Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un film formidable, drôle et incisif.
L'Obs
par François Forestier
C’est le meilleur film de l’année, haut la main. Drôle, tragique, absurde, grinçant, pathétique, tendre, ce récit d’une amitié dévorée par le temps est un blues celte, mâtiné de mélancolie nordique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Tout cela n’a aucun équivalent dans le cinéma contemporain. Inutile de chercher Inisherin sur les cartes. L’endroit n’existe pas. Cependant, dans la lumière tremblante des feux de tourbe, il peuplera désormais nos songes, nos insomnies, nos souvenirs. Osera-t-on prononcer le mot chef-d’œuvre? On osera.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
De ce simple postulat, Martin McDonagh tire une fable grinçante mais pas cynique, et une chronique d’une fulgurante humanité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Une fable noire, aussi drôle que bouleversante, sublimée par l’interprétation du duo Colin Farrell (primé à Venise) et Brendan Gleeson.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
[Une] œuvre inclassable, ébouriffante, roborative, bouleversante, formidable aurait dit Tavernier, qui donne foi dans l'art que nous défendons.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Martin McDonagh a le génie des rebondissements qui sans être rocambolesques, sont spectaculaires. Mais ils demeurent pétris de vérité, mélancoliques et finalement d’une humanité qui hisse cette allégorie au rang de leçon de vie.
Voici
par La rédaction
Une fable aussi drôle que désespérée sur l'incommunicabilité.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L'absurdité de la fin du vivre-ensemble. Pas de prêchi-prêcha, mais une tristesse écrasante et déprimante.
Culturopoing.com
par Judith Langendorff
A partir d'une simple rupture amicale, le cinéaste élabore une tragi-comédie dans laquelle le spectateur est pris dans un soubresaut d’émotions contradictoires, du rire à la tristesse, de l’empathie à l’horreur, de la confusion à la sympathie, de la pitié à l’admiration [...] "The Banshees of Inisherin" suit plus les traces d’un Samuel Beckett que d'un John Ford, avec ces deux "hommes intranquilles" rongés par leur solitude, avec une peur atroce de leur disparition.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
McDonagh met en pièces l’identité irlandaise avec un sens aigu de la tragicomédie, tout à la fois sombre, macabre, grotesque, absurde, noire, désopilante et bizarre.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Antoine Desrues
Drôle, dérangeant et bouleversant, Les Banshees d’Inisherin pénètre autant dans l’absurdité de son génial concept que dans la psyché tourmentée de ses personnages. Le plus beau film de Martin McDonagh.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un long métrage atypique, drôle et cruel, fidèle à la subtilité de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Avec un sens consommé de l’absurde et de la dérision, le cinéaste Martin McDonagh va loin dans l’exploration de la nature humaine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Inconfortable et cruel, teinté d’humour noir, brillamment maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Moins ricanant, plus mélancolique que d’ordinaire, Martin McDonagh donne à la fin de cette amitié une certaine gravité, une certaine désespérance.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Point
par Florence Colombani
Martin McDonagh revient avec une comédie sanglante qui est aussi une méditation sur l’amitié. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Cruel et hilarant, « Les Banshees d'Inisherin » est surtout un film déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
Les Banshees d’Inisherin nous accueille dans un conte théâtral, une sorte d’expérience de pensée en vase clos, aussi abstraite que littérale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Benjamin Locoge
Il se dégage une vraie poésie de ce film hors du temps, qui rappelle élégamment que les hommes doivent avant tout apprendre à vivre ensemble. Au risque, sinon, de sombrer dans la guerre et la folie destructrice.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
D’un argument très mince, qui assume son artificialité, Martin McDonagh développe une réflexion cocasse, cruelle, sur la condition humaine et le désespoir existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Magnifié par la beauté rugueuse des paysages et parfaitement interprété, notamment par Colin Farrell, le film se mue en réflexion sur le temps qui passe et la finalité de nos vies.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un scénario étonnant et subtil sur les énigmes de la condition humaine. Brendan Gleeson et Colin Farrell brillent dans leur registre respectif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une chronique sans doute un peu vaine, mais qui questionne avec pertinence notre humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Les dialogues drôles et absurdes de personnages hauts en couleur constituent l'ingrédient principal d'une comédie noire étonnante qui ne progresse que trop peu.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une comédie noire habile, à l’atmosphère étrange et jouant sur les ruptures de ton. Mais on attendait mieux de Martin McDonagh que la mise en image brillante de ce scénario malin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
L’aspiration de McDonagh à toucher du doigt un frisson métaphysique s’écrabouille sur les contours d’un scénario pachydermique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’arbitraire d’une écriture se cherchant de hautes significations se heurte à l’étroitesse du pittoresque investi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Ce pittoresque artificiel, taillé sur mesure pour une poignée de grands noms en mal de typicité, offre un écrin en toc aux sous-intrigues que le film prend très au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
[Rien] n’évolue tellement pour McDonagh : les rêves des personnages d’une vie qui surpasse les petites misères de l’île sont écrasés par les plus banales règles scénaristiques (même le départ de Siobhàn, soeur de Pádraic, ne permettra aucune envolée libératrice au film), et l’ensemble baigne dans le folklore pittoresque.
Le Parisien
par Renaud Baronian
En forçant sans cesse le trait, Martin McDonagh accouche d’un film d’une tristesse repoussante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Elle
Un film formidable, drôle et incisif.
L'Obs
C’est le meilleur film de l’année, haut la main. Drôle, tragique, absurde, grinçant, pathétique, tendre, ce récit d’une amitié dévorée par le temps est un blues celte, mâtiné de mélancolie nordique.
Le Figaro
Tout cela n’a aucun équivalent dans le cinéma contemporain. Inutile de chercher Inisherin sur les cartes. L’endroit n’existe pas. Cependant, dans la lumière tremblante des feux de tourbe, il peuplera désormais nos songes, nos insomnies, nos souvenirs. Osera-t-on prononcer le mot chef-d’œuvre? On osera.
Les Fiches du Cinéma
De ce simple postulat, Martin McDonagh tire une fable grinçante mais pas cynique, et une chronique d’une fulgurante humanité.
Ouest France
Une fable noire, aussi drôle que bouleversante, sublimée par l’interprétation du duo Colin Farrell (primé à Venise) et Brendan Gleeson.
Positif
[Une] œuvre inclassable, ébouriffante, roborative, bouleversante, formidable aurait dit Tavernier, qui donne foi dans l'art que nous défendons.
Sud Ouest
Martin McDonagh a le génie des rebondissements qui sans être rocambolesques, sont spectaculaires. Mais ils demeurent pétris de vérité, mélancoliques et finalement d’une humanité qui hisse cette allégorie au rang de leçon de vie.
Voici
Une fable aussi drôle que désespérée sur l'incommunicabilité.
CinemaTeaser
L'absurdité de la fin du vivre-ensemble. Pas de prêchi-prêcha, mais une tristesse écrasante et déprimante.
Culturopoing.com
A partir d'une simple rupture amicale, le cinéaste élabore une tragi-comédie dans laquelle le spectateur est pris dans un soubresaut d’émotions contradictoires, du rire à la tristesse, de l’empathie à l’horreur, de la confusion à la sympathie, de la pitié à l’admiration [...] "The Banshees of Inisherin" suit plus les traces d’un Samuel Beckett que d'un John Ford, avec ces deux "hommes intranquilles" rongés par leur solitude, avec une peur atroce de leur disparition.
Dernières Nouvelles d'Alsace
McDonagh met en pièces l’identité irlandaise avec un sens aigu de la tragicomédie, tout à la fois sombre, macabre, grotesque, absurde, noire, désopilante et bizarre.
Ecran Large
Drôle, dérangeant et bouleversant, Les Banshees d’Inisherin pénètre autant dans l’absurdité de son génial concept que dans la psyché tourmentée de ses personnages. Le plus beau film de Martin McDonagh.
Franceinfo Culture
Un long métrage atypique, drôle et cruel, fidèle à la subtilité de son auteur.
La Croix
Avec un sens consommé de l’absurde et de la dérision, le cinéaste Martin McDonagh va loin dans l’exploration de la nature humaine.
La Voix du Nord
Inconfortable et cruel, teinté d’humour noir, brillamment maîtrisé.
Le Dauphiné Libéré
Moins ricanant, plus mélancolique que d’ordinaire, Martin McDonagh donne à la fin de cette amitié une certaine gravité, une certaine désespérance.
Le Point
Martin McDonagh revient avec une comédie sanglante qui est aussi une méditation sur l’amitié. Puissant.
Les Echos
Cruel et hilarant, « Les Banshees d'Inisherin » est surtout un film déchirant.
Libération
Les Banshees d’Inisherin nous accueille dans un conte théâtral, une sorte d’expérience de pensée en vase clos, aussi abstraite que littérale.
Paris Match
Il se dégage une vraie poésie de ce film hors du temps, qui rappelle élégamment que les hommes doivent avant tout apprendre à vivre ensemble. Au risque, sinon, de sombrer dans la guerre et la folie destructrice.
Première
D’un argument très mince, qui assume son artificialité, Martin McDonagh développe une réflexion cocasse, cruelle, sur la condition humaine et le désespoir existentiel.
Télé 7 Jours
Magnifié par la beauté rugueuse des paysages et parfaitement interprété, notamment par Colin Farrell, le film se mue en réflexion sur le temps qui passe et la finalité de nos vies.
Télérama
Un scénario étonnant et subtil sur les énigmes de la condition humaine. Brendan Gleeson et Colin Farrell brillent dans leur registre respectif.
Le Journal du Dimanche
Une chronique sans doute un peu vaine, mais qui questionne avec pertinence notre humanité.
Télé 2 semaines
Les dialogues drôles et absurdes de personnages hauts en couleur constituent l'ingrédient principal d'une comédie noire étonnante qui ne progresse que trop peu.
aVoir-aLire.com
Une comédie noire habile, à l’atmosphère étrange et jouant sur les ruptures de ton. Mais on attendait mieux de Martin McDonagh que la mise en image brillante de ce scénario malin.
Critikat.com
L’aspiration de McDonagh à toucher du doigt un frisson métaphysique s’écrabouille sur les contours d’un scénario pachydermique.
Le Monde
L’arbitraire d’une écriture se cherchant de hautes significations se heurte à l’étroitesse du pittoresque investi.
Les Inrockuptibles
Ce pittoresque artificiel, taillé sur mesure pour une poignée de grands noms en mal de typicité, offre un écrin en toc aux sous-intrigues que le film prend très au sérieux.
Cahiers du Cinéma
[Rien] n’évolue tellement pour McDonagh : les rêves des personnages d’une vie qui surpasse les petites misères de l’île sont écrasés par les plus banales règles scénaristiques (même le départ de Siobhàn, soeur de Pádraic, ne permettra aucune envolée libératrice au film), et l’ensemble baigne dans le folklore pittoresque.
Le Parisien
En forçant sans cesse le trait, Martin McDonagh accouche d’un film d’une tristesse repoussante.