Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Par les jeux d’échos et de circularité qu’il met en œuvre, Rodrigo Moreno exprime une difficulté collective à s’extraire d’un système économico-politique qui, non content de structurer tout ce qui nous entoure, façonne nos psychés, et nous pousse à refaire sans cesse les mêmes erreurs. Être fou ou idiot : l’alternative revient à plusieurs reprises dans le film, comme résumant les seules voies possibles.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
"Los delincuentes" débute comme un simple film d'arnaque avant de bifurquer vers un drôle de récit buissonnier et bucolique, surprenant par ses détours pour livrer une réflexion aux accents anars sur les injonctions de nos sociétés modernes, le sens de la vie et la liberté.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Inventif, facétieux , libre. Rodrigo Moreno invente son espace-temps, et tricote une comédie qui a l’étoffe d’une fable philosophique, d’un conte de Borges.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Serge Kaganski
Démarrant comme du Lumet, poursuivant comme du Rozier, "Los delincuentes" est un formidable film policier et politique.
Télérama
par Marie Sauvion
Au-delà de la critique tragi-comique d’un système aliénant, une invitation à la douceur de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marin Gérard
Un an après Trenque Lauquen, Los delincuentes démontre que le cinéma argentin n'a pas son pareil pour le romanesque bricolé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Rejouant une forme d'utopie héritée des années 70, Rodrigo Moreno assume la naïveté de son propos ainsi qu'un émerveillement quasi enfantin devant le destin atypique de Moran et Ramon, deux inoubliables personnages de fiction, qui réinventent une idée d'un cinéma d'aventure, libre et solaire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ingrédients habilement répartis sur plusieurs temporalités, scénario gouleyant et rythmé, prodigue en coups de théâtre qui vous tiennent en haleine pendant plus de trois heures… Quant à la mise en scène de Rodrigo Moreno, c’est une merveille de mécanique disruptive.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film qui puise aux sources du cinéma pour en renouveler la forme et offrir un récit riche en suspens et en surprises.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film aux charmes puissants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J. Ma.
Au programme : refus de la routine productiviste et de la rente existentielle, élan poétique vers des contrées édéniques, amour à vivre tout de suite ou jamais – dont la construction même du récit, aventureuse et désaffectée, adopte la belle utopie. Sans doute le projet ne se réalisera-t-il pas selon ces termes, mais le beau geste aura consisté à nous le rendre désirable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Rodrigo Moreno filme avec poésie ses personnages et saupoudre Los Delincuentes d'un zeste de Nouvelle Vague très rafraîchissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Rodrigo Moreno invente dans Los Delincuentes le casse le plus nonchalant de l'histoire du cinéma. un film qui se savoure à la façon d'un pinot noir de la pampa, long en bouche.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
À partir d’une histoire de vol, Rodrigo Moreno bâtit un film ambitieux, où les surprises ne manquent pas. Chaque personnage y paraît être un reflet du précédent, tous s’engageant sur un chemin où l’argent importe moins que le voyage - philosophique et intérieur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
À ce qui était destiné à être le grand morceau de bravoure du film, Moreno substitue une partie de campagne hédoniste […]. Étiré à l’extrême et d’une grâce irrésistible, c’est ce voyage qui contient toute la visée utopique de "Los Delincuentes".
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Un film ample et lumineux sur le désir de liberté et les moyens d’y parvenir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une attachante ode à la liberté.
Première
par Yohan Haddad
Grâce à sa durée fleuve, Moreno prend le temps de dérouler son truculent récit, enchaîne les twists, et impose un parfum burlesque qui n’est pas sans rappeler le cinéma des frères Coen. Un bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
LOS DELINCUENTES, qui jamais ne déraille malgré les innombrables embranchements qui le font dévier de sa trajectoire initiale.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce film au tempo lent est une œuvre déconcertante sur une crise existentielle en milieu modeste, autour de personnages maladroits et trébuchants.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le style tragi-comique de ce qui pourrait être un vulgaire polar est très intéressant, le film pèche par la durée à la limite de la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Par les jeux d’échos et de circularité qu’il met en œuvre, Rodrigo Moreno exprime une difficulté collective à s’extraire d’un système économico-politique qui, non content de structurer tout ce qui nous entoure, façonne nos psychés, et nous pousse à refaire sans cesse les mêmes erreurs. Être fou ou idiot : l’alternative revient à plusieurs reprises dans le film, comme résumant les seules voies possibles.
Le Journal du Dimanche
"Los delincuentes" débute comme un simple film d'arnaque avant de bifurquer vers un drôle de récit buissonnier et bucolique, surprenant par ses détours pour livrer une réflexion aux accents anars sur les injonctions de nos sociétés modernes, le sens de la vie et la liberté.
Sud Ouest
Inventif, facétieux , libre. Rodrigo Moreno invente son espace-temps, et tricote une comédie qui a l’étoffe d’une fable philosophique, d’un conte de Borges.
Transfuge
Démarrant comme du Lumet, poursuivant comme du Rozier, "Los delincuentes" est un formidable film policier et politique.
Télérama
Au-delà de la critique tragi-comique d’un système aliénant, une invitation à la douceur de vivre.
Critikat.com
Un an après Trenque Lauquen, Los delincuentes démontre que le cinéma argentin n'a pas son pareil pour le romanesque bricolé.
Culturopoing.com
Rejouant une forme d'utopie héritée des années 70, Rodrigo Moreno assume la naïveté de son propos ainsi qu'un émerveillement quasi enfantin devant le destin atypique de Moran et Ramon, deux inoubliables personnages de fiction, qui réinventent une idée d'un cinéma d'aventure, libre et solaire.
L'Obs
Ingrédients habilement répartis sur plusieurs temporalités, scénario gouleyant et rythmé, prodigue en coups de théâtre qui vous tiennent en haleine pendant plus de trois heures… Quant à la mise en scène de Rodrigo Moreno, c’est une merveille de mécanique disruptive.
La Croix
Un film qui puise aux sources du cinéma pour en renouveler la forme et offrir un récit riche en suspens et en surprises.
Le Figaro
Un film aux charmes puissants.
Le Monde
Au programme : refus de la routine productiviste et de la rente existentielle, élan poétique vers des contrées édéniques, amour à vivre tout de suite ou jamais – dont la construction même du récit, aventureuse et désaffectée, adopte la belle utopie. Sans doute le projet ne se réalisera-t-il pas selon ces termes, mais le beau geste aura consisté à nous le rendre désirable.
Le Point
Rodrigo Moreno filme avec poésie ses personnages et saupoudre Los Delincuentes d'un zeste de Nouvelle Vague très rafraîchissant.
Les Echos
Rodrigo Moreno invente dans Los Delincuentes le casse le plus nonchalant de l'histoire du cinéma. un film qui se savoure à la façon d'un pinot noir de la pampa, long en bouche.
Les Fiches du Cinéma
À partir d’une histoire de vol, Rodrigo Moreno bâtit un film ambitieux, où les surprises ne manquent pas. Chaque personnage y paraît être un reflet du précédent, tous s’engageant sur un chemin où l’argent importe moins que le voyage - philosophique et intérieur.
Les Inrockuptibles
À ce qui était destiné à être le grand morceau de bravoure du film, Moreno substitue une partie de campagne hédoniste […]. Étiré à l’extrême et d’une grâce irrésistible, c’est ce voyage qui contient toute la visée utopique de "Los Delincuentes".
Libération
Un film ample et lumineux sur le désir de liberté et les moyens d’y parvenir.
Ouest France
Une attachante ode à la liberté.
Première
Grâce à sa durée fleuve, Moreno prend le temps de dérouler son truculent récit, enchaîne les twists, et impose un parfum burlesque qui n’est pas sans rappeler le cinéma des frères Coen. Un bonheur.
La Septième Obsession
LOS DELINCUENTES, qui jamais ne déraille malgré les innombrables embranchements qui le font dévier de sa trajectoire initiale.
Le Dauphiné Libéré
Ce film au tempo lent est une œuvre déconcertante sur une crise existentielle en milieu modeste, autour de personnages maladroits et trébuchants.
aVoir-aLire.com
Si le style tragi-comique de ce qui pourrait être un vulgaire polar est très intéressant, le film pèche par la durée à la limite de la complaisance.