolture et le laisser-aller au vu de la situation. Bref, « Des étoiles à midi » est inabouti et parfois épuisant mais tout n’y est pas à jeter. Ce qui est sûr c’est qu’il ne méritait pas son prix cannois au vu de la sélection.

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    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2022
    Après l'insupportable Avec amour et acharnement et sans la présence de Christine Angot à l'écriture du scénario (ouf !), Stars at noon avait de bonnes chances de faire remonter Claire Denis dans notre estime. Hélas, non, cette histoire imperturbable de sérieux, dans un Nicaragua de pacotille, n'a aucune substance, son intrigue ne semblant nullement intéresser une réalisatrice qui cherche plutôt à créer une ambiance poisseuse de pré-révolution, autour de ses deux personnages principaux. spoiler: Hélas, encore, ceux-ci, une prétendue journaliste américaine et un vague homme d'affaires britannique, sont totalement dépourvus d'épaisseur et surtout de crédibilité. Leur histoire d'amour, qui passe par quelques joutes sexuelles fastidieuses, n'a pas non plus d'essence dans le moteur, fade au possible du fait du manque d'alchimie criant entre les deux tourtereaux bloqués en Amérique centrale. Claire Denis aime à filmer le visage d'ange et le corps maigre de Margaret Qualley mais même de cela, on se lasse, autant que de ses pérégrinations ou de ses tentatives désespérées pour récupérer son passeport et des dollars.
    D'une certaine manière, Stars at noon rappelle les productions exotiques et coloniales que le cinéma français produisait en quantité dans les années 30 et 40 (L'homme du Niger et Malaria, pour ne citer que deux exemples). Dépaysement naïf, intrigue stupide ou nébuleuse et personnages sans consistance : n'aurait-on pas pu demander à Christine Angot d'intervenir à l'écriture, histoire de rendre l'entreprise encore plus vaine ?
    Thomas Leray61
    Thomas Leray61

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 septembre 2022
    Comment dire,
    Ce film est misérable ne méritant aucunement le grand prix du festival de Cannes.
    Toutefois le bonhomme faisant l'avion en fin de film était plutôt hilarant.
    A part cela, tout est décevant et dénué d'intérêt.
    Heureusement que je ne puisse pas mettre la note de 0 la note de 0.5 étant extrêmement généreuse.
    Bon courage à ceux qui vont voir le film dans l'avenir.
    Une honte !
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    146 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juin 2022
    L'intrigue de départ était prometteuse. Les scènes d'amour sont joliment tournées. Le film, par contre, est lent et ne nous offre que peu de scènes dont on se souviendra. La fin arrive sans que l'intrigue décolle vraiment.
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juin 2022
    Un ratage sans appel pour Claire Denis, qui propose une caricature de son cinéma. On imaginerait même la présence de Michel Hazanavicius derrière la caméra, pour une parodie des séries B d'aventures des années 80. Quelle mouche a piqué le jury du Festival de Cannes 2022 pour avoir décerné le Grand Prix à ce film manqué ?
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mai 2022
    "Il fait chaud, non ?" / "Oh ben alors, on va s'envoyer en l'air de façon totalement gratuite, non ?". Bienvenue dans Stars at Noon, un film redondant à l'extrême, sans âme aucune ni enjeu, dont la longueur de 2h20 est plus étouffante que le sauna qu'il dépeint en boucle. Margaret Qualley (oui, la brillante star de la série Maid) et Joe Alwyn peuvent donner de leur personne (de leur corps suant, pour le coup), ils ne peuvent malheureusement pas sauver les meubles de ce scénario creux, plus intéressé par le thermostat et la monnaie courante ("T'as pas des dollars ?") que par l'approfondissement de ses personnages, commençant comme les petites tribulations d'une femme paumée en Amérique Latine autoritaire (un portrait de dictature brouillon et mal exploité) qui tourne au film de fuite à deux qui piétine, lambine, et ne trouve jamais sa fin (on est ressorti en se demandant s'il ne manquait pas de pellicule...). Une partie de pur plaisir (attention, ironie) qui s'accroît d'autant plus dans des scènes qui ressemblent plus à des tests de self-control (la scène de la fête, bruyante à l'excès, inesthétique au possible, et longue, tellement longue...). Dans la salle du Grand Palais, le public s'est étiolé au fur et à mesure de la séance, et il n'était pas rare d'entendre alterner les discussions creuse de l'écran et les soupirs assoupis des rangées jouxtant la nôtre ("Bonne sieste, on vous envie."). Avec ses délires obsessionnels sur la recherche de la bonne monnaie de change ("T'es sûr, t'as pas des dollars ?") et de la bonne température ("T'es sûr qu'il fait pas chaud, là ?"), Stars at Noon zappe complètement l'étude de ses deux protagonistes qui semblent aussi faux que leur passeport, nous fait regretter même les médiocres films de fuite, et nous plonge dans un état soporifique contre lequel il est dur de lutter. Parce que nous, on a la clim.
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