Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Si "Goodnight Soldier" est aussi exaltant dans son déploiement, c’est sans doute parce que Hiner Saleem dessine, tout en distillant de nombreuses touches d’humour, l’espoir et la promesse d’un avenir meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Cinéaste kurde, Hiner Saleem dresse le portrait doux-amer d'un soldat confronté à de nombreuses difficultés familiales et sexuelles. Une tragicomédie inspirée qui zoome sur deux personnages en guerre contre toutes les formes d'oppression avec un humour dévastateur et une lucidité à toute épreuve.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce film confirme l’audace d’un metteur en scène qui, depuis ses débuts, évoque les blessures de son pays natal en privilégiant l’insolence et l’humour.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
L'Obs
par François Forestier
On hésite entre la comédie de boulevard et la métaphore politique, mais on admire le courage du réalisateur, qui a tourné au Kurdistan irakien, pays en guerre, et a terminé en pleine pandémie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le réalisateur Hiner Saleem revient avec une romance mâtinée de tragédie dans laquelle il aborde les thèmes qui lui sont chers. Bon film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Cette passion entravée que filme le réalisateur, entre l’ombre et la lumière, n’échappe pas toujours à l’image convenue du mélodrame. Heureusement, l’humour sauve de tout, et Hiner Saleem possède, dans ce domaine, pas mal de repartie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Jouant avec les métaphores et les genres cinématographiques, H. Saleem, fidèle à son style, revisite le film d’amour avec une volonté et une maladresse touchantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Geneix
Si le film se met sciemment et finement à surjouer le mélo, c’est au motif et avec la foi que ceux qui veulent s’aimer ne cherchent pas de solutions : ils en trouvent. Au défi de la vraisemblance, et des conflits bien réels qui semblent ne jamais finir.
Première
par Thierry Chèze
Mais au lieu de s’enferrer dans une chronique doloriste, Saleem prend le chemin inverse, celui de la lumière au bout du chemin tortueux, de l’espoir chevillé au corps et de l’humour noir tonitruant pour faire un sort au cocktail machisme- terrorisme- islamisme qui menace ses héros. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
La révolution a le visage, sublime, de Ziné, la mariée insoumise. Actrice turque fougueuse, Dilin Döger évoque ici l’Iranienne Golshifteh Farahani, autre interprète chère à Hiner Saleem.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par B. P.
Ce mélodrame qui emprunte à la comédie ne touche pas beaucoup. On aurait tôt fait de se détourner du sort des tourtereaux sans le talent et la grande beauté de l'actrice Dilin Doger.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Pâtissant d’une écriture maladroite qui cumule les fautes de goûts, la romance agace davantage qu’elle émeut.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Culturopoing.com
Si "Goodnight Soldier" est aussi exaltant dans son déploiement, c’est sans doute parce que Hiner Saleem dessine, tout en distillant de nombreuses touches d’humour, l’espoir et la promesse d’un avenir meilleur.
Les Echos
Cinéaste kurde, Hiner Saleem dresse le portrait doux-amer d'un soldat confronté à de nombreuses difficultés familiales et sexuelles. Une tragicomédie inspirée qui zoome sur deux personnages en guerre contre toutes les formes d'oppression avec un humour dévastateur et une lucidité à toute épreuve.
Marianne
Ce film confirme l’audace d’un metteur en scène qui, depuis ses débuts, évoque les blessures de son pays natal en privilégiant l’insolence et l’humour.
L'Obs
On hésite entre la comédie de boulevard et la métaphore politique, mais on admire le courage du réalisateur, qui a tourné au Kurdistan irakien, pays en guerre, et a terminé en pleine pandémie.
La Croix
Le réalisateur Hiner Saleem revient avec une romance mâtinée de tragédie dans laquelle il aborde les thèmes qui lui sont chers. Bon film.
Le Monde
Cette passion entravée que filme le réalisateur, entre l’ombre et la lumière, n’échappe pas toujours à l’image convenue du mélodrame. Heureusement, l’humour sauve de tout, et Hiner Saleem possède, dans ce domaine, pas mal de repartie.
Les Fiches du Cinéma
Jouant avec les métaphores et les genres cinématographiques, H. Saleem, fidèle à son style, revisite le film d’amour avec une volonté et une maladresse touchantes.
Positif
Si le film se met sciemment et finement à surjouer le mélo, c’est au motif et avec la foi que ceux qui veulent s’aimer ne cherchent pas de solutions : ils en trouvent. Au défi de la vraisemblance, et des conflits bien réels qui semblent ne jamais finir.
Première
Mais au lieu de s’enferrer dans une chronique doloriste, Saleem prend le chemin inverse, celui de la lumière au bout du chemin tortueux, de l’espoir chevillé au corps et de l’humour noir tonitruant pour faire un sort au cocktail machisme- terrorisme- islamisme qui menace ses héros. Une réussite.
Télérama
La révolution a le visage, sublime, de Ziné, la mariée insoumise. Actrice turque fougueuse, Dilin Döger évoque ici l’Iranienne Golshifteh Farahani, autre interprète chère à Hiner Saleem.
Le Figaro
Ce mélodrame qui emprunte à la comédie ne touche pas beaucoup. On aurait tôt fait de se détourner du sort des tourtereaux sans le talent et la grande beauté de l'actrice Dilin Doger.
Le Journal du Dimanche
Pâtissant d’une écriture maladroite qui cumule les fautes de goûts, la romance agace davantage qu’elle émeut.