Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Un regard subtil et drôle sur les coulisses du métier.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Compétition officielle » réjouit par son humour féroce autour de stars complices.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Chloé Ronchin
Décapante et réaliste, cette comédie se révèle savoureuse, bien écrite, pleine d'autodérision, et invite aussi les spectateurs à remettre en question leurs attentes et leurs critères de sélection.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Elle
par Françoise Delbecq
Une comédie tordue et délicieuse.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Une comédie loufogue autour des affres de la création servie par un trio d'acteurs éblouissants.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Une comédie époustouflante par son humour irrésistible, l’élégance de sa mise en scène et l’originalité du traitement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une satire bien vue et féroce sur le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
A peine le Festival de Cannes s’achève-t-il qu’une fiction décapante sur le star-système arrive en salle, la bien nommée Compétition officielle, de Mariano Cohn et de Gaston Duprat.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Aussi cynique qu’hilarant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Plus qu'un film sur la fabrication du cinéma, « Compétition officielle » s'amuse de cette volonté assoiffée de reconnaissance, de l'envie aveuglante de monter toujours une marche plus haut que l'autre sur le grand escalier des honneurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le duo Cohn/Duprat vise juste avec cette satire enlevée et réjouissante du milieu du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film grinçant et stimulant, porté par une Penélope Cruz des grands jours.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Lorenzo Codelli
Compétition officielle démolit littéralement les symboles suprêmes de notre bien-aimé 7e art, les Palmes, les Lions, les Concha, ou les trophées sculptés par de petits admirateurs enthousiastes.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Loufoque et terriblement drôle.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Décapant et finement observé.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce cinéma qui se doit d’être compétitif et d’assurer tous les honneurs, les deux réalisateurs l’observent non sans inquiétude. Mais leur humour est un excellent remède contre la vanité. Et la précision de leur regard a l’effet d’une frappe revigorante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Si le film cultive parfois un humour flottant, voire dissonant, son désir d’expérimentation se heurte à la part plus discursive du scénario et à l’horizon balisé de la satire. Plus le film insiste sur la vampirisation de l’art par l’argent et le ridicule de ses personnages, plus il s’éloigne de son cœur créateur.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Au programme : dialogues ciselés, réflexions pertinentes et un impeccable trio qui s’amuse et nous amuse. Reste que rien ou presque ne rachète les personnages, comme si les réalisateurs valaient mieux que le milieu qu’ils caricaturent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Léo Soesanto
C’est sur cela que tient le film, à une suite de gags sur ces grands enfants fragiles que sont les acteurs. La jubilation des interprètes (Cruz et Banderas en tête) à déconstruire leur quotidien de plateau est communicative.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Cette satire du monde du cinéma est inégale mais dominée de la tête et des épaules par une Penélope Cruz impériale dans l'art du cabotinage.
Rolling Stone
par S.R.
On s’amuse beaucoup tandis que la tension monte, parfaitement maîtrisée par un casting qui s’en donne à cœur joie.
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Entre guerre d'ego et situations cocasses, cette réflexion bavarde sur le processus de création offre un savoureux terrain de jeu à ses comédiens.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cynique et courageux, ce drôle d’objet se moque habilement du star-système, des caprices d’artistes et de la vacuité d’un certain milieu du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film ne trouve pas vraiment de point de chute et se repose trop sur l’exubérance de ses interprètes mais quelques visions demeurent, comme une scène de destruction de statuettes qui semble animée d’une authentique colère révolutionnaire, et restera longtemps à l’esprit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Le tandem assume la caricature et leurs interprètes, Antonio Banderas, Oscar Martinez et Penelope Cruz s’en donnent à cœur joie dans un cabotinage orchestré avec soin. Mais en leur laissant les commandes, les réalisateurs ont oublié de creuser et dynamiser le récit, au fil de bien longues 110 minutes aux rebondissements peu fouillés.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le scénario est grinçant, le problème vient de la mise en scène des réalisateurs argentins de « Citoyen d’honneur ». Ils visent une approche distanciée et un humour pince-sans-rire à la Ruben Östlund, flirtent avec la performance théâtrale, mais, faute de style et de rythme, dilapident leurs idées piquantes et saillies assassines dans des silences gênés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Voici
Un regard subtil et drôle sur les coulisses du métier.
20 Minutes
« Compétition officielle » réjouit par son humour féroce autour de stars complices.
CNews
Décapante et réaliste, cette comédie se révèle savoureuse, bien écrite, pleine d'autodérision, et invite aussi les spectateurs à remettre en question leurs attentes et leurs critères de sélection.
Elle
Une comédie tordue et délicieuse.
L'Humanité
Une comédie loufogue autour des affres de la création servie par un trio d'acteurs éblouissants.
La Croix
Une comédie époustouflante par son humour irrésistible, l’élégance de sa mise en scène et l’originalité du traitement.
Le Figaro
Une satire bien vue et féroce sur le cinéma.
Le Monde
A peine le Festival de Cannes s’achève-t-il qu’une fiction décapante sur le star-système arrive en salle, la bien nommée Compétition officielle, de Mariano Cohn et de Gaston Duprat.
Le Parisien
Aussi cynique qu’hilarant.
Les Echos
Plus qu'un film sur la fabrication du cinéma, « Compétition officielle » s'amuse de cette volonté assoiffée de reconnaissance, de l'envie aveuglante de monter toujours une marche plus haut que l'autre sur le grand escalier des honneurs.
Les Fiches du Cinéma
Le duo Cohn/Duprat vise juste avec cette satire enlevée et réjouissante du milieu du cinéma.
Marianne
Un film grinçant et stimulant, porté par une Penélope Cruz des grands jours.
Positif
Compétition officielle démolit littéralement les symboles suprêmes de notre bien-aimé 7e art, les Palmes, les Lions, les Concha, ou les trophées sculptés par de petits admirateurs enthousiastes.
Public
Loufoque et terriblement drôle.
Télé 7 Jours
Décapant et finement observé.
Télérama
Ce cinéma qui se doit d’être compétitif et d’assurer tous les honneurs, les deux réalisateurs l’observent non sans inquiétude. Mais leur humour est un excellent remède contre la vanité. Et la précision de leur regard a l’effet d’une frappe revigorante.
Cahiers du Cinéma
Si le film cultive parfois un humour flottant, voire dissonant, son désir d’expérimentation se heurte à la part plus discursive du scénario et à l’horizon balisé de la satire. Plus le film insiste sur la vampirisation de l’art par l’argent et le ridicule de ses personnages, plus il s’éloigne de son cœur créateur.
Le Journal du Dimanche
Au programme : dialogues ciselés, réflexions pertinentes et un impeccable trio qui s’amuse et nous amuse. Reste que rien ou presque ne rachète les personnages, comme si les réalisateurs valaient mieux que le milieu qu’ils caricaturent.
Libération
C’est sur cela que tient le film, à une suite de gags sur ces grands enfants fragiles que sont les acteurs. La jubilation des interprètes (Cruz et Banderas en tête) à déconstruire leur quotidien de plateau est communicative.
Ouest France
Cette satire du monde du cinéma est inégale mais dominée de la tête et des épaules par une Penélope Cruz impériale dans l'art du cabotinage.
Rolling Stone
On s’amuse beaucoup tandis que la tension monte, parfaitement maîtrisée par un casting qui s’en donne à cœur joie.
Télé Loisirs
Entre guerre d'ego et situations cocasses, cette réflexion bavarde sur le processus de création offre un savoureux terrain de jeu à ses comédiens.
aVoir-aLire.com
Cynique et courageux, ce drôle d’objet se moque habilement du star-système, des caprices d’artistes et de la vacuité d’un certain milieu du cinéma.
Les Inrockuptibles
Le film ne trouve pas vraiment de point de chute et se repose trop sur l’exubérance de ses interprètes mais quelques visions demeurent, comme une scène de destruction de statuettes qui semble animée d’une authentique colère révolutionnaire, et restera longtemps à l’esprit.
Première
Le tandem assume la caricature et leurs interprètes, Antonio Banderas, Oscar Martinez et Penelope Cruz s’en donnent à cœur joie dans un cabotinage orchestré avec soin. Mais en leur laissant les commandes, les réalisateurs ont oublié de creuser et dynamiser le récit, au fil de bien longues 110 minutes aux rebondissements peu fouillés.
L'Obs
Le scénario est grinçant, le problème vient de la mise en scène des réalisateurs argentins de « Citoyen d’honneur ». Ils visent une approche distanciée et un humour pince-sans-rire à la Ruben Östlund, flirtent avec la performance théâtrale, mais, faute de style et de rythme, dilapident leurs idées piquantes et saillies assassines dans des silences gênés.