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Biertan64
49 abonnés
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3,5
Publiée le 24 mars 2021
Quatre ans après "la Vérité si je mens", Thomas Gilou change légèrement de ton: si le 1 était d'abord une vision du monde des marchands de tissus juifs du Sentier mais présenté avec un fond humoristique, le 2 est avant tout une pure comédie, avec dialogues amusants et quiproquos, le Sentier étant plus le contexte que le sujet. Moins réaliste donc mais plus drôle, en partie grâce à Serge "le mytho" Bénamou (José Garcia). Cette suite, presque parodique du premier avec un côté yalla! et bling-bling amplifiés, est ainsi meilleure, plus énergique et un moment de détente garanti. Mange du crabe.
Une suite sur le même ton que le premier volet, avec quelques répliques vraiment poilante mais qui accumule toujours autant de clichés et ça en devient agaçant.
On a beau dire ce que l'on veut, le deuxième volet de "La vérité si je mens" ne mérite mais clairement pas sa réputation et s'inscrit comme une comédie inutile dont la seule priorité est de tenter de faire sourire sans jamais y arriver. Ce n'est pas tant l'irritation dont certains acteurs font l'objet, mais plutôt un manque cruel d’intérêts dans le scénario qui déplaît fortement. Et pour cause, si José Garcia y est fidèle à lui-même, crédible mais aussi très débrouillard, Gad Elmaleh comme Bruno Solo n'y sont pas franchement convaincants. Il est clair que le résultat peut laisser le spectateur dubitatif quant aux attentions douteuses de Thomas Gilou. Voulait-il parodier le monde de l'escroquerie ? Ou voulait-il en faire un dessin qui n'a pas été convaincant ? Au vue de l'ambiance nauséabonde du film, la réponse ne peut être clairement identifiée.
Je n'avais pas aimé le premier... Mais alors celui-là, EXCELLENT ! Toute la bande évidemment est à hurler de rire, Daniel Prévost épaulé par Pef des Robin des Bois est parfait en arnaqueur. La véritable star du film est José Garcia qui explose dans le rôle de Serge Benhamou. Et les nanas sont très belles. La vérité, on passe un excellent moment !
On prend quasi les mêmes Vincent Elbaz est remplace par Gad Elmaleh) et on recommence . Ça reste bon mais sent un peu le réchauffé. Gad Elmameh est pour moi moins bon que Vincent Elbaz et dans les nouveaux personnages seul Daniel Pruvost dans le rôle d un salopard parvient à tirer son epingle du jeu
On retrouve exactement la même équipe, avec Gald Elmaleh en très bon remplaçant pour Dov. Une comédie encore plus hilarante avec des situations encore plus cocasses. Très bon divertissement. José Garcia est encore une fois le meilleur de mon point de vue.
Volet le plus réussi de la saga, ce second opus possède un scénario solide, dynamique et très bien ficelé, avec un humour hilarant, notamment grâce à la présence plus prégnante de José Garcia en "roublard maladroit" ou l'arrivée de Daniel Prévost (en gérant machiavélique d'Eurodiscount). Les dialogues sont franchement incisifs et drôles et on s'attache à tous les personnages.
Dans la continuité du premier, ni trop génial ni trop mauvais. Mais un peu lassant vers la fin tout de même !!! Les 5 acteurs me font toujours autant rire.
Nous retrouvons Eddie Vuibert en père de famille comblé et dirigeant une affaire prospère. Seulement dans le même souci d’innovation qui l’a fait quitter Benzakem, Eddie souhaite passer à l’étape supérieure en se lançant à l’assaut de la distribution en grande surface. Manque de bol, il tombe dès le départ sur un escroc qui le laisse sans rien mais Eddie peut une nouvelle fois compter sur son ingéniosité et ses amis… Pour beaucoup "La vérité si je mens ! 2" est meilleure que son prédécesseur. Il est vrai que de par son histoire allégée (une simple histoire de vengeance) ce second opus est plus propice à des gags propres à chaque personnage mais ce n’est au final qu’une mécanique comique différente. Pour le casting on notera la place privilégiée prise par José Garcia, si ses effusions de voix ne vous exaspèrent bien sûr, mais aussi le remplacement peu avisé de Vincent Elbaz par Gad Elmleh. En effet ce dernier trop guindé ne réussira jamais à convaincre dans ce rôle contrairement au duo Prévost / Pef côté ennemis. Avec moins de panache, Thomas Gilou réalise néanmoins une suite tout à fait acceptable surtout grâce à ses acteurs habitant des personnages hauts en couleur.
Avec le succès qu’a rencontré le premier épisode, il était presque naturel de voir apparaitre un second épisode et la bonne nouvelle c’est qu’on retrouve presque toute l’équipe. Presque oui car Vincent Elbaz laisse sa place à Gad Elmaleh en dehors de ça la bande potes est au complet et la vérité, la bonne humeur est toujours au rendez-vous ! Bon l’effet de surprise n’est plus là mais pour compenser on a droit à un Serge Benamou déchainé et qui éclipserait presque ses petits camarades. La vérité si je mens 2 est une comédie digne de son prédécesseur, le seul reproche c’est que les personnages féminins finissent par faire de la simple figuration.
4 ans ont passé, mais la recette reste inchangée. La vérité si je mens 2 reprend donc là où l’on nous avait laissé. Casting 3 étoiles (renforcé, entre autres par un jeune Gad), on sent ici que la bande de potes s’amuse, ce pour notre plus grand bonheur. Reste cependant un scénario qui ne restera pas dans les annales, une BO classique, une réalisation franchouillarde… Bref, on passe une fois de plus un bon moment, mais rien d’exceptionnel…
Sur la vie de ma mère, ce film c'est de la vraie m***. nul, narcissique, auto-complaisant même si bien joué (Melki, Solo et Garcia surtout, gad elmaleh est lui franchement très moyen)
Autant le dire d’emblée, « la vérité si je mens », 2ème de ce nom est fort sympathique et plutôt très bien joué. Il est rare qu’une suite fasse mieux que le précédent épisode mais cette fois, c’est l’exception qui confirme la règle. On prend les mêmes (ou presque) et on retrouve nos joyeux drilles dans le quartier du Sentier à Paris. L’humour est communicatif, les dialogues percutants, les personnages truculents, le scénario amusant. Le film atteint donc son objectif, celui de nous divertir et de nous faire rire. A noter, le flambeur et le flamboyant José Garcia dans une forme quasi olympique qui n’est pas pour nous déplaire dans son personnage de mythomane haut en couleur.