Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
L'excellence des acteurs rend l'ensemble aussi crédible que prenant.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un premier film bouleversant, porté par trois acteurs exceptionnels et signé d’une documentariste de la révolte et de la précarité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Trois comédiens impériaux. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Sombre malgré une lueur d’espoir finale, ce long-métrage est porté par trois acteurs magnifiques. Karim Leklou qui incarne un homme tendre et inquiétant, parfois terrifiant tant on craint que sa souffrance retenue n’explose tout à coup, est d’une intensité incroyable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Aux antipodes des poncifs qui encombrent si souvent le genre du film de prison, la documentariste Eve Duchemin signe une première fiction intense et fiévreuse qui prohibe la complaisance. Prometteur malgré quelques maladresses.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un coup d’essai convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
En ne disant rien de ce qui les a conduits derrière les barreaux, la réalisatrice donne à voir l’humanité de ses personnages, que l’on ne s’attendait pas à trouver si magnétiques et émouvants.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film fort et sans concession qui ouvre la réflexion sur le bien-fondé de notre organisation carcérale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Zoé Lhuillier
En cadrant le corps [des] personnages au plus près, [...] le moindre geste prend l'ampleur d'un rituel, dans un quotidien baigné d'une violence légale et scandé par des exercices de virilité [...] Néanmoins, le dispositif narratif vient se heurter à l'écueil d'un scénario faussement choral [...] La mise en scène ne parvient pas toujours à compenser les faiblesses d'un jeu d'opposition parfois trop schématique [...]
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Le film n’a rien d’un aride manifeste social. La fragilité de ses personnages aux prises avec une dangereuse liberté, la tension toujours à l'œuvre en font un tissage de portraits sensibles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par O. D.
Jarod Cousyns et Karim Leklou sont parfaits dans leurs rôles respectifs, mais c'est l'acteur vétéran Isaka Sawadogo qui emporte le morceau. L'ensemble est cohérent, bien mené, mais on reste quand même sur sa faim...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un récit tendu, parfois âpre, mais touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
La réalisatrice étudie minutieusement la problématique de la réinsertion, à travers trois parcours fictionnels de détenus en permission. Le film n’arrive cependant pas à créer une communion entre les histoires, créant une narration d’une efficacité inégale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Première
par Thierry Chèze
Trois histoires intenses - dont chacune aurait pu mériter un film à elle seule - portés par trois interprètes impressionnants, en tête desquels Karim Leklou qui poursuit son début 2023 de feu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par S.O.
Ces trois histoires donnent l'impression que Temps mort contient trois films en un, ce qui est à la fois sa richesse et sa limite.
Télérama
par Samuel Douhaire
Au risque d’un scénario un peu trop mécanique dans sa gestion de l’alternance entre leurs histoires respectives, aussi secouantes et, parfois, poignantes soient-elles. Mais la réalisation au plus près des corps et des visages est efficace, autant dans les scènes sous haute tension que dans les moments plus apaisés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Clarisse Fabre
Suivant un montage alterné, sur les pas de ces hommes, confrontés aux difficultés de renouer avec la vie, le film devient assez vite monotone et prévisible, avec sa galerie de personnages féminins salvateurs – la mère, la sœur, la petite amie, ce dernier personnage étant toutefois le plus réussi, apportant une légèreté bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
Le film touchait enfin du doigt ce qu’il ne fera qu’effleurer superficiellement par la suite : le moment tragique où les condamnés se rendent compte qu’à la peine pénale se substitue sans temps mort une honte sociale, qui elle, est sanctionnée à perpétuité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Le soin apporté à polir les nuances de pudeur et de malaise sourd s’éprouve comme une forme de maniérisme passe-partout. Le bagage psychologique est lourd et le film s’écrase autant qu’il s’asphyxie sous son poids.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Femme Actuelle
L'excellence des acteurs rend l'ensemble aussi crédible que prenant.
L'Obs
Un premier film bouleversant, porté par trois acteurs exceptionnels et signé d’une documentariste de la révolte et de la précarité.
La Voix du Nord
Trois comédiens impériaux. Bouleversant.
Le Parisien
Sombre malgré une lueur d’espoir finale, ce long-métrage est porté par trois acteurs magnifiques. Karim Leklou qui incarne un homme tendre et inquiétant, parfois terrifiant tant on craint que sa souffrance retenue n’explose tout à coup, est d’une intensité incroyable.
Les Echos
Aux antipodes des poncifs qui encombrent si souvent le genre du film de prison, la documentariste Eve Duchemin signe une première fiction intense et fiévreuse qui prohibe la complaisance. Prometteur malgré quelques maladresses.
Marianne
Un coup d’essai convaincant.
Télé 7 Jours
En ne disant rien de ce qui les a conduits derrière les barreaux, la réalisatrice donne à voir l’humanité de ses personnages, que l’on ne s’attendait pas à trouver si magnétiques et émouvants.
aVoir-aLire.com
Un film fort et sans concession qui ouvre la réflexion sur le bien-fondé de notre organisation carcérale.
Cahiers du Cinéma
En cadrant le corps [des] personnages au plus près, [...] le moindre geste prend l'ampleur d'un rituel, dans un quotidien baigné d'une violence légale et scandé par des exercices de virilité [...] Néanmoins, le dispositif narratif vient se heurter à l'écueil d'un scénario faussement choral [...] La mise en scène ne parvient pas toujours à compenser les faiblesses d'un jeu d'opposition parfois trop schématique [...]
Culturopoing.com
Le film n’a rien d’un aride manifeste social. La fragilité de ses personnages aux prises avec une dangereuse liberté, la tension toujours à l'œuvre en font un tissage de portraits sensibles.
Le Figaro
Jarod Cousyns et Karim Leklou sont parfaits dans leurs rôles respectifs, mais c'est l'acteur vétéran Isaka Sawadogo qui emporte le morceau. L'ensemble est cohérent, bien mené, mais on reste quand même sur sa faim...
Le Journal du Dimanche
Un récit tendu, parfois âpre, mais touchant.
Les Fiches du Cinéma
La réalisatrice étudie minutieusement la problématique de la réinsertion, à travers trois parcours fictionnels de détenus en permission. Le film n’arrive cependant pas à créer une communion entre les histoires, créant une narration d’une efficacité inégale.
Marie Claire
Émouvant.
Première
Trois histoires intenses - dont chacune aurait pu mériter un film à elle seule - portés par trois interprètes impressionnants, en tête desquels Karim Leklou qui poursuit son début 2023 de feu.
Télé Loisirs
Ces trois histoires donnent l'impression que Temps mort contient trois films en un, ce qui est à la fois sa richesse et sa limite.
Télérama
Au risque d’un scénario un peu trop mécanique dans sa gestion de l’alternance entre leurs histoires respectives, aussi secouantes et, parfois, poignantes soient-elles. Mais la réalisation au plus près des corps et des visages est efficace, autant dans les scènes sous haute tension que dans les moments plus apaisés.
Le Monde
Suivant un montage alterné, sur les pas de ces hommes, confrontés aux difficultés de renouer avec la vie, le film devient assez vite monotone et prévisible, avec sa galerie de personnages féminins salvateurs – la mère, la sœur, la petite amie, ce dernier personnage étant toutefois le plus réussi, apportant une légèreté bienvenue.
Les Inrockuptibles
Le film touchait enfin du doigt ce qu’il ne fera qu’effleurer superficiellement par la suite : le moment tragique où les condamnés se rendent compte qu’à la peine pénale se substitue sans temps mort une honte sociale, qui elle, est sanctionnée à perpétuité.
Libération
Le soin apporté à polir les nuances de pudeur et de malaise sourd s’éprouve comme une forme de maniérisme passe-partout. Le bagage psychologique est lourd et le film s’écrase autant qu’il s’asphyxie sous son poids.