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Votre avis sur Les Banshees d'Inisherin ?
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Film profond, triste et drôle, servi par d'excellents acteurs. J'ai particulièrement apprécié qu'il oscille entre réalisme et fable, histoire de culs terreux et aspiration métaphysiques, galerie de portraits variés et touchants. Derrière chaque vision du monde, qu'elle soit portée par l'aspirant artiste, son ex ami de comptoir, la soeur, le jeune idiot du village, on retrouve une part de nous mêmes
Un film comme j’aime, tout en ambiance et atmosphère, avec une photographie qui sublime les paysages, et des acteurs magnifiques qui se rendent coup pour coup. Colin Farrell que je n’avais pas vu depuis longtemps est excellent dans son rôle de faux simplet.
The Banshees of Ineshirin est un film contemplatif sur la solitude les amitiés de complaisances ; sur le but et la vacuité de la vie ; sur la dépression.
Tout ceci exacerbé par l'endroit où se passe le récit. Soit, une île imaginaire ancrée dans une Irlande profonde, suspendue dans le temps et dans l'espace où rien ne semble permettre aux habitants de pouvoir s'élever !
Accru également par ses personnages simples et caricaturaux à la fois.
En bémol, certains traits et faits, trop poussés peuvent parfois nuire à la narration.
En bref :
Le récit est efficace, parsemé d'un humour noir et caustique ; la photographie est superbe et les acteurs portent le film grâce à une interprétation impeccable, sobre et juste.
Tout ceci exacerbé par l'endroit où se passe le récit. Soit, une île imaginaire ancrée dans une Irlande profonde, suspendue dans le temps et dans l'espace où rien ne semble permettre aux habitants de pouvoir s'élever !
Accru également par ses personnages simples et caricaturaux à la fois.
En bémol, certains traits et faits, trop poussés peuvent parfois nuire à la narration.
En bref :
Le récit est efficace, parsemé d'un humour noir et caustique ; la photographie est superbe et les acteurs portent le film grâce à une interprétation impeccable, sobre et juste.
Ciel grisâtre et mélancolie accompagne cette longue descente en enfer entre deux amis jusqu'au-boutiste... Comprenne qui pourra l'utilité et le sens de ce film, pour ma part, je n'y trouve aucun intérêt. La guerre civile irlandaise est à leur porte, on le sait, on le voit mais pourquoi situer le film à cette période ci si le sujet est éludé ensuite ? Les acteurs sont fantastiques même si Collin Farrel surjoue le simplet, Kerry Condon la sœur du héros est impressionnante de justesse mais que l'ennui est ferme sur cette ile balayé par le vent. Les seuls soubresauts qui nous sortent de notre léthargie restent ces lancers de doigts aussi absurdes que drôles.
C'est poétique, c'est surprenant, c'est drôle, c'est triste, c'est bien joué, c'est original, c'est marginal, qu'est ce que vous voulez de plus?? Un kebab avec Salade, tomate, Oignons sauce blanche, algerienne??? J'en ai pas sur moi, je n'ai même pas l'équipement pour faire la broche, je ne suis qu'un garçon de 23 ans qui fait des critiques de films et ce film là mérite bien une critique positive car il n'a pas besoin d'un budget de 200M pour être divertissant!
God bless irish people
God bless irish people
"Les banshees d'Inisherin" est une petite pépite de comédie noire signée Martin McDonagh. Colin Farrell et Brendan Gleeson étaient des amis inséparables lorsque ce dernier signifie au premier qu'il le trouve "creux". De cette brouille va découler un sentiment d'abandon chez Padraic et donner lieu à des scènes drôles avec un parfum de poésie. Les personnages hauts en couleur de cette île se retrouvent souvent au pub local à la recherche de ragots. Mélange des genres, cette fable qui flirte avec l'absurdité est teintée d'une mélancolie prégnante à l'image de la soeur qui veut fuir cette sinistrose ambiante. Prix du scénario et de l'interprétation masculine pour Colin Farrell à la Mostra 2022, ce film est caustique et brillant.
Ce conte de la folie ordinaire (insulaire...?) teinté d'absurde, de poésie et de rugosité fait mouche. Drôle, triste et beau tout à la fois, il nous gratifie d'une galerie de personnages touchants, aux tracas et interrogations souvent plus métaphysiques qu'il n'y paraît et interprétés par un casting de haute volée au summum de son art. Poignante réussite !
Une île remplie de consanguins, tous aussi plus tarés les uns que les autres, voit deux anciens amis se brouiller en raison d'une saute d'humeur d'un des deux (posons les choses comme celà). Le scénario est quand même très lunaire, et confirme que les personnages (et peut-être même le scénariste) sont bel et bien limités intellectuellement, .
spoiler:
Pourquoi se mutiler ? D'où lui vient cette idée ? C'est débile. Et puis pourquoi un âne mourrait-il après avoir manger un doigt ? Ça n'a pas de sens.
On passe quand même un bon moment grâce au très beau jeu des acteurs et des images splendides, aussi bien les intérieurs que les paysages. Je n'en garderai pas un souvenir impérissable, mais je le recommande quand même si vous aimez les histoires glauques.
On passe quand même un bon moment grâce au très beau jeu des acteurs et des images splendides, aussi bien les intérieurs que les paysages. Je n'en garderai pas un souvenir impérissable, mais je le recommande quand même si vous aimez les histoires glauques.
Un film extraordinaire. Prenant et poignant. Une réflexion sur la gentillesse, l'amitié et l'amour dans un fond de guerre civile en Irlande. De très bons acteurs qui mènent une intrigue au départ peu compréhensible mais qui s'ancre parfaitement par la suite dans une réalisation maîtrisée et des décors magnifiques. Le film n'est cependant pas pour tout le monde, en effet, celui-ci peut dériver dans le glauque et la noirceur.
Je ne m'attendais pas à aimer autant ce film. Durant les premières minutes, on sait à quel film on a affaire : Film d'auteur, rythme lent accompagnée d'une réalisation très souvent mise en avant avec un scénario très original et rafraichissant ; soit on accroche, soit on accroche pas : pour ma part j ai accroché. Le film dégage une émotion si spéciale qui la rend si unique en son genre. C est magnifique d un point de vue de la photographie, de la réalisation et bien sûr du scénario. Belle performance des acteurs/actrices dans ce film si spéciale. Très bon ! Un des meilleurs films de l année 2023
Guillaume
"LES BANSHEES D'INISHERIN" s'appuie sur deux piliers : la qualité de sa mise en scène et ses interprètes de haut vol.
C'est un velouté de subtilité comico-dramatique, une écriture pas toujours des plus ciselées, mais foncièrement à propos.
Peu accessible pour un public non averti.
C'est un velouté de subtilité comico-dramatique, une écriture pas toujours des plus ciselées, mais foncièrement à propos.
Peu accessible pour un public non averti.
Film attachant, décor envoutant, très bon jeu des deux protagonistes. C'est un bon film sur la dureté et le réalisme des relations humaines. Les paysages sont somptueux, tout comme le caractère des personnages et l'humour qui s'en dégage. A revoir !
Pour sa 4ème réalisation, Martin Mc Donagh, auteur inclassable, poursuit sa quête de sens à travers un monde absurde.
Ici, l'histoire a pour cadre une île proche des côtes de la "Grande Île" d'Irlande, en pleine guerre civile (l'action se déroule en 1923). Les paysages à couper le souffle cachent difficilement un ennui palpable dont l'un des deux protagonistes souhaite s'échapper tandis que l'autre y puise sa gentillesse naturelle, dans l'immobilisme d'un environnement pourtant en pleine mutation. spoiler: Au final, aucun des deux ne pourra sortir indemne et satisfait : c'est sans doute le message porté par ce film.
Si le film est lent, on ne s'ennuie pas. La tension va croissante, la beauté des images et de la musique balaie la toile comme une tempête suivie des rayons d'un soleil généreux et, surtout, l'interprétation des principaux acteurs (Brendan Gleeson en violoniste bougon, Colin Farrell en fermier naïf, Kerry Condon en soeur lettrée et Barry Keoghan en idiot du village) et les dialogues ciselés font de cette oeuvre une réussite.
Ici, l'histoire a pour cadre une île proche des côtes de la "Grande Île" d'Irlande, en pleine guerre civile (l'action se déroule en 1923). Les paysages à couper le souffle cachent difficilement un ennui palpable dont l'un des deux protagonistes souhaite s'échapper tandis que l'autre y puise sa gentillesse naturelle, dans l'immobilisme d'un environnement pourtant en pleine mutation. spoiler: Au final, aucun des deux ne pourra sortir indemne et satisfait : c'est sans doute le message porté par ce film.
Si le film est lent, on ne s'ennuie pas. La tension va croissante, la beauté des images et de la musique balaie la toile comme une tempête suivie des rayons d'un soleil généreux et, surtout, l'interprétation des principaux acteurs (Brendan Gleeson en violoniste bougon, Colin Farrell en fermier naïf, Kerry Condon en soeur lettrée et Barry Keoghan en idiot du village) et les dialogues ciselés font de cette oeuvre une réussite.
De la « belle esthétique » ! Ça c’est sûr.
Dans les années 20 , ces îliens portaient des pull-overs intéressants., des chemises originales et des vestures qui semblent assez anachroniques! Plus proches de l’îlien -Hollywood que d’une fruste réalité. Déjà, ça énerve.
Ensuite, de l’humour , oui, parfois , mais du cynisme: beaucoup ! De l’humanisme , bien peu.
On comprend pourquoi l’auteur a fui ses origines et s’en mord parfois les doigts. Et les raisons de la fuite ,même travesties sous formes mythologiques, voire mythos tout court, ne sont pas sympathiques.
Rien à voir avec l’Humain Beckett. Rien.
Comme « retour aux origines » …ça résonne plus comme de la traîtrise. Vanitas vanitatis : Une œuvre.
Dans les années 20 , ces îliens portaient des pull-overs intéressants., des chemises originales et des vestures qui semblent assez anachroniques! Plus proches de l’îlien -Hollywood que d’une fruste réalité. Déjà, ça énerve.
Ensuite, de l’humour , oui, parfois , mais du cynisme: beaucoup ! De l’humanisme , bien peu.
On comprend pourquoi l’auteur a fui ses origines et s’en mord parfois les doigts. Et les raisons de la fuite ,même travesties sous formes mythologiques, voire mythos tout court, ne sont pas sympathiques.
Rien à voir avec l’Humain Beckett. Rien.
Comme « retour aux origines » …ça résonne plus comme de la traîtrise. Vanitas vanitatis : Une œuvre.
des marches incessantes dans ce lieu hors Monde.
des invectives des amitiés et des animaux attachnts .
Excellent film qui peut paraitre
long et lent parfois.
Que ces personnages sont beaux malgré parfois une certaine aridité .
Colin Farel est excellent parmi les autres excellents
des invectives des amitiés et des animaux attachnts .
Excellent film qui peut paraitre
long et lent parfois.
Que ces personnages sont beaux malgré parfois une certaine aridité .
Colin Farel est excellent parmi les autres excellents
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