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    Autonomes
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    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 095 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2021
    Il y a deux films dans le film, un reportage gentillet sur les gens qui essayent d'être autonomes, avec toutes les dérives qui vont avec et un truc totalement délirant avec un voleur de poules qui sert de fil rouge et qui est clairement pour moi la qualité du film.
    Les deux parties ne sont d'ailleurs pas filmées pareil, lorsqu'il suit son voleur la caméra bouge partout, on est dans le mouvement, Bégaudeau intervient, pose des questions, alors qu'au contraire lorsqu'il va s'intéresser à toutes les autres personnes les mouvements de caméra sont plus lissés (voire on a du plan fixe) et les gens témoignent, racontent des choses, font des trucs, mais Bégaudeau n'intervient pas.

    On sent que Bégaudeau ne veut pas juger les gens qu'il interviewe, qui racontent leur projet d'autonomie, mais clairement ce n'est pas le point fort du film. Je comprends la démarche, ça s'inscrit dans son cheminement politique très libertaire, dans la proposition de sociétés alternatives, où l'économie est gérée autrement, plus dans le partage que dans l'exploitation. C'était pour les mêmes raisons que je m'étais également intéressé à l'autonomie et que j'ai même vécu en maison autonome (eau + électricité). Et donc certains discours tenus par ces gens auraient pu me parler il y a quelques années, mais maintenant je vois surtout les limites évidentes de tout ça. D'ailleurs plusieurs intervenants sont assez lucides sur les limites de leur mode de vie, mais celles qui le sont le plus, c'est les bonnes sœurs ! J'trouve ça assez paradoxal.

    Ce que ne dit pas le film, c'est que l'autonomie est impossible, tu ne peux pas, en couple, produire ta nourriture, tes vêtements, de quoi te chauffer, faire la classe à tes morveux, etc. Ce n'est pas pour rien que les tâches sont réparties dans la société. On n'a juste pas le temps de tout faire. Par contre le film montre les gens expliciter sur quels aspects ils ont choisi d'être autonomes, quels choix ils ont fait pour vivre autrement...

    Malheureusement je ne peux pas m'empêcher de trouver certains trucs ridicules, genre le mec qui laboure non pas avec un tracteur, même pas un motoculteur ou un cheval, mais à la main avec une sorte de truc que tu pousses qui retourne la terre sur 5cm... Quel est le projet ? C'est lent, fastidieux... et absolument pas rentable au niveau de l'effort fourni...

    Le fait que Bégaudeau ne juge pas forcément n'empêche pas le spectateur, et heureusement, de cogiter lui-même sur ce qu'il voit et de ce rendre compte qu'il y peut-être à prendre, mais surtout pas mal à jeter...
    Par contre aborder avec sérieux les sourciers, magnétiseurs, chamans en tous genre, j'ai plus de mal, surtout qu'il n'y a pas réellement de rapport avec l'autonomie. Alors je me suis marré... Mais visiblement ce n'était pas le but de Bégaudeau... Et lorsqu'on voit un sosie de Jul abuser de la crédulité d'une pauvre femme qui a perdu son papa en prétendant les mettre en relation, ben ça me semble fondamentalement malhonnête. Et on est loin finalement des hippies qui laboure leur champ n'importe comment et qui finalement ne font de mal à personne, on est sur quelqu'un qui abuse d'une personne faible, qui lui sous-tire sans doute du fric. Je pense que ça doit être précisé.

    Après, la scène est incroyable, parce que le mec a une dégaine pas possible avec sa coupe de cheveux et son ventre bedonnant.

    Il y a une séquence hallucinante où le voit faire des enchaînements avec ses bras dans le vide et puis au bout de plusieurs minutes, on filme la vache à qui il dédiait ses brassements d'air et le gars dit un truc du genre : c'est pour qu'elle ouvre mieux son derrière... Hallucinant.

    Et je ne sais pas si le côté très respectueux face à ces charlatans (qu'ils y croient ou non) ne viendrait pas finalement d'une certaine vision citadine et fantasmée de la campagne, avec ses traditions et ses mystères... Alors je ne dis pas que s'intéresser à ces marginaux n'apporte rien, mais avoir un œil critique ça peut être pas mal pour éviter de perpétuer certaines croyances et clichés. Pour c'est un peu comme ceux qui fantasment sur la médecine traditionnelle chinoise, qui parlent de chakras et autres conneries du genre juste parce que ça vient d'Asie et souffrent très clairement de biais...

    Faut noter aussi que ces interviews sont un peu chiantes, on ne va pas se mentir, le pire étant le délire chamanique où ça se fait suer dans des tentes qu'ils ont eu même fabriquées, où il se passe rien et c'est juste totalement con (et dangereux).

    Mais comme dit il y a un autre film dans le film, avec le type le plus extrême, on sent que Bégaudeau prend plaisir à filmer ça, à raconter ça, à questionner son mode de vie (le type vole, fait chanter le garde-chasse, chasse l'équipe du film pour aller baiser...), ça fonctionne vraiment bien, jusqu'à la révélation quasiment finale du film... spoiler: C'était une fiction...

    Mais en fait Bégaudeau avait un traitement en or, moins chiant que ce qu'il propose à l'arrivée, à savoir prendre ce type et l'envoyer chez des gens qui eux vont témoigner... (il le fait un peu, notamment avec le truc de troc, mais ça aurait pu être généralisé) Une sorte de road movie autonome...

    Et je pense que le film vaut le coup d'être vu juste pour ça, parce que c'est super drôle, il a un sacré sens de l'humour le François... et j'suis bien content de m'être fait avoir... Mais je veux surtout une suite avec ce type !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 329 abonnés 7 541 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2020
    François Bégaudeau (le professeur aperçu dans l'excellent Entre les murs (2008) de Laurent Cantet) poursuit sa carrière de réalisateur et nous plonge au cœur de la Mayenne, à la rencontre de personnages atypiques. Cela va du magnétiseur (qui "dilate le derrière d’une vache pour faciliter la naissance d’un veau") en passant par un groupe de bonnes-sœurs qui s’attèlent à la fabrication de bougies, d’un guérisseur & un sourcier (plus habile avec sa baguette qu’avec un pendule), à la gérante d’un café solidaire. On croise aussi la route d’une espèce de chaman et des citoyens gérant une boutique de troc, sans oublier le meilleur pour la fin, Un chasseur (et accessoirement, voleur de poules) qui prétend "être né à l'âge 14 ans".

    Des portraits tous plus variés les uns que les autres, qui refont le monde à leur manière et se réinventent, à défaut de pouvoir réinventer le monde à leur image.
    Des utopistes hippies et écolo dans l’âme, qui avaient pour seule ambition, de quitter le monde moderne, la surconsommation, la pollution et tout ce qui en découle.

    Entre les vies alternatives, les utopies naïves et le retour à la nature, François Bégaudeau s’éparpille pour (hélas) nous perdre. A tel point que par moment, son documentaire frise avec un épisode "Strip Tease" (le meilleur exemple, reste le personnage de « l’homme des bois », incarné par Alexandre Constant. On sent venir la supercherie qu’à la toute fin (après tout, on est censé voir un documentaire, pas un docu-fiction, donc rien ne laissait présager que le réalisateur se moquerait de nous en créant un personnage de toute pièce). C’est d‘autant plus frustrant que ce personnage adepte du survivalisme était très intéressant à suivre).

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 951 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 janvier 2022
    « Autonomes » est un documentaire foutraque, bancal et décevant globalement. Ça partait bien, mais comme beaucoup d’autres, je ne vois pas en quoi les sourciers et autre rebouteux rentrent dans la classe des « Autonomes ». Sans doute parce qu’ils n’ont pas besoin de techniciens pour trouver une source souterraine ; pas besoin d’études pour assister une vache à mettre bas. Je suis comme François Bégaudeau, je ne juge pas ces portraits qui ont décidé du jour au lendemain ou après mûre réflexion de reconsidérer leur mode de vie, loin du consumérisme à tout-va ! C’est en cela qu’ils se considèrent autonomes. Ne plus être agressé par la publicité, l’information, les nouvelles technologies, l’argent roi, la norme, tout ce qui est censé rendre confortable une vie. Il y a plusieurs vies, celles que l’on décide de vivre, celles qui correspondent à sa sensibilité, celles qui permettent de se respecter, de vivre en paix avec soi-même. L’autonomie est une richesse. Mais hormis les sourciers et rebouteux ou chaman, le reste comme cette femme qui a ouvert un bar solidaire, ces agriculteurs, les bonnes soeurs, sont-ils totalement autonomes ? Bien sûr que non. A commencer par cette femme du bar solidaire qui a besoin de la CAF pour survivre ! Attention, je ne juge pas ! Et par évidence, les bonnes soeurs aussi ne sont pas autonomes. Là encore, que font-elles dans ce film ?!
    Oui, Bégaudeau se garde de juger les portraits proposés voire inutiles, brossés très succinctement ; par contre qu’en est-il de l’homme des bois ? Le rouquin voleur de poules ?
    Le rouquin est bien le seul personnage qui revient ponctuellement. Et petit à petit, les commentaires ironiques sur les agissements de ce farfelu frisent le jugement. La caméra est en mouvement contrairement aux autres portraits où Bégaudeau nous offre le plus souvent des plans fixes. Ça pique dès le début quand cet hurluberlu prie Bégaudeau de ne pas révéler l’emplacement de la grotte, laquelle est encore inconnue des services géologiques français ! Je me dis qu’elle ne restera pas longtemps inconnue de suite après la diffusion du documentaire. Ça pique aussi quand Bégaudeau le suit à distance entrain de voler une poule. Plus on avance avec cet homme des bois moins je sens la partie documentaire. Le doute s’installe jusqu’à ce sanglier qui me paraît factice. Enfin, vient un tir qui abat notre voleur qui ne supporte pas le plastique ! D’habitude, je lis avec attention le générique ; je suis de ceux qui ne se lèvent pas avant la fin du générique. Seulement, cette fois, je me suis levé et fais autre chose tout en maugréant sur ce documentaire qui m’a bien fatigué. C’est avec « Allo Ciné » que j’apprends que l’homme des bois est une partie fictionnelle. Je suis rassuré sur ma conviction et l’étais de toute manière en l’entendant jouer du banjo perché dans un arbre ! J’aurais dû lire le générique. Peu importe, Bégaudeau s’est amusé. Il s’est amusé du spectateur. Celui-ci peut se sentir trahi. Je n’ai pas ce sentiment ; ce personnage radical, ce voleur de poules infréquentable résume à lui seul l’impossibilité d’être totalement autonome. Voilà ce que Bégaudeau peut vouloir nous dire à travers ce portrait factice. Après réflexion, on peut aussi légitimement douter de quelques autres portraits comme ce rebouteux et sa cliente qui, allongée les mains hystériques, semblait rencontrer son père. Pourquoi ne pas l’avoir interviewée ? Ou s’entretenir avec le rebouteux plutôt que de le voir brasser l’air pour accompagner une vache à mettre bas ? Franchement, pas du tout convaincu de sa méthode. Dans ce cas, faire parler le fermier à défaut du rebouteux. Savoir pourquoi il fait appel à cet homme plutôt qu’un vétérinaire ?
    Enfin, que dire du dernier portrait ? Un chaman à peine audible, des séquences avec des plans qui sont d’un ennui incommensurable. Filmer une yourte en pleine nuit, c’est très instructif !
    Bref, des reportages télés de 3 à 60 minutes qui ont pour thème des personnes qui refusent tout système, qui abandonnent leur confort pour recommencer une nouvelle vie en visant l’autonomie avec une dimension écologique sont nettement plus instructifs, nettement plus efficaces que ce salmigondis signé Bégaudeau. A moins que "Autonomes" soit une vaste plaisanterie...
    velocio
    velocio

    1 319 abonnés 3 151 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 septembre 2020
    En 2008, Laurent Cantet s'était vu décerner la Palme d'Or du Festival de Cannes avec "Entre les murs", adaptation cinématographique du livre homonyme écrit par François Bégaudeau et dans lequel l'auteur du livre tenait le rôle principal. Professeur, écrivain, scénariste, critique de cinéma, chanteur de rock, acteur, François Bégaudeau est également réalisateur. 3 ans après "N'importe qui", un premier documentaire sur le concept de la démocratie, tourné dans la Mayenne, il est retourné dans cette région pour nous mettre en relation avec des gens qui, pour une raison ou pour une autre, ont choisi de venir s'y installer et d'y vivre une vie ne respectant pas le consensus établi. "Autonomes" est un film qui, en montrant des expériences de vie alternatives, permet aux spectateurs de réfléchir non seulement sur leur propre existence mais aussi sur le type d'organisation de la société qui leur parait la plus souhaitable : quelles sont les dépendances qu'à titre personnel je subis sans les avoir recherchées, quelles sont celles dont je me félicite, quelle différence fais je entre travail non rémunéré et travail rémunéré, etc. ? Ai je une préférence pour un système économique privilégiant les échanges directs ou pour celui où les échanges de services et de produits se font par l'intermédiaire de la monnaie ? La société dans laquelle nous vivons donne-t-elle trop d'importance à l'individualisme ou au collectif ? Même si on peut s'interroger sur la pertinence d'inclure dans le film les scènes consacrées aux sourciers, guérisseurs et autres magnétiseurs, "Autonomes" a suffisamment de richesse par ailleurs pour occuper une place importante parmi les films "politiques au sens large" du moment, que ce soit des fictions ou des documentaires.
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2020
    Peut-on être "autonome" aujourd'hui ? François Bégaudeau est allé filmer en Mayenne des individus ou des groupes marginaux et conscients de l'être : un couple d'éleveurs d'agneaux, des sourciers, un magnétiseur qui dilate le ventre des vaches, une bande de potes qui a créé une ferme bio, une ancienne banquière qui dirige un café associatif, un chaman qui rassemble ses disciples dans une hutte à sudation, des moniales qui produisent des cierges artisanaux....

    Le meilleur du film est son dossier de presse. François Bégaudeau, touche-à-touche ébouriffant, joueur de foot reconverti à l'écriture, aussi à l'aise devant que derrière la caméra, propulsé en 2008 par le succès critique et public de "Entre les murs", y explique sa démarche.

    Il est allé filmer des marginaux en Mayenne, dans une terre de marche, à la frontière de la Bretagne (Aurélien Bellanger avait choisi pour les mêmes motifs ce département pour cadre de son roman "L'Aménagement du territoire").

    Il ne s'intéresse pas aux "bourrus", ces bourgeois ruraux (le néologisme est censé faire écho aux "bobos"), qui ont fait le choix de quitter la ville pour la campagne. Les personnes qu'il croise ont opté pour ce choix de vie radical et autosuffisant sous la contrainte. Ils ne pouvaient plus vivre en ville. Ils ne le pouvaient plus matériellement à cause du prix exorbitant des loyers. Ils ne le pouvaient plus physiquement, épuisés par le stress, la pollution, la fatigue. Pour eux, s'installer à la campagne était une question de survie.

    Mais survivre à la campagne n'est pas simple. Avec beaucoup d'intelligence, avec beaucoup de modestie, ces néo-ruraux inventent un nouveau mode de vie auto-suffisant, respectueux du biotope, solidaire, sinon solitaire. Chacun insiste d'ailleurs sur la nécessité des interactions sociales, utiles à la fois à la survie physique (faire du troc avec ses voisins permet d'obtenir les denrées qu'on ne produit pas) et mentale.

    "Autonomes" s'inscrit dans la veine de toute une série de documentaires français et étrangers qui interroge les possibilité d'une alternative à nos modes de vie jugés écocides : "2040" de Damon Gameau, "Demain" de Cyril Dion, "Tout s'accélère" de Gilles Vernet...

    Un seul caractère fait exception. C'est Camille, un homme des bois à la longue barbe rousse, qui pose des collets, vole des œufs et tire des faisans avec sa vieille pétoire. C'est seulement à la toute fin du générique qu'on découvre que ce personnage, interprété par l'acteur Alexandre Constant, est fictionnel. On se sent un peu floué par la supercherie et on mégote du coup son soutien à une démarche qui jusque là nous avait convaincus.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    382 abonnés 603 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2020
    Dans ce documentaire tourné dans la Mayenne et les Pays de Loire, le réalisateur s'est intéressé aux gens qui vivent en autonomie et nous fait découvrir comment ils le font. La démonstration est plutôt convaincante et intéressante à découvrir. On y voit des personnes qui ont choisi de vivre autrement en dehors du système et des codes. Que ce soit les fermes bio, le café solidaire, la boutique de troc, et même le très facétieux braconnier haut en couleur, tout est bien restitué. Le ton du film est sympathique et même souvent joyeux. La dernière partie du film qui traite de pratiques à mi-chemin entre la sorcellerie et le chamanisme m'a cependant paru trop longue et finalement pas très utile dans ce film.

    Bernard CORIC
    Michel Rueher
    Michel Rueher

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 août 2020
    Film décevant. Deux ou 3 expériences intéressantes sont présentées (comme une réinstallation dans une ferme agricole ou une épicerie gratuite) mais elles sont mises au même niveau que « l’autonomie » de religieuses qui fabriquent des cierges dans un couvent (et entretiennent un clergé qui ne travaille pas !) ou un voleur de poules.
    On a aussi l’impression que François Bégaudeau n’a aucune connaissance de la vie traditionnelle à la campagne et porte donc un regard vraiment caricatural de citadin sur ce monde (e.g. certaines scènes avec des pendules)
    Philippe L
    Philippe L

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Le monde de demain , film iconoclaste... voir ce film c'est faire preuve de bon gout... bienveillance, Alexandre Constant le gendre idéal pour tous ceux qui veulent mettre du piment dans leur vie fade et routinière... Morale ! non c'est toi qui l'a dit! non c'est toi! Ah non c'est toi .... Depardieu a trouver son maitre😉
    Manolo78
    Manolo78

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2020
    Pour moi, un documentaire ovni qui met en avant la curiosité du réalisateur sur ceux qui aspirent à une certaine autonomie, quelle soit financière, alimentaire, médical ou autre. Je trouve qu'il amène à se poser certaines questions sur le but de notre existence, rien que ça. Après, c'est vrai que les scènes sont assez inégales mais on y apprend des choses et on rigole aussi grâce au très bon "Alexandre Constant" que certains prennent vraiment pour un vrai personnage alors qu'il est le seul acteur du documentaire. Ce documentaire mérite à mon sens d'être vu.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 septembre 2020
    Ce n'est pas un documentaire, un des personnages est totalement fictif et assumé par le réalisateur lors d'une rencontre en avant-première, le générique de fin permet-il vraiment le décodage?
    Campagnards aurait été plus adéquat comme nom de ce film puisqu'il montre une collection d'habitants vivant en campagne ayant des modes de vie fort différents, la réflexion de certains étant intéressante, quelques passages inégaux.
    micco
    micco

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2021
    Ce film est vraiment bizarre ! Les sujets abordés ne correspondent pas tous à l'autonomie... je vois pas ce que la sorcellerie / l'occultisme vient faire là dedans.
    On ne saisit pas vraiment les intentions du réalisateurs, tout se mélange, sous entendu sans jamais vraiment avoir un propos clair .
    Et le final est juste hors de propos.
    Dommage car il y a des personnages attachants et sincères mais perdus dans un vaste bazar.
    J'ai voulu en faire profiter d'autres, je les ai vite averti de ne pas perdre leur temps !
    spoiler: Et puis le gars qui se fait shooter : la mise en scène est pas génial quand même...
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