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    Petite Fille
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    Marcologie
    Marcologie

    38 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mars 2021
    Ce « documentaire » est un symptôme de notre époque. En fait il n’est en rien un documentaire mais bien un clip militant. Il maîtrise parfaitement les mécaniques destinées à susciter l’émotion et l’empathie donc l’adhésion du public. Tout y est, des images qu’on pense prises sur le vif, au fil de la vie. Sauf que le montage est bien là, appuyant lourdement le propos, avec force gros plans de l’enfant qui rit ou qui pleure, musique emphatique, effets de lumière… La scénarisation est aussi très réussie, les gentils, la famille, l’hôpital contre les méchants, l’école. Et ça fonctionne, il suffit de lire les critiques 5 étoiles avec plein de « touchant, sensible, émouvant, j’ai pleuré... ». Mais que nous apprend t-il exactement ? rien. Où est l’argumentaire et le contre argumentaire qui permettrait au spectateur de se faire son propre avis ? nulle part. Certainement parce que l’auteur estime qu’il ne peut y avoir qu’un seul point de vue possible, l’acceptation sans aucun questionnement pertinent. Même les Cahiers du cinéma n’y trouve rien à redire : « ... point d’orgue de clarté verbale et d’émotion, la première consultation chez une pédopsychiatre spécialiste de la question. » Mais c’est justement par cette « spécialiste de la question » qu’on a la désagréable impression que tout n’est pas si clair. La mère du petit garçon qui se pense fille, se pose, elle, de bonnes questions. Elle voulait une fille et en a fait une fixation selon ses dires, jusqu'à ce prénom ambigu, Sacha. A-t-elle influencé inconsciemment la construction psychique de son fils ? « Non ce n’est pas ça » balaye définitivement « la spécialiste ». Alors quelles sont les causes de la dysphorie de genre demande t-elle ? (et nous aussi) « On ne sait pas » répond la spécialiste. En voilà un curieux paradoxe, on ne sait pas d'où ça vient mais on sait d'où ça vient pas... Sauf que, comme le montre les témoignages des personnes qui regrettent leur transition et ont fait une détransition, beaucoup évoquent bien l'influence de leur environnement et que si elles ne se sentaient effectivement pas bien dans leur corps, finalement changer de sexe n'était pas la réponse à leur « dysphorie de genre » (voir notamment le site Post trans). Ces cas existent même si le milieu LGBT préfère ne pas les évoquer et vont même jusqu'à les rejeter. Pourquoi ne sont-ils pas pas non plus évoqué à l'hôpital Robert Débré ?. Donc aucun dépistage ou thérapie pour examiner les raisons derrière le désir de transition et même une accélération dès ce premier rendez-vous avec un traitement proposé pour retarder la puberté. Tout semble aller trop vite même pour la famille, dont le père se questionne sur les conséquences physique de ce traitement. « C'est réversible » balaye là encore  la spécialiste ». Bon dans un second temps elle évoque bien un risque d'infertilité (ah bon alors c'est plus si irréversible que ça) mais la science y apportera de toute façon une réponse. Il suffit de voir la tête de l'enfant pour comprendre qu'il ne capte rien du tout de ce qui lui est dit. D'ailleurs comment à 8 ans peut-on comprendre l'impact que cela peut avoir dans sa vie future sociale et intime ? Le bon sens nous dit quand même que retarder la puberté va forcément avoir une influence sur un jeune corps et un cerveau en plein développement. Et si le bon sens ne suffit pas une recherche internet ne fait que confirmer qu'il y a bien des impacts lourds de ce type de traitement.
    Au final, c'est donc plutôt un profond sentiment de malaise dès qu'on dépasse un peu le joli clip bien fait et quand on sait que 700 enfants sont actuellement « soignés » pour dysphorie de genre. Le discours médical semblant se confondre avec le discours militant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 mars 2021
    C'est un sujet d'actualité sur lequel il ne faut plus hésiter à communiquer.
    J'ai trouvé ce reportage bouleversant et plein d'amour. Il doit être si difficile pour un enfant tout comme pour sa famille de trouver les mots les comportements face à cette situation. Nous voulons tous rendre heureux nos enfants et je pense que cette famille est remarquable chacun à son niveau.
    BRAVO !
    Il serait intéressant de revoir Sasha ds qlq années...
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2021
    C'est intéressant de pouvoir approcher un problème qu'on connait peu et d'avoir une équipe de tournage aussi importante capturer des moments aussi intimes.
    Peu de réponses apportées cependant, j'aime beaucoup quand la pédiatre peut dire qu'on ne sait pas expliquer mais qu'on sait dire à quoi ce n'est pas dû...hum...
    Bonne chance à la famille, à mon avis cette partie de l'enfance (avec un physique androgine relativement crédible) est à mon avis la partie la plus facile, le plus dur reste à venir!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mars 2021
    Vraiment vraiment mais vraiment magnifique comme documentaire et les parents sont in-cro-yables.
    Je suis touchée par tout l’amour que la maman dégage pour son enfant à travers ce documentaire.
    Vraiment Madame bravo pour tout ce que vous faites pour votre fille afin qu’elle s’épanouisse entièrement dans ce qu’elle souhaite être. Si seulement tous les parents étaient comme vous pour laisser leurs enfants vivre pleinement comme ils ont envie d’être et non systématiquement en fonction des normalités. Je recommande a 100%, c’est tellement beau. Bravo Bravo Bravo.
    GaëlM
    GaëlM

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mars 2021
    C’est le documentaire le plus poignant que j’ai vu concernant la transidentite. Je me suis vu à travers cette petite fille étant enfant car j’ai vécu la même chose à son âge. Bravo à sa petite famille d’être près d’elle à la soutenir et l’aider à surmonter tout ça. C’est tellement beau et dure à la fois mais tellement nécessaire. L’homme a fait un grand pas en avant en 2021 car il y’a encore 5 ans c’était invisible aux yeux du public. Bravo à la réalisation de ce reportage
    Sijosdir
    Sijosdir

    22 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 mars 2021
    Alors que j'ai beaucoup aimé "Adolescentes", qui ne prenait pas parti mais se contentait de suivre les protagonistes dans leur quotidien, j'ai trouvé "Petite Fille" moins intéressant car trop "engagé".
    En effet, alors qu'on parle d'un enfant de 7 ans, le documentaire ne laisse aucune place au doute : il s'agit d'une fille dans un corps de garçon. Ceux qui émettent des doutes (le corps enseignant notamment) sont d'affreux rétrogrades. Or la prise de conscience de la mère, comme quoi son enfant né garçon est en fait une fille, c'est avant tout une crise de larmes qu'il a eue à... 4 ans alors qu'on lui expliquait qu'il ne pouvait pas devenir une fille ! Fille dont elle-même rêvait. Cela, bien sûr, ne peut absolument pas avoir joué sur la façon dont s'est construit l'enfant (balayé d'un revers de main par la psychiatre, incroyable !). N'aurait-il pas été plus raisonnable d'attendre, tout en laissant son enfant jouer à ce qu'il veut, avec qui il veut, en l'habillant avec des vêtements neutres... ? Là, il n'y a plus de retour en arrière possible, et le futur s'annonce bien difficile pour Sasha, l'adolescence, cela va être une autre paire de manches...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 mars 2021
    La question du genre, au delà du féminin et du masculin, est tout juste effleuré. La mère est présentée en mère courage mais on fini par se demander si ce n'est pas elle qui a besoin d'une cause pour donner du sens à sa vie. Elle réfute que l opinion des autres se fasse sur une ligne sur un papier, mais elle se bat pour obtenir un papier du médecin. Effectivement, la question du genre est très intéressante, brûlante ces dernières années et c'est un sujet qui mérite d'être abordé avec finesse pour que les esprits se dilatent. Pas sur pourtant, avec cette figure maternelle très présente, cette petite fille effacée, ces autres membres absents que le spectateur venant sans conviction y trouve matière à faire évoluer son point de vue
    tonyhw
    tonyhw

    42 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2021
    Avant tout, il faut savoir que la « dysphorie de genre » (terme pour le moins discutable puisque le « genre » n’a aucune réalité scientifique) n’est rien d’autre que ce qu’on appelait il n’y a pas si longtemps encore un trouble de l’identité sexuelle, et que ce trouble, souvent transitoire même s’il perdure parfois jusqu’à l’adolescence, est presque toujours dû à une relation problématique avec la mère... relation qui hélas n’est guère creusée ici, alors qu’elle devrait être au cœur du film. L’auteur de ce film est-il naïf ? Complaisant ? Ou tout simplement ignorant ?... En tout cas, son approche très superficielle (sans parler des délires irresponsables de la « spécialiste » consultée, prête à prescrire des hormones à un enfant pré-pubère !!!) rend cette histoire d’autant plus émouvante et douloureuse.
    Hana Nubia
    Hana Nubia

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mars 2021
    C'est incroyable que dans notre société on soit autant intolérance envers des personnes qui décident d'être eux-mêmes. La transidentité a toujours existé. Il serait temps d'ouvrir des livres d'histoire plutôt que des nouvelles applications toujours plus stupides. Un 5 étoiles pour un documentaire plein d'amour et de bienveillance. En espérant que les mentalités évoluent ou du moins qu'on laisse les gens vivre selon leur envie.
    Bryan V.
    Bryan V.

    73 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2021
    J'ai regardé "Petite Fille", un peu de tolérance dans ce monde de brut ne peut pas faire de mal. Ce documentaire fait en ce moment un peu parler de lui. Le documentaire est sorti récemment chez Arte et dernièrement chez Netflix ce qui a boosté un peu plus sa place dans l'actualité. C'est un film documentaire français qui suit la vie de Sacha et sa famille sur une période d'un an. On tient là, un sujet qui peut être encore très tabou pour beaucoup, mais aide vraiment à comprendre beaucoup de choses. Une chose est sûre quoi que l'on pense de l'histoire de cette famille, ce film documentaire est touchant. Je souhaite beaucoup de courage à cette petite et son entourage qui a le droit au bonheur comme tout le monde et ça peu importe les différences !
    PierrEtte
    PierrEtte

    5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2021
    Documentaire très bien filmé, avec beaucoup de sensibilité. La forme pas de problème, par contre le fond... le problème du fond n'est pas tant le dysphorie de genre, si ça existe etc., ce n'est pas non plus que les enfants se posent des questions, c'est normal. Là le problème c'est la mère... qui a quatre enfants, mais qui a fait une fixation dès la grossesse sur n°3 et nous assistons à l'exécution d'une prophétie auto-réalisatrice, elle voulait une fille, elle a fabriqué de toutes pièces une fille. Et ce pauvre enfant est bien emmerdé, on le voit, malheureux, triste, pleure parce qu'il veut absolument correspondre aux attentes de sa mère. Quoi qu'elle dise elle fait tout pour que Sacha, qu'elle souhaitait fille, dont elle était déçue qu'elle n'en soit pas une, dont les testicules n'étaient pas descendues (c'est un signe!), à qui ils ont aussi donné un prénom ambigu, dont elle dit que c'est son combat blablabla, elle fait juste tout pour que cet enfant soit une fille parce qu'elle projette et qu'elle s'enferre dans son délire. Son mari l'aime, il la suit dans son délire. Ses autres enfants, pour avoir un peu d'attention, la suivent dans son délire, son combat. Et pendant ce temps-là Sacha est déguisé, surinvesti en fille, à coup de teeshirts à messages, paillettes, voilettes, talons, danse classique... on nage en plein stéréotype de genre, c'est donc ça être une fille? Avoir un million de poupées genrées qui entretiennent les stéréotypes sur le genre féminin? porter constamment des jupes? non, ce n'est pas ça, c'est certes construit, mais c'est construit sur une identité sexuée. Je plains très sincèrement ce pauvre enfant qui de surcroit ne sera jamais sorti des griffes de sa mère parce que par ailleurs elle semble s'occuper très correctement de ses enfants, mais cet enfant-là, il subit une fixation, un délire familial parti de la mère et qui a contaminé tout le monde. L'école résiste? C'est des cons, les éducateurs résistent? C'est des transphobes. Ils sont prêts à en découdre, juste pour avoir raison. Non, les profs, les éducateurs ne veulent que le bien de cet enfant. Et le médecin, vouloir arrêter avant qu'elle n'apparaisse la puberté? parce que la puberté ça ne contribue qu'à l'identité genrée? C'est quoi ce médecin? la puberté ça contribue aussi à la maturation du système nerveux central, à devenir un adulte! parler préservation de fertilité devant un enfant de huit ans qui est encore au biberon? On nage en plein délire. Ce documentaire si bien filmé n'est au final qu'un torchon complaisant sur un enfant victime d'adultes complètement délirants. C'est pas d'un endocrinologue qu'il a besoin, c'est d'être sorti de là.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 955 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2021
    Le combat de Sasha, sept ans, qui sait depuis tout petite qu'en vrai elle n'est pas un garçon! Sasha est une enfant transgenre, une enfant prisonnière de son corps de petit garçon! Mais elle est là pour changer les mentalitès avec une maman dèvorèe par l'amour de son enfant et en même temps confrontèe au regard d'autrui! Quand un enfant est diffèrent et qu'il revendique un certain nombre de choses, souvent, on culpabilise la mère en sous-entendant que l'èducation n'est peut-être pas la bonne! Ce document est une vraie leçon de vie, loin des apitoiements mèlos, avec des scènes qui vous arrachent le ventre! Le rèalisateur a choisi de filmer cette histoire vraie comme une dèclaration d'amour à la vie! Dans un tel combat, le bonheur se rèsume à de toutes petites choses, très belles, très dèlicates. "Petite fille" est un bonheur de document, poignant et jamais larmoyant où l'ètat de grâce n'est jamais loin...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 janvier 2021
    Documentaire très beau visuellement.
    Je pensais en connaître un peu plus sur la dysphorie mais j'ai été déçue. Sacha ne dit pas vraiment ce qu'il ressent ou pense.. Peut-être aurait-il fallu documenter sur le plus long terme ? Attendre que sa parole murisse ? Quand Sacha a pleuré chez la doctoresse, on avait le sentiment qu'il était déchiré entre faire plaisir à sa mère et lui. La mère prend beaucoup de place dans le documentaire : elle coupe souvent la parole ou oriente les questions qu'elle pose à Sacha. Ca m'a oppressé. De m^me, je pensais qu'on allait avoir les avis des personnes qu'elle a réuni avec la doctoresse mais non. Pareil pour le corps enseignant. On ne sait pas ce qu'ils pensent.
    Dommage car au final, je pense que toute la société est concerné par ce "problème" de genre, qui engendre des souffrances chez des individus. Si on donnait la parole à plus de personnes ? A des gens qui voient le.la petit.e Sacha tous les jours, des professionnels de l'éducation, des proches ? Aimer porter du rose et avoir les cheveux longs est-t-il forcément attribué à des individus de sexe biologique féminin ? Qu'est-ce qu'être une femme et qu'est-ce qu'être un homme ? Est-il forcément lié à des goûts esthétiques ? Est-ce que Sacha est trop petit pour s'exprimer ou est-ce qu'il fait le bon élève auprès de sa mère ? Ce documentaire nous laisse ce sentiment..
    Daeriss W.
    Daeriss W.

    21 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2021
    Encore un documentaire sur la dysphorie de genre. C'est vrai que Sasha semble très à l'aise dans un corps de fille. Le documentaire est dérangeant quelques part. Le père est ectoplasmique, même s'il s'est rangé du coté de son épouse, laquelle phagocyte l'écran. On ne voit qu'elle.. .nul ne s'intéresse au principal sujet de ce documentaire, Sasha lui même, ou elle même. Sait il que même les garçons peuvent jouer à la poupée et se déguisent? Voir font de la danse? IL y a des filles qui jouent au cowboys et aux indiens mais nul ne remet en question la féminité ou la masculinité . Qu'en penses les frères et soeurs dont on n'a vu qu'une ombre? Un documentaire certes intéressant mais beaucoup trop court et surtout vu que d'un angle. Il serait interessant de connaitre le point de vue de Sasha, de l'interroger au moment de la puberté. La mère ayant voulu une fille, ne met elle pas en avant le coté légèrement androgyne de son fils pour satisfaire à son propre désir de manière inconsciente et ne devient elle pas la mère castratrice ?
    Catherine V.
    Catherine V.

    57 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 janvier 2021
    L’intention fut bien sûr louable de réaliser un documentaire sur la dysphorie de genre. Ce n’est bien entendu pas une chose discutable.
    Toutefois, j’ai eu surtout le sentiment de suivre un reportage sur une mère et sa fille qui est un peu (beaucoup ?..) la star de la famille.
    J'ai tellement été sinon révoltée du moins très mal à l’aise par la façon d’être de la mère que ça m’a gâché le reportage.
    C’est quand même elle qui phagocyte tout, elle qui s’exprime, elle qui pleure, elle qui répond même à la place souvent de la petite Sasha. Le père est effacé (bien que fort heureusement pour l'enfant d’accord avec la démarche et positionnement de son épouse), les autres enfants, que ça soit la très grande soeur ou les deux frères, ne s’expriment jamais..
    Il y a aussi dans la vêture une singularité (exagération) dérangeante comme pour mieux accentuer en affichant des papillons, des couleurs toutes acidulées, des paillettes, des chaussures dorées.... que le doute n’est pas permis : c’est une fille et pas un garçon !
    Il y aurait de quoi en parler sur des centaines de pages... Bref, c'est un reportage "intéressant" mais qui ne donne pas une image objective à 100 % sur le problème de la dysphorie de genre.
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