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    3,5
    14 titres de presse
    • Transfuge
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Ouest France
    • Positif
    • Télérama
    • Voici
    • Bande à part
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Obs
    • La Croix
    • Libération
    • Première
    • Le Journal du Dimanche

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    14 critiques presse

    Transfuge

    par Serge Kaganski

    Ce film recèle autant de beauté vénéneuse que de force politique, autant de sève juvénile que de mélancolie adulte.

    Le Monde

    par Clarisse Fabre

    La subtilité du scénario réside dans le léger décalage produit par l'engagement du fils, Samnang, constitutif d'un moteur de résistance.

    Les Inrockuptibles

    par Ludovic Béot

    La force du film est de restituer ce bâtiment bientôt effacé de la carte comme une expérience intime mais aussi universelle, à la fois image réminiscente qui hante la mémoire de son auteur et métaphore puissante de toutes les dépossessions esthétiques et culturelles qu’engendrent les acteurs néolibéraux d’aujourd’hui.

    Ouest France

    par Gilles Kerdreux

    Une maîtrise étonnante du cadre et de l'esthétique.

    Positif

    par Eithne O’Neill

    Puisque le cinéaste-scénariste, fils d’un artiste, a grandi dans l’équivalent d’un monument historique, on sent dans le portrait de son protagoniste, animé par le souvenir, un sentiment authentique (il avoue que Samnang est son double). Une émotion d’autant plus admirable qu’elle est canalisée avec sobriété dans la beauté et le plaisir de la créativité musicale, chorégraphique et filmique.

    Télérama

    par Guillemette Odicino

    Un charme prégnant opère tout le long de cette immersion dans le quotidien culturel, religieux et familial d’une société où la jeunesse est condamnée à fuir ou à stagner.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par La Rédaction

    Un film autobiographique et crépusculaire. On aime beaucoup.

    Bande à part

    par Olivier Pélisson

    Discrètement envoûtante, cette découverte venue du Cambodge relie le passé au présent, pour mieux envisager un futur possible. Avec une émouvante tonalité douce-amère.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Cahiers du Cinéma

    par Raphaël Nieuwjaer

    Kavich Neang traduit ainsi les conséquences de la spéculation immobilière sous la forme d’un exil intérieur.

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Avec pour décor la mutation urbaine et économique du Cambodge, le cinéaste, dont c’est le premier film, allie fiction politique et récit d’initiation. Si son cinéma reste encore sous influences (Wong Kar-wai, Tsai Ming-liang), il s’en affranchit grâce à une mise en scène acérée et mélancolique.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Croix

    par Céline Rouden

    Les couleurs, les lumières, la texture des images, son rythme lent, renforcent cette atmosphère de songe servie par une photographie magnifique et par la justesse de son jeune interprète, Piseth Chhun (...).

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Libération

    par Laura Tuillier

    Si le film n’a pas la précision et le mordant d’un Aquarius (du Brésilien Kleber Mendonça Filho), il contribue à tracer, par-delà les continents, une cartographie des dégâts du capitalisme mondialisé, qui nettoie les grandes villes les unes après les autres, pour les transformer en paradis mortifères pour promoteurs sans scrupules.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Première

    par Thierry Chèze

    Kavich raconte la gentrification par un jeu réussi entre fiction et documentaire où on finit par ne plus savoir ce qui est joué ou saisi sur le vif et une vraie et touchante mélancolie.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Par son côté contemplatif, sa lenteur, ses contrastes et ses langueurs oniriques, le dispositif rappelle le cinéma d'Apitchapong Weerasethaku, en moins habité, moins radical.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
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