Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Fluctuat.net
par M.Merlet
(...) c'est sans scrupule que nous qualifierons le second long-métrage de Bruno Podalydès de révolutionnaire. Loin de tout spectaculaire, faisant foin du l'illusoire modernité, ce film pourtant innove. Avec modestie, il renouvelle une toute petite chose, un truc minuscule, en l'occurrence le comique de répétition, pour, insidieusement, le hisser au rang de la tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Aden
par Philippe Piazzo
Comédie drôlissime, faite de petits riens, de légers décalages d'humeur et de langage entre enfants et parents, mais aussi entre adultes, LibertéOléron laisse percevoir la gravité des êtres qui cachent leurs blessures, leurs colères et leur tristesse.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Marie Marvier
Voir la critique sur www.lexpress.fr
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Le Figaro Magazine
par Nicolas Rey
Liberté-Oléron est un film de vacances. Ironique, brusque et touchant. Il réinvente les névroses et la paresse des nuits d'été. Il raconte l'horreur et la bonté des adultes. Il murmure le refus des enfants. L'air de rien, en passant, comme un séjour au bord de l'amer.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par n.c.
Simplicité, fraîcheur et rigolade. Bruno Podalydès signe un excellent film qui nous met, à deux encablures des vacances, les pieds dans l'eau et du sable dans le maillot. Son frère Denis Podalydès, s'il n'est pas un capitaine ad hoc, est en revanche l'homme de la situation pour nous aider à mettre les voiles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Solaire et libre, drolatique et inquiétant, Liberté-Oléron est un film mineur réussi (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jean-Marc Lalanne
Après un premier long-métrage fantaisiste et sentimental, Dieu seul me voit, la team Podalydès (...) revient avec une comédie moins immédiatement séduisante, qui commence de façon un peu tiède pour s'achever en véritable douche glacée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Matthieu Orléan
(... ) tour à tour léger et poignant, tendre et incisif. Une tragi-comédie de plage.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
TéléCinéObs
par n.c.
Il n'est pas que joli de dire que les frères Podalydès se mouillent : en travaillant ainsi aux frontières de la comédie, ils se livrent à un exercice funanbulesque dont ils sortent indemnes. Et nous secoués mais ravis.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
(...) Bruno Podalydès navigue entre les registres, du burlesque classique au grinçant, du comique familial au rire jaune, de la notation affectueuse à l'humour vitriolé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
En travaillant sur les mots et les choses, le film atterrit logiquement en plein territoire burlesque. Un burlesque simple et efficace, mécanique et, naturellement, violent.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
D'où vient que le projet de Podalydès n'est réussi qu'à moitié ? Sans doute de la difficulté à doser harmonieusement la ligne de la comédie légère sur fond de réalisme psychologique, et celle du drame où bascule le sort des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Gentiment loufoque avec un vrai sens de la durée et du détail juste, le deuxième film du cinéaste reste en deçà du premier, Dieu seul me voit, car Podalydès s'empêtre dans un scénario un peu trop classique pour lui.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Le film est comme le temps en pleine mer : commencé sur le mode léger, il file sur le cocasse et le dérisoire, et vire au noir en plein large (...). On s'amuse gentiment mais on oublie vite. Comme les vacances.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Un petit film plutôt sympa, truffé de bonnes idées, de notations justes, mais qui, faute de bon maniement de la bôme, peut-être, menace d'échouer sur le sable de la laborieuse caricature. On peut, tout de même, lui souhaiter bon vent !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Cahiers du Cinéma
par Patrice Blouin
La médiocrité de ce milieu petit-bourgeois n'appelle que la commisération amusée du spectateur. On rit mal dans ces dernières scènes et cela tient moins à l'ambiguïté d'un genre (la comédie noire) qu'à celle, plus insidieuse, d'un type de charge humoristique qui ne dénonce les travers de ces caractères que pour les absoudre, au final, dans le fataslisme d'un ridicule généralisé.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Pas de chance, on ne rit ni souvent ni beaucoup tout au long de « Liberté-Oléron », les frères Podalydès (...), ont raté leur coup. Question de distance, sans doute, celle qu'ils ont ou qu'ils n'ont pas avec leurs personnages (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Elle (la comédie) repose sur un argument plaisant, quoique loin d'être bouleversant (...) et sur un pari qui s'avère intenable : installer au centre du récit un non-personnage (...). L'excellent Bruno Podalydès ne peut rien pour donner existence à cet antipathique ectoplasme qu'il est censé incarner (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par n.c.
Faut qu'on leur dise aux frangins Poda sans quoi leur prochain film nous racontera en 2h30 la cuisson d'une ratatouille provençale : trop de détails et le dérisoire fait long feu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Fluctuat.net
(...) c'est sans scrupule que nous qualifierons le second long-métrage de Bruno Podalydès de révolutionnaire. Loin de tout spectaculaire, faisant foin du l'illusoire modernité, ce film pourtant innove. Avec modestie, il renouvelle une toute petite chose, un truc minuscule, en l'occurrence le comique de répétition, pour, insidieusement, le hisser au rang de la tragédie.
Aden
Comédie drôlissime, faite de petits riens, de légers décalages d'humeur et de langage entre enfants et parents, mais aussi entre adultes, LibertéOléron laisse percevoir la gravité des êtres qui cachent leurs blessures, leurs colères et leur tristesse.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
Liberté-Oléron est un film de vacances. Ironique, brusque et touchant. Il réinvente les névroses et la paresse des nuits d'été. Il raconte l'horreur et la bonté des adultes. Il murmure le refus des enfants. L'air de rien, en passant, comme un séjour au bord de l'amer.
Le Parisien
Simplicité, fraîcheur et rigolade. Bruno Podalydès signe un excellent film qui nous met, à deux encablures des vacances, les pieds dans l'eau et du sable dans le maillot. Son frère Denis Podalydès, s'il n'est pas un capitaine ad hoc, est en revanche l'homme de la situation pour nous aider à mettre les voiles.
Les Inrockuptibles
Solaire et libre, drolatique et inquiétant, Liberté-Oléron est un film mineur réussi (...)
Libération
Après un premier long-métrage fantaisiste et sentimental, Dieu seul me voit, la team Podalydès (...) revient avec une comédie moins immédiatement séduisante, qui commence de façon un peu tiède pour s'achever en véritable douche glacée.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
(... ) tour à tour léger et poignant, tendre et incisif. Une tragi-comédie de plage.
TéléCinéObs
Il n'est pas que joli de dire que les frères Podalydès se mouillent : en travaillant ainsi aux frontières de la comédie, ils se livrent à un exercice funanbulesque dont ils sortent indemnes. Et nous secoués mais ravis.
Télérama
(...) Bruno Podalydès navigue entre les registres, du burlesque classique au grinçant, du comique familial au rire jaune, de la notation affectueuse à l'humour vitriolé.
Urbuz
En travaillant sur les mots et les choses, le film atterrit logiquement en plein territoire burlesque. Un burlesque simple et efficace, mécanique et, naturellement, violent.
Chronic'art.com
D'où vient que le projet de Podalydès n'est réussi qu'à moitié ? Sans doute de la difficulté à doser harmonieusement la ligne de la comédie légère sur fond de réalisme psychologique, et celle du drame où bascule le sort des personnages.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Gentiment loufoque avec un vrai sens de la durée et du détail juste, le deuxième film du cinéaste reste en deçà du premier, Dieu seul me voit, car Podalydès s'empêtre dans un scénario un peu trop classique pour lui.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le film est comme le temps en pleine mer : commencé sur le mode léger, il file sur le cocasse et le dérisoire, et vire au noir en plein large (...). On s'amuse gentiment mais on oublie vite. Comme les vacances.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Un petit film plutôt sympa, truffé de bonnes idées, de notations justes, mais qui, faute de bon maniement de la bôme, peut-être, menace d'échouer sur le sable de la laborieuse caricature. On peut, tout de même, lui souhaiter bon vent !
Cahiers du Cinéma
La médiocrité de ce milieu petit-bourgeois n'appelle que la commisération amusée du spectateur. On rit mal dans ces dernières scènes et cela tient moins à l'ambiguïté d'un genre (la comédie noire) qu'à celle, plus insidieuse, d'un type de charge humoristique qui ne dénonce les travers de ces caractères que pour les absoudre, au final, dans le fataslisme d'un ridicule généralisé.
L'Obs
Pas de chance, on ne rit ni souvent ni beaucoup tout au long de « Liberté-Oléron », les frères Podalydès (...), ont raté leur coup. Question de distance, sans doute, celle qu'ils ont ou qu'ils n'ont pas avec leurs personnages (...)
Le Monde
Elle (la comédie) repose sur un argument plaisant, quoique loin d'être bouleversant (...) et sur un pari qui s'avère intenable : installer au centre du récit un non-personnage (...). L'excellent Bruno Podalydès ne peut rien pour donner existence à cet antipathique ectoplasme qu'il est censé incarner (...)
Première
Faut qu'on leur dise aux frangins Poda sans quoi leur prochain film nous racontera en 2h30 la cuisson d'une ratatouille provençale : trop de détails et le dérisoire fait long feu.