"Ma BM, ma BM, ça voulait dire qu'on était riche", "Alors accroche toi ma belle, je vais te casser les pattes car je suis chaud bouillant", autant de répliques cultes devant une suite honorable!!! Deuxième volet des amis juifs du sentiers qu'on retrouve avec grand plaisir avec un scénario, cette fois, plus approfondit et plus drole que son prédécesseur qui démarre fort avec un générique à la James Bond. Une suite et des emmmerdes, la boite à Eddie, Dov et Yvan est en faillite à cause d'un gros client actionnaire manipulateur, Serge qui rencontre et ment à une fille qu'il aime qu'il se fait passer pour un riche businessman alors qu'il est coursier, chose qui devient plus compliqué plus tard avec le mariage et la belle famille, Yvan qui couche avec la femme de Dov, autant de péripéties et de remus ménages qui nous font rire et passer un bon moment. Une réussite pour le réalisateur Thomas Gilou et sa pléiade d'acteurs comme Richard Anconina, José Garcia (trés en forme), Gilbert Melki, Bruno Solo, Gad Elmaleh (qui remplace Vincent Elbaz), Enrico Macias (surprenant), Aure Atika, Amira Casar, Elisa Tovati, Nicole Kalfan, Daniel Prévost, PEF etc.... Distrayant!
Excellente suite malgré le personnage de Dove qui change de tête mais Gad s'est tire super bien. Scénario bien ficelé et tous s'éclatent pour notre plus grand bonheur .. "Serge t'es un gagnant" José Garcia est grandiose dans son role attendrissant de looser amoureux de sa belle .. un régal à déguster en hiver ou en période de blues...
Une suite sur le même ton que le premier volet, avec quelques répliques vraiment poilante mais qui accumule toujours autant de clichés et ça en devient agaçant.
Le premier volet était déjà difficilement supportable, et on lui a hélas, attribué une suite, plus atroce encore. Un succès incompréhensible de plus du cinéma français. Gad Elmaleh sur grand écran, c'est vraiment synonyme de navet. Gad Elnaveh? Hahaha Hohoho, hihihi, huhuhu hehehe, qu'est-ce que je me marre, j'en ai les larmes aux yeux. Vivement le numéro 3.
Un film pitoyable sans intérêt au scénario plus qu'ordinaire. La majorité des scènes se veulent drôles mais s'avèrent finalement aussi vulgaires les unes que les autres avec de l'humour ringard et ras-la-ceinture et du même coup des dialogues obscènes d'une incivilité sans nom. Dommage que tout cela gâche une distribution attirante. A éviter.
On prend les mêmes (ou presque) et on recommence. Après l'immense succès de La vérité si je mens!, revoici Thomas Gilou aux commandes d'une suite encore meilleure que le précédent. Nous retrouvons donc naturellement Richard Anconina, l'inénarrable José Garcia, Bruno Solo, Gilbert Melki ainsi que le nouveau venu Gad Elmaleh (qui remplace Vincent Elbaz) au centre d'une intrigue hilarante où les destins de chacun vont être amenés à se croiser. Eddie se retrouve ruiné suite à une grosse escroquerie, Dov le volage se sépare de Karine qui se retrouve dans les bras consolateurs d'Ivan tandis que Serge le mythomane trouve enfin l'amour auprès de la jeune et jolie Chochana (Elisa Tovati). Tout ce petit monde, auquel il ne manque que le regretté Elie Kakou, va dans la seconde partie du film s'entraider afin d'escroquer à leur tour le diabolique Vierhouten (monstrueux Daniel Prevost), magnat des supermarchés discount, qui a sacrément entubé l'équipe. Eddie et ses amis préparent donc un plan aussi démesuré qu'audacieux pour se venger, allant du Sentier parisien au désert marocain. La mise en scène de Gilou reste comme d'habitude sobre mais dynamique, le réalisateur laissant la part belle à ses comédiens tous plus complices les uns que les autres, en particulier José Garcia, devenu une véritable star après le premier film, qui se taille ici la part du lion. Dommage en revanche pour Gad Elmaleh qui, malgré un ton comique réussi, n'arrive pas à clairement s'imposer comme le petit nouveau parmi les anciens. Cependant, de gags fins en répliques cultes ("Serge, t'es un gagnant !"), de quiproquos hilarants en situations burlesques, La vérité si je mens! 2 reste une pure merveille en matière de comédie française, obtenant instantanément un statut de film culte inlassable et férocement drôle. Moins dramatique que son prédécesseur et au contraire plus comique, cette séquelle est un enchantement pour se muscler les zygomatiques.