Mon compte
    Tout s'est bien passé
    Note moyenne
    3,5
    1753 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Tout s'est bien passé ?

    186 critiques spectateurs

    5
    24 critiques
    4
    60 critiques
    3
    59 critiques
    2
    28 critiques
    1
    13 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    58 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2021
    Un sujet délicat (choisir le jour de sa fin de vie), un casting solide ( Bravo M. Dusollier) mais une réalisation malheureusement poussive et sans grâce. Du coup, une oeuvre sans émotions. Un comble pour ce type d'histoires !
    Ozon ferait bien de réaliser moins de films (1 film chaque année !) et de soigner davantage leur écriture et réalisation.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    291 abonnés 3 129 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 décembre 2022
    J'ai adoré ce film... c'est tendre, c'est dur, c'est triste... bref c'est sur la fin de vie d'un papa de 85 ans qui a subi un AVC et franchement on n'en sort pas indemne... on a tous peur d'en arriver là avec nos parents et ce film relate bien les angoisses & les tracas que cela suscite ! En plus Marceau & Pailhas jouent bien mais bon sang que dire d'André Dussolier ! Sa prestation est incroyable ! Jouer un homme amoindri comme ça ca n'est pas donné à tout le monde et il fait ça avec brio ! Une vraie prestation de génie ! Bravo Mr Dussolier !
    mat niro
    mat niro

    356 abonnés 1 833 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2021
    Adapté du roman éponyme d'Emmanuèle Bernheim, le dernier Ozon vaut surtout par la qualité d'interprétation du trio d'acteurs. Véritable réflexion sur le suicide assisté, le film n'en oublie pas de distiller quelques pointes d'humour avec un André Dussolier déroutant. Géraldine Pailhas et surtout Sophie Marceau sont très justes, coincées au milieu de cette décision. Ozon n'hésite pas à aborder frontalement un sujet qui divise encore beaucoup au sein de notre pays. Quel plaisir de revoir Sophie Marceau dans un rôle avec de l'épaisseur, loin des comédies médiocres tournées ces dernières années. Du bon Ozon.
    Bernard D.
    Bernard D.

    112 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2022
    « Tout s’est bien passé » de François Ozon (2021) m’a quelque peu déçu et ne lui ai mis que ! On se retrouve dans un milieu intellectuel, artistique et bourgeois « friqué ». André (André Dussolier), 85 ans, fait un AVC massif compliqué d’une embolie pulmonaire … dont finalement il ne se remettra pas trop mal conservant ses fonctions cognitives. Il dira alors à sa fille, Emmanuelle (Sophie Marceau), romancière (et il convient de noter que ce film est l’adaptation du roman éponyme de Emmanuèle Berheim qui va vécu elle-même cette histoire), « Je veux que tu m’aides à en finir ». Pascale (Géraldine Pailhas), sa sœur, bien qu’un peu vexée que son père ne se soit pas adressé elle, s’avérera rapidement partante et un contact avec Berne est pris. Arrivent alors des scènes assez lourdes : Claude (Charlotte Rampling) qui est l’ex-femme et qui a « un cœur de pierre » et « est déjà morte », ne fait pas avancer le problème ne parlant ni à son ex-mari ni à ses filles ; le personnage de Gérard (Grégory Gadebois) et l’envoyée de Berne ne fait pas dans la dentelle, réclamant 300 €uros pour son TGV et déballant d’emblée une liasse de papiers à signer !
    Je passe sous silence, les derniers « épisodes : « une main courante déposée quelques heures avant le départ en Suisse ; l’ascenseur bien sûr trop petit pour le fauteuil roulant ; l’ambulancier musulman qui à quelques km de Berne ne veut plus conduire par conviction religieuse (n’était-il pas au courant de l’objet cette course de plus de 700 km ?)…
    Curieusement l’ADMD – Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité – même si on voit Emmanuelle passer devant le siège de l’APMD (Association POUR le Droit …) sans y entrer : est-ce par souci de neutralité ou pour des raisons juridiques ?
    Le gros manque dans ce film – comme dans les autres films traitant de l’euthanasie, terme que je déteste car trop proche d’eugénisme, terme qui coure hélas dans les pensées de certains de nos compatriotes - est l’absence de discussion réelle entre la personne qui désire mettre fin à sa vie et ses proches … même si je comprends que cela soit difficile à exprimer à l’écran.
    Dernière atrocité, l’Avocat de la famille conseillera aux 2 filles de ne pas se rendre à Berne car elles risqueraient d’être poursuivies pour non-assistance à personne en danger alors qu’en pratique, le souhait du patient est une nouvelle fois enregistré en Suisse en présence d’un représentant de la loi/policier helvète !
    Je ne suis pas certain que ce film fasse rapidement avancer la cause de ce sujet tabou alors qu’il concerne nombre de patients atteints de maladies neurologiques dégénératives irrémédiables, de cancers en phase terminale ou avec des douleurs mal calmées par les opiacés, de patients âgés présentant plusieurs pathologies les clouant au lit … jusqu’à ce qu’en mort s’en suive.
    Ironiquement, le dernier repas de la famille aura lieu dans le restaurant « Le Voltaire » ! Quel politique aura le talent de Simone Veil pour faire passer ce droit humain à pouvoir mourir dans la dignité ?
    maguaguas
    maguaguas

    7 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2021
    Vraiment pas terrible ! On devrait ressortir bouleversé de ce film dont l'histoire est vraiment dure et tout à fait d'actualité. Et pourtant, on n'est pas touché, on ne ressent pas d'émotion. Un film bien franchouillard, bobo et sans saveur. Dommage car tous les ingrédients étaient là.
    Christophe. G
    Christophe. G

    5 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2022
    Ce film me touche particulièrement car je le vis depuis quelques temps , mon papa a été victime d'un AVC qui l'a conduit à être hospitalisé pendant 2 semaines et par la suite à été admis dans une clinique de readaption.
    Au contraire du personnage joué par André Dussollier qui demande à l'une de ses filles interprété par Sophie M arceau d'en finir avec la vie, , il s'est battu d'une poing e de fer pour pouvoir retrouvé une vie normal. En plus le rôle de Charlotte Rampling me fait pensé à ma mère qui n'est plus de ce monde et qui était atteinte de la maladie de Parkinson.
    Un film poignant qui nous fait se poser ds questions sur la mort assisté et sur nos choix face à ça surtout quand un proche nous le demande.
    André Dussollier est excellent dans ce rôle de père qui ne ménage pas sa famille mais attachant.
    GéDéon
    GéDéon

    86 abonnés 519 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2022
    Avec un sujet aussi délicat que le choix de la fin de vie, François Ozon signe en 2021 un film très sensible. Il est aidé en cela par la prestation remarquable d’André Dussollier ainsi que celle remplie de justesse de Sophie Marceau. Sans tomber dans le tragique ni utiliser de grosses ficelles larmoyantes, le récit évoque le difficile accompagnement d’une fille dont le père malade a décidé de se faire euthanasier. A l’aide de petites touches d’humour noir, le réalisateur parvient à dédramatiser le parcours de cet ultime voyage en lui donnant un aspect humain très émouvant. Bref, une œuvre traitée avec pudeur et dignité.
    Ciné-13
    Ciné-13

    119 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2022
    Réalisation minimaliste centrée sur le moribond DUSSOLIER et ses 2 filles résignées Géraldine et Sophie..
    Ils choisissent ensemble la date de sa mort. Mais l'invraisemblance est manifeste : il va de mieux en mieux et pourtant il veut toujours en finir. Le film suggère qu'il a eu une vie sulfureuse, et que -dixit Sophie- ce fut un mauvais père.
    Difficile après ces révélations de s'émouvoir réellement.
    Le suicide assisté est autorisé en Suisse. Mais en France il est punissable de 5 ans max. S'ensuit un rocambolesque voyage, un instant interrompu par un ambulancier musulman.
    Drame parsemé de méandres scénaristiques déconcertants!
    Françoise P.
    Françoise P.

    5 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 septembre 2021
    Encore un très bon film de François Ozon. Le sujet est difficile et il faut tout le talent des acteurs pour alléger. Sophie Marceau lumineuse comme d'hab et Dussolier magistral d'autorité et de narcissisme. Bref tous sont excellents, je recommande.
    Jack-ie
    Jack-ie

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 septembre 2021
    Un sujet très intéressant mal interprété car mal filmé. Les émotions sont trop pudiques. J'attendais beaucoup mieux. Le temps a été très long.
    defleppard
    defleppard

    382 abonnés 3 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2022
    Très bonne adaptation du roman, Tout s'est bien passé, adapté de la part de François Ozon, trois étoiles et demie.
    Cinememories
    Cinememories

    483 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2021
    Nous aimons François Ozon pour son sens du tempo et la subtilité qu’il y injecte lorsqu’il s’agit de caresser un support romanesque. Mais à force d’enchainer ses projets, il se perd au fil des saisons et nous laisse sur un regard curieux, pourtant habité, sur son dernier « Été 85 ». Ici, le point de vue sera plus délicat et l’adaptation du roman d’Emmanuèle Bernheim ne connaîtra pas le souffle qu’on lui associe. Entre « Falling » et « The Father », déjà vu cette année, la paternité mourante revient à la charge et foule les couloirs d’hôpitaux, comme s’il fallait brosser le portrait d’un sanctuaire ténébreux. C’est ce que l’on pourrait croire à première vue, mais l’enjeu ne gagne presque jamais de terrain sur sa bulle de réflexion. Une fin de vie accentue un peu plus les conflits, mais panse également des plaies qui n’ont pas totalement cicatrisées. Hélas, bien que le sujet soit audacieux et d’actualité, il y aura plus d’un regret dans ce fantasme pudique et bourgeois.

    Ce qui découle d’une affaire juridique et pénale devient l’objet d’étude d’une famille, en quête de rédemption. Deux sœurs, se partagent les charges d’un père, qui choisit de s’effacer de l’équation, un choix évidemment égoïste, pour un vieil homme qui ne manque pas de justifier son côté raffiné et enjoué. André Dussollier l’incarne avec une énergie remarquable, en s’armant d’un cynisme à toute épreuve. Le contraste gagne parfois à rendre sa décision plus anecdotique, mais quelque chose nous ramène toujours à cette fatalité, qui a mûri en lui. Le droit de se donner la mort est un outil convoité, mais qui ne semble jamais vouloir s’aventurer au-delà du mode d’emploi. Le principe n’intéresse guère, car la véritable démarche s’inscrit dans la lutte d’enfants, qui ne savent pas comment accompagner leurs aînés à leur tombeau. De même, Ozon ne sait pas sur quel pied danser, notamment dans le choix d’une mise en scène classique, voire académique et qui ne dialogue pas avec les émotions attendues.

    Le rire est un remède ironique, qui ne trouve pas sa place dans une partition déjà ambiguë et maladroite. Entre les flashbacks dispensables et autres surexplications, rendant les répliques toutes aussi ennuyeuses, il y aura peu de place pour cette mélancolie que l’on recherche et qui ne restera que de l’autre côté de l’écran. Les effets de Sophie Marceau n’aideront pas non plus à rendre plus pertinente cette descente vers l’angoisse, car c’est toute l’énergie de la caméra qui aspire la vitalité des personnages. De même, Géraldine Pailhas se trouve limite exclue de la table familiale afin de servir au mieux sa sœur, qui ne gère pas mieux la transition de son père. C’est du point de vue du personnage de Marceau que l’on préfère camper au lieu du condamné, qui a pourtant un peu plus à raconter. Il possède ses tourments à disperser, son caractère iconoclaste et sa sexualité énigmatique à révéler. Nous passons peut-être à côté d’un récit fabuleux, sur ce qui l’a conduit dans l’impasse.

    « Tout s’est bien passé » frappe pourtant sans retenue côté performance, mais ce sera à l’occasion de quelques gags insérés qu’on se méprendra sur les intentions d’un réalisateur essoufflé. Les enfants, blessés dans une relation parentale complexe, ne délivrent en rien de l’intérêt pour cette farce, dont le sujet devrait inquiéter. La douleur que l’on essaye d’évacuer avec patience et douceur, se retourne contre elle. Tout au long de ces interminables allers et retours entre la cellule de crise familiale et la cellule d’un homme, qui ne demande que le coup de grâce à ses filles, symboliquement fortes et indépendantes, les étincelles se feront rares.
    Jacques O.
    Jacques O.

    2 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 octobre 2021
    Mourir peut attendre
    Film racoleur sur un sujet éminemment délicat. Dommage. Il faudra attendre mieux et plus inspiré que ce triste Ozon.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    360 abonnés 1 804 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 septembre 2021
    Emmanuèle, romancière épanouie dans sa vie privée et professionnelle, se précipite à l’hôpital, son père André vient de faire un AVC. Fantasque, aimant passionnément la vie mais diminué, il demande à sa fille de l’aider à en finir.

    C’est une réalisation de François Ozon dont les deux derniers films Grâce à Dieu (2019) et Eté 85 (2020) avaient été salués par la critique. Pour ce nouveau drame, le Français va adapter le livre éponyme d’Emmanuèle Bernheim, publié en 2013 et dans lequel elle raconte comment elle a aidé son père à mourir. Tout s’est bien passé est présenté en compétition au Festival de Cannes 2021.

    J’avais bien aimé les précédentes réalisations de François Ozon. Je suis donc vraiment déçu de cette nouvelle que j’ai trouvé pas terrible.



    Je n’ai pas du tout accroché avec de nombreux parti pris durant ce film. Déjà, il faut commencer par la façon dont l’histoire est construite. Tout va être vu du point de vue de la fille Emmanuèle. Seulement le hic, c’est que son personnage est à peine exploré. On reste trop dans la surface de ses actions. C’est une pure observation de ses réactions par rapport à la maladie de son père. Il manque la partie recule émotionnelle construite grâce justement à une exploration en profondeur. J’ai trouvé cela dommage que ça soit éludé. Comme la partie du père ne l’ai pas plus, c’est embêtant.

    En effet, le côté émotionnel pour ma part était totalement absent. Au début à la limite, mais ça dégénère rapidement. En plus de ne pas être attaché aux personnages, va se rajouter une vision négative d’eux. Le père est présenté comme un homme ayant maltraité psychologiquement sa fille, et cette dernière est d’un égoïsme très limite avec sa sœur pourtant bienveillante. Les deux protagonistes principaux sont donc agaçants. Difficile à partir de cela d’avoir une connexion et d’être touché par ce qui se passe.



    Pourtant, avec les deux acteurs de renom proposé, c’était du pain béni. Sophie Marceau et André Dussollier sont fantastique dans leur performance en tant que tel. Ce n’est réellement pas de leur faute si ça ne décolle pas. J’ai été particulièrement impressionné par André Dussollier. Jouer un homme ayant eu un AVC, ça ne doit pas être de tout repos. Le casting secondaire avec notamment Géraldine Pailhas, Grégory Gadebois et Eric Caravaca a beaucoup de potentiel.

    Les thématiques abordées sont de base percutante mais elles ne vont pas être bien traité. En effet, on fait du sur place pour à peu près tout. Le fait de voir un proche souffrir ne va nulle part car on ne voit pas les conséquences sur leur vie. On ira même jusqu’à tomber parfois dans le misérabilisme malsain avec des séquences assez inutiles à part se délecter de la souffrance d’autrui. Quant au suicide assisté, ce débat est réglé avec une facilité déconcertante.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 804 abonnés 12 441 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 novembre 2024
    spoiler: Andrè est un père solide qui s'est toujours remis de tout! Quand il se fait hospitaliser pour un AVC sa vie bascule! Diminuè et paralysè, il refuse de se battre et de continuer à vivre [...]
    Vivre et mourir dans la dignitè tels sont les enjeux de ce nouveau film de François Ozon! Un sujet d'actualitè qui mèrite rèflexion! Malheureusement aucune èmotion ne passe dans ce drame superficiel et languissant! On assiste un père de famille dans son suicide mais ce ne sont pas eux ni ses filles qui le tue! C'est son choix! On ne sait plus trop bien, à l'arrivèe, s'il s'agit d'un film sur l'euthanasie ou d'une confrontation entre les filles et leur père! Andrè Dussolier veut mourir et ne rien regretter comme dans une chanson de Balavoine! Peu convaincant pour une fois! Et si triste de le voir cabotiner et s'arranger ainsi pour jouer un vieil homme ègoïste et si peu sympathique! Seule Sophie Marceau et Charlotte Rampling tirent leur èpingle du jeu! On a connu Ozon plus inspirè...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top