Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
40 critiques presse
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Un film bouleversant et surprenant sur le suicide assisté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans sa nouvelle fiction, le cinéaste prolifique adapte l'ouvrage autobiographique d'Emmanuèle Bernheim, dirige deux acteurs impeccables (Sophie Marceau et André Dussollier) et signe l'un des plus beaux films de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce beau film présenté au Festival de Cannes arrive à ne pas être plombant malgré son sujet douloureux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Malgré un sujet encore tabou en France, celui de l’euthanasie et du droit de mourir dans la dignité revendiqué par de nombreux malades, ce film ne tombe jamais dans le pathos et oscille entre scènes poignantes qui nous tirent la larme et séquences comiques et plus légères.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Dans "Tout s’est bien passé", on retrouve avec bonheur cette main sûre de cinéaste qui, après plus d’une vingtaine de longs-métrages, continue de composer chaque oeuvre avec une attention au détail et un goût impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sophie Marceau tient un grand rôle formidable, tandis que le père qui lui demande de l’aider à mourir, à 88 ans, est magnifiquement incarné par André Dussollier, tout à la fois drôle, insupportable et déterminé à choisir sa mort.
Elle
par Françoise Delbecq
Sur un sujet douloureux, le résultat frappe par son sang froid et son humour.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Les détails quotidiens, les seconds rôles, les notes d'humour impromptues forment un ensemble à la fois juste et poignant, sans tomber dans le pathos.
L'Obs
par Sophie Grassin
Ce film limpide et épuré, ample et nuancé, évoque l’amour qu’il faut pour passer sur des humiliations enfantines (ainsi qu’en attestent certains souvenirs d’Emmanuèle) et accepter de voir un père, de plus en plus requinqué, se réjouir de sa fin prochaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tout s’est bien passé explore des terrains inattendus, jonglant avec le drame intimiste, le documentaire, la comédie familiale (on sourit, souvent), avec même un final palpitant (cette exfiltration nocturne, quasi clandestine). Dur, frontal, roublard, cynique, drôle, finalement étrange. Comme un bon Ozon.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Sophie Marceau est de retour au cinéma d’auteur, dans un rôle lumineux et paradoxal.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
En se penchant sur le thème tabou de l’euthanasie, Ozon aurait pu filmer un requiem. Son film est une ode à la vitalité. Et Sophie Marceau chevauche son rôle comme une Valkyrie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une chronique émouvante et universelle sur la difficulté des rapports filiaux et le droit à mourir dans la dignité, sans jamais sombrer dans le pathos ni le militantisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Marie-Laure Delorme
Le duo d'acteurs, le cérébral André Dussolier et la terrienne Sophie Marceau, est époustouflant.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce grand film confirme le talent singulier de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Un drame nuancé, cocasse et tragique.
Ouest France
par Thierry Chèze
POUR : Un grand film audacieux.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
La grande force du film réside dans sa distance et son extrême neutralité. Sophie Marceau a rarement été aussi juste face à un André Dussollier tout bonnement magistral.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Baptiste Roux
Parvenu à la maturité, le cinéaste semble ici poser à nouveaux frais la question du désir, perçu non dans son incandescence passionnelle mais dans son rôle de détermination obsessionnelle, implacable, de l’être.
Première
par Thierry Chèze
POUR : Dans ce rôle, André Dussollier, épatant de démesure, emmène le film à un endroit dérangeant voire malaisant qui n'obéit précisément à aucune règle préétablie. Soit exactement ce que ressentent ceux qui sont confrontés à une tragédie identique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un film limpide, teinté d’humour et d’ironie, sur la vie.
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Si le film semble par moments lesté par quelques passages obligés (les nombreuses scènes à l'hôpital), la force de son interprétation et de son sujet l'emporte vers d'émouvantes cimes.
Télérama
par Marie Sauvion
Sophie Marceau incarne avec beaucoup de sensibilité et de retenue cette adulte solide, bouleversée jusque dans ses rêves mais se découvrant aussi un courage insoupçonné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
André Dussollier livre une des meilleures performances de sa carrière face à Sophie Marceau enfin sortie de sa zone de confort.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film émouvant et digne qui ne manquera sans doute pas de créer la polémique tant sur le fond que la forme mais a l’avantage d’ouvrir la réflexion sans jamais prendre parti autour d’un thème universel risquant de s’inviter de plus en plus souvent dans nos sociétés modernes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
En adaptant librement l’ouvrage éponyme d’Emmanuèle Bernheim, François Ozon noue l’intime au romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
Pour saisissants que soient les comédiens et puissant que soit le point de départ de ce récit, le dispositif se heurte à une mise en scène qui peine à traiter les zones d'ombre d'un scénario qui transpose parfois maladroitement le texte adapté.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
C’est le sujet que l’on retiendra principalement de Tout s'est bien passé, et moins ses qualités cinématographiques. François Ozon nous a habitués à de l’inventivité dans ce domaine, mais le film de facture conventionnelle, s'avère un peu pauvre de ce point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Sur le thème du recours à l'euthanasie, François Ozon réussit à se tenir à distance du tragique et évite le film à thèse.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un Ozon réussi mais mineur, plein de compassion mais timide, farouchement porté par ses comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dans sa simplicité, le film fait mouche.
Critikat.com
par Hugo Mattias
Si Tout s’est bien passé peut indéniablement compter sur un sujet passionnant, le souffle romanesque est précisément ce qui lui fait défaut.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Le cinéaste s’attaque à l’euthanasie en adaptant le roman d’Emmanuèle Bernheim. Au risque, parfois, d’effacer sa mise en scène derrière son sujet.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
François Ozon traite avec légèreté un sujet difficile, celui du suicide assisté, et rate sa cible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si Tout s’est bien passé est trop sage, c’est parce qu’il est trop mesuré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
CONTRE : Mais, curieusement, le mélange de drame et de comédie, lié au caractère impossible du personnage de Dussolier, dilue le propos et, finalement, c'est comme si le film manquait d'un supplément d'âme.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le titre cruellement ironique du livre de Bernheim, reprenant une phrase de la femme qui a aidé son père à mourir, devient ici le programme d'un film dont la gageure semble être d'aborder sans accroc une histoire qui pourrait griffer de toutes parts. Tout se maintient dans un même présent tragicomique aussi agréable que sec en émotions (…).
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Pas une seconde ne soupçonne-t-on la profondeur de l’abîme, des non-dits, du deuil, l’ensemble restant soigneusement en deçà des immenses enjeux qu’il caresse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
CONTRE : Une fois passé l’effet de surprise de voir un Dussollier en gros plan jouer les grabataires, qu’attendre sinon de déceler, ici et là, dans un œil qui frise une volonté vite réprimée de s’amuser avec nous ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Quelle paresse en effet dans ce "Tout s’est bien passé" : paresse de scénario, paresse de mise en scène, paresse de production, paresse d’interprétation (= cabotinage), paresse du regard.
Le Parisien
Un film bouleversant et surprenant sur le suicide assisté.
Les Echos
Dans sa nouvelle fiction, le cinéaste prolifique adapte l'ouvrage autobiographique d'Emmanuèle Bernheim, dirige deux acteurs impeccables (Sophie Marceau et André Dussollier) et signe l'un des plus beaux films de sa carrière.
20 Minutes
Ce beau film présenté au Festival de Cannes arrive à ne pas être plombant malgré son sujet douloureux.
CNews
Malgré un sujet encore tabou en France, celui de l’euthanasie et du droit de mourir dans la dignité revendiqué par de nombreux malades, ce film ne tombe jamais dans le pathos et oscille entre scènes poignantes qui nous tirent la larme et séquences comiques et plus légères.
Culturopoing.com
Dans "Tout s’est bien passé", on retrouve avec bonheur cette main sûre de cinéaste qui, après plus d’une vingtaine de longs-métrages, continue de composer chaque oeuvre avec une attention au détail et un goût impeccables.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sophie Marceau tient un grand rôle formidable, tandis que le père qui lui demande de l’aider à mourir, à 88 ans, est magnifiquement incarné par André Dussollier, tout à la fois drôle, insupportable et déterminé à choisir sa mort.
Elle
Sur un sujet douloureux, le résultat frappe par son sang froid et son humour.
Femme Actuelle
Les détails quotidiens, les seconds rôles, les notes d'humour impromptues forment un ensemble à la fois juste et poignant, sans tomber dans le pathos.
L'Obs
Ce film limpide et épuré, ample et nuancé, évoque l’amour qu’il faut pour passer sur des humiliations enfantines (ainsi qu’en attestent certains souvenirs d’Emmanuèle) et accepter de voir un père, de plus en plus requinqué, se réjouir de sa fin prochaine.
La Voix du Nord
Tout s’est bien passé explore des terrains inattendus, jonglant avec le drame intimiste, le documentaire, la comédie familiale (on sourit, souvent), avec même un final palpitant (cette exfiltration nocturne, quasi clandestine). Dur, frontal, roublard, cynique, drôle, finalement étrange. Comme un bon Ozon.
Le Dauphiné Libéré
Sophie Marceau est de retour au cinéma d’auteur, dans un rôle lumineux et paradoxal.
Le Figaro
En se penchant sur le thème tabou de l’euthanasie, Ozon aurait pu filmer un requiem. Son film est une ode à la vitalité. Et Sophie Marceau chevauche son rôle comme une Valkyrie.
Le Journal du Dimanche
Une chronique émouvante et universelle sur la difficulté des rapports filiaux et le droit à mourir dans la dignité, sans jamais sombrer dans le pathos ni le militantisme.
Le Point
Le duo d'acteurs, le cérébral André Dussolier et la terrienne Sophie Marceau, est époustouflant.
Marianne
Ce grand film confirme le talent singulier de son auteur.
Marie Claire
Un drame nuancé, cocasse et tragique.
Ouest France
POUR : Un grand film audacieux.
Paris Match
La grande force du film réside dans sa distance et son extrême neutralité. Sophie Marceau a rarement été aussi juste face à un André Dussollier tout bonnement magistral.
Positif
Parvenu à la maturité, le cinéaste semble ici poser à nouveaux frais la question du désir, perçu non dans son incandescence passionnelle mais dans son rôle de détermination obsessionnelle, implacable, de l’être.
Première
POUR : Dans ce rôle, André Dussollier, épatant de démesure, emmène le film à un endroit dérangeant voire malaisant qui n'obéit précisément à aucune règle préétablie. Soit exactement ce que ressentent ceux qui sont confrontés à une tragédie identique.
Télé 7 Jours
Un film limpide, teinté d’humour et d’ironie, sur la vie.
Télé Loisirs
Si le film semble par moments lesté par quelques passages obligés (les nombreuses scènes à l'hôpital), la force de son interprétation et de son sujet l'emporte vers d'émouvantes cimes.
Télérama
Sophie Marceau incarne avec beaucoup de sensibilité et de retenue cette adulte solide, bouleversée jusque dans ses rêves mais se découvrant aussi un courage insoupçonné.
Voici
André Dussollier livre une des meilleures performances de sa carrière face à Sophie Marceau enfin sortie de sa zone de confort.
aVoir-aLire.com
Un film émouvant et digne qui ne manquera sans doute pas de créer la polémique tant sur le fond que la forme mais a l’avantage d’ouvrir la réflexion sans jamais prendre parti autour d’un thème universel risquant de s’inviter de plus en plus souvent dans nos sociétés modernes.
Bande à part
En adaptant librement l’ouvrage éponyme d’Emmanuèle Bernheim, François Ozon noue l’intime au romanesque.
Ecran Large
Pour saisissants que soient les comédiens et puissant que soit le point de départ de ce récit, le dispositif se heurte à une mise en scène qui peine à traiter les zones d'ombre d'un scénario qui transpose parfois maladroitement le texte adapté.
Franceinfo Culture
C’est le sujet que l’on retiendra principalement de Tout s'est bien passé, et moins ses qualités cinématographiques. François Ozon nous a habitués à de l’inventivité dans ce domaine, mais le film de facture conventionnelle, s'avère un peu pauvre de ce point de vue.
Le Monde
Sur le thème du recours à l'euthanasie, François Ozon réussit à se tenir à distance du tragique et évite le film à thèse.
Les Fiches du Cinéma
Un Ozon réussi mais mineur, plein de compassion mais timide, farouchement porté par ses comédiens.
Sud Ouest
Dans sa simplicité, le film fait mouche.
Critikat.com
Si Tout s’est bien passé peut indéniablement compter sur un sujet passionnant, le souffle romanesque est précisément ce qui lui fait défaut.
L'Humanité
Le cinéaste s’attaque à l’euthanasie en adaptant le roman d’Emmanuèle Bernheim. Au risque, parfois, d’effacer sa mise en scène derrière son sujet.
La Croix
François Ozon traite avec légèreté un sujet difficile, celui du suicide assisté, et rate sa cible.
Les Inrockuptibles
Si Tout s’est bien passé est trop sage, c’est parce qu’il est trop mesuré.
Ouest France
CONTRE : Mais, curieusement, le mélange de drame et de comédie, lié au caractère impossible du personnage de Dussolier, dilue le propos et, finalement, c'est comme si le film manquait d'un supplément d'âme.
Cahiers du Cinéma
Le titre cruellement ironique du livre de Bernheim, reprenant une phrase de la femme qui a aidé son père à mourir, devient ici le programme d'un film dont la gageure semble être d'aborder sans accroc une histoire qui pourrait griffer de toutes parts. Tout se maintient dans un même présent tragicomique aussi agréable que sec en émotions (…).
Libération
Pas une seconde ne soupçonne-t-on la profondeur de l’abîme, des non-dits, du deuil, l’ensemble restant soigneusement en deçà des immenses enjeux qu’il caresse.
Première
CONTRE : Une fois passé l’effet de surprise de voir un Dussollier en gros plan jouer les grabataires, qu’attendre sinon de déceler, ici et là, dans un œil qui frise une volonté vite réprimée de s’amuser avec nous ?
Transfuge
Quelle paresse en effet dans ce "Tout s’est bien passé" : paresse de scénario, paresse de mise en scène, paresse de production, paresse d’interprétation (= cabotinage), paresse du regard.