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Peter Franckson
56 abonnés
1 164 critiques
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3,0
Publiée le 10 novembre 2016
Le film raconte les vacances à l’île d’Oléron d’un couple et de leurs 4 garçons. Le mari (Denis Podalydès) s’ennuie et décide de réaliser son rêve en achetant d’occasion (à crédit sur 2 ans), un bateau pêche-promenade, le « Zygomar » qu’il rebaptisera « Liberté-Oléron ». Malheureusement, il n’a jamais navigué et ne connait (mal) que la théorie du nautisme. Cela se regarde comme un gentil téléfilm qui sort de l’ordinaire grâce à la séquence du mauvais temps où le film passe de la comédie au mini-drame et où le père de famille révèle sa face noire..
E X C E L L E N T! Ce film est un vrai régal du début à la fin. Le scénario est génial,la mise en scène impeccable et les acteurs géniaux. Alors bravo à M.Bruno Podalydes pour cette comédie vraiment bien réussie.
Une comédie douce-amère dirais-je. les mésaventures de cette famille en vacances dont le père réalise son rêve de devenir plaisancier an achetant un voilier d'occasion, se déroulent sur un rythme tranquille laissant un humour subtil transparaître au fil des situations, en dépit de quelques grossièretés coutumières - que certains ont jugé "cultes" ans le contexte, et de séquences insistantes mais qui nous privent de leur dénouement (notamment l'histoire du moteur neuf qui ne fonctionne plus) Puis subitement il y a dans la dernière demi-heure cette scène de la famille en déroute sur le voilier lors du retour de l'île d'Aix, ou presque tous se lâchent pour dire n'importe quoi; et s'insulter tour à tour crescendo. Une séquence navrante qui saborde le film qui sans cela s'avérait une agréable comédie familiale. gâchis du potentiel sympathie en quelque sorte.
Certaines sequences sont hilarantes. Par moment, on pense à Jacques Tati. La derniere scene denote completement du reste du film et amène une dimension nouvelle à cette comédie plutot originale.
Un film qui ne prend pas. Autant le spectateur peut y voir nombre de scènes familières, autant l'objectif était de faire riret sur ce point c'est un échec.
Super film. Polyades achete un voilier d'occasion, il s'endette mais pour lui la liberté va vitre surpasser les inquietudes de sa femme.Un film drole car Polyades se prend pour un grand naviguateur !
Catastrophique j'ai regardé les 45 premières minutes et j'ai craqué... Un Vrai gros navet comme j'en avait rarement vu. Le jeu des acteurs est pitoyable, le scénario bien pire. Je le déconseille aux personnes de 7 a 77 ans, des deux sexes et quels que soient leur centres d'intérêt. Je n'ai jamais vu un film pareil. Une HONTE!!!
Deuxième long-métrage des frères Podalydès (Bruno à la réalisation, Denis en acteur principal), Liberté-Oléron nous fait suivre les tribulations d’une famille petite-bourgeoise au cours d’un été passé sur l’île charentaise, alors que le père se met en tête d’acheter un bateau à moteur pour occuper ses journées. Offrant un ton décalé et poétique, le film prend une tournure inattendue dans une dernière partie sous haute tension, où le déchaînement des éléments naturels et l’impréparation générale va mettre à mal ce semblant d’unité familiale. Malgré un personnage principal aux contours peu convaincants, une comédie douce-amer estivale qui se laisse suivre avec plaisir.
Comédie de 2001 portée par le réalisateur qui est le rôle principal, il y a de la consistance et une certaine originalité dans ces vacances en famille en bords de mer qui ne sont pas friquées. Mais beaucoup des péripéties n'ont rien de drôle et sont justes pitoyables même si elles font réalistes. Entre sordide et comédie, caricature et vulgarité, les moments un peu plus vrais, sympathiques ou poétiques sont vite oubliés et la chronique juste burlesque a un air rabougri et peu enrichissante.
Il y avait "Les vacances de Mr Hulot", il y a désormais les vacances des Monot sur l'île d'Oléron, famille de citadins lambda que la banalité de ses activités estivales n'empêche pas d'être singulièrement drôle. Comme Jacques Tati, mais de façon plus orale que visuelle, Bruno Podalydès décrit des vacanciers courants, réunis autour d'un professoral chef de famille (l'excellent Denis Podalydès), dont les comportements et les commentaires, aussi communs soient-ils, sont la source de jolis traits d'humour. Avec subtilité et acuité, le réalisateur confronte l'estivant moyen -chacun se reconnaitra à un moment ou un autre dans la famille Monot- avec ses poncifs, ses postures un peu ridicules ou parfois grotesques sur la plage ou dans son bungalow. La comédie devient résolument cocasse lorsque le père, satisfaisant à un vieux rêve et se piquant d'être un marin dans l'âme, s'offre un petit bateau et, en même temps, beaucoup de déconvenues... La composition de Denis Podalydès est savoureuse: dans ses prérogatives de chef de famille et dans ses admonestations et litotes paternelles, dans sa vanité nouvelle de capitaine de bateau, l'acteur présente une palette irrésistible de français moyen. C'est d'ailleurs autour de la personnalité de ce dernier -d'autant plus amusant dans ses façons qu'il n'est pas précisément un boute-en-train- que son réalisateur de frère construit l'essentiel de sa comédie.
est-ce une comédie?Si c'est le cas du moins pendant une heure c'est très moyennement réussi;la faute à un Denis Poladylès irritant au possible , antipathique et stressant.Est-ce voulu?Je ne sais pas mais c'est une énorme erreur de casting.Dans ke rôle du père acariâtre Christian Clavier ou JP Bacri auraient été parfaits, Poladylès joue très mal ce rôle et le film en est plombé.Je ne parlerai pas de la dernière partie, le naufrage dans tous les sens du terme, bascule t'on vers un autre film?Drame, thriller?Que nenni.En fait le père est un sale con, détestable au possible.Et pourtant Liberté-oléron recelle de réelles qualités et se laisse regarder, est ce mon côté chauvin de la charente-maritime ?