Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Montage énergique, casting rugueux, lumière et décors loin des cartes postales, musique organique et onirique de Jean-Benoît Dunckel, cofondateur du groupe Air, réalisation qui relève de la prouesse physique et morale, "Grand Marin "transmet le grand souffle physique et métaphysique qui le porte, du début à la fin, et nous transporte longtemps après.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par O. D.
Un film au caractère bien trempé qui séduit par sa sincérité et ses beaux élans de rude poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Pas bavard mais prenant, « Grand Marin » est un film inspirant et d’une grande justesse sur une femme qui largue les amarres tout en s’accrochant à sa liberté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Pour évoquer le parcours hors du commun d’une femme mystérieuse et sa quête éperdue à bord d’un chalutier dont elle est la seule à connaître les raisons, Dinara Drukarova, en mer ou sur terre, joue la carte d'un réalisme scrupuleux, quasi documentaire, et tire le meilleur profit des somptueux décors naturels islandais qui abritent les péripéties d'une héroïne ne jurant que par la liberté et l'aventure.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Malgré les faiblesses de son scénario, Grand marin mêle habilement scènes documentaires et oniriques en nous emportant dans le vécu d’une femme qui prend le large.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
En suivant pas à pas les aventures sur mer et sur terre d’une femme énigmatique qui ne semble vivre que pour son obsession de la pêche et du grand large, la cinéaste débutante met en scène une fiction réaliste et âpre qui plébiscite la liberté et l’amour du risque.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Cheze
Dans un parfait équilibre entre réalisme et onirisme, cet hymne à la liberté est magnifié par le parti pris du cinémascope et la superbe lumière créée par le fidèle compagnon de route d’Aki Kaurismäki, Timo Salminen.
Positif
par Yann Tobin
Ce que l’on retient avant tout, face à une nature islandaise majestueusement photographiée par le grand Timo Salminen (le chef op habituel de Kaurismäki), c’est la mine butée ou rayonnante, le corps frêle mais résistant, la voix obstinée et cinglante de l’actrice-réalisatrice.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Grand Marin n’est pas qu’un grand film sur la mer. C’est une ode à la féminité, à la résilience et un hommage puissant aux métiers de la pêche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
De la terre à la mer, Dinara Drukarova livre un portrait féminin vif et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par S. G.
Pour son premier film derrière la caméra, l’actrice Dinara Drukarova réussit à la fois à restituer le caractère documentaire d’une campagne de pêche et à y insuffler du romanesque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
En adaptant le puissant roman de Catherine Poulain, l’actrice Dirana Drukarova signe avec sa première mise en scène une œuvre simple, sans esbroufe, dans ce décor septentrional et sauvage, âpre et brutal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
L’essentiel réside dans l’approche documentaire et poétique de Dinara Drukarova qui dépeint avec justesse le rude milieu, notamment au fil de séquences de pêche au réalisme saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Marie Claire
par Emily Barnett
Un petit grand film à l’énergie épique.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Yannick Vely
L'argument est mince mais le plaisir est ailleurs, dans la description d'une petite communauté de pêcheurs et surtout dans la beauté des villages et des paysages islandais immortalisés en Scope par le chef opérateur finlandais Timo Salminen (la lumière des films d'Aki Kaurismaki c'est lui).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Ce portrait de femme ne livre au fond jamais tous ses secrets, laisse le spectateur remplir les blancs, reste à bonne distance des blessures intimes et de l’incapacité de son héroïne à dire les choses.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Elie Raufaste
Si l’ombre d’une ode uniforme et sans nuance à la liberté plane sur le film (au Rebel succède, sur la terre ferme, un vélo « Free spirit »), l’histoire de cette femme gagnant sa place aux côtés des hommes de la mer trouve sa consistance dans le réalisme des scènes de pêche, où la protagoniste chahutée, maculée de sang de poisson, accède littéralement à une nouvelle naissance.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Faute de choisir entre la pure exploration poétique et les ressorts d’un récit à personnages, la réalisatrice reste comme à mi-chemin de son désir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Hélas, jamais on ne ressent véritablement ce sentiment d’aventure, aussi cruelle et physique puisse-t-elle être, ni le sel qui ronge la peau, ni les nuits blanches qui éreintent ou l’humidité dévorante du cœur de l’océan. Tout y est illustré, lesté par le besoin d’expliquer le voyage des mers plutôt que d’en éprouver l’expérience.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
La découverte du monde très masculin des marins hauturiers, la vie quotidienne à bord du bateau, le travail épuisant sur le pont et dans la soute à trier les poissons : toute cette dimension documentaire captive. On est moins convaincu par les éléments de fiction, à terre comme en mer, avec des personnages et des situations par trop convenus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Montage énergique, casting rugueux, lumière et décors loin des cartes postales, musique organique et onirique de Jean-Benoît Dunckel, cofondateur du groupe Air, réalisation qui relève de la prouesse physique et morale, "Grand Marin "transmet le grand souffle physique et métaphysique qui le porte, du début à la fin, et nous transporte longtemps après.
Le Figaro
Un film au caractère bien trempé qui séduit par sa sincérité et ses beaux élans de rude poésie.
Le Parisien
Pas bavard mais prenant, « Grand Marin » est un film inspirant et d’une grande justesse sur une femme qui largue les amarres tout en s’accrochant à sa liberté.
Les Echos
Pour évoquer le parcours hors du commun d’une femme mystérieuse et sa quête éperdue à bord d’un chalutier dont elle est la seule à connaître les raisons, Dinara Drukarova, en mer ou sur terre, joue la carte d'un réalisme scrupuleux, quasi documentaire, et tire le meilleur profit des somptueux décors naturels islandais qui abritent les péripéties d'une héroïne ne jurant que par la liberté et l'aventure.
Les Fiches du Cinéma
Malgré les faiblesses de son scénario, Grand marin mêle habilement scènes documentaires et oniriques en nous emportant dans le vécu d’une femme qui prend le large.
Marianne
En suivant pas à pas les aventures sur mer et sur terre d’une femme énigmatique qui ne semble vivre que pour son obsession de la pêche et du grand large, la cinéaste débutante met en scène une fiction réaliste et âpre qui plébiscite la liberté et l’amour du risque.
Ouest France
Dans un parfait équilibre entre réalisme et onirisme, cet hymne à la liberté est magnifié par le parti pris du cinémascope et la superbe lumière créée par le fidèle compagnon de route d’Aki Kaurismäki, Timo Salminen.
Positif
Ce que l’on retient avant tout, face à une nature islandaise majestueusement photographiée par le grand Timo Salminen (le chef op habituel de Kaurismäki), c’est la mine butée ou rayonnante, le corps frêle mais résistant, la voix obstinée et cinglante de l’actrice-réalisatrice.
aVoir-aLire.com
Grand Marin n’est pas qu’un grand film sur la mer. C’est une ode à la féminité, à la résilience et un hommage puissant aux métiers de la pêche.
Bande à part
De la terre à la mer, Dinara Drukarova livre un portrait féminin vif et émouvant.
L'Obs
Pour son premier film derrière la caméra, l’actrice Dinara Drukarova réussit à la fois à restituer le caractère documentaire d’une campagne de pêche et à y insuffler du romanesque.
La Croix
En adaptant le puissant roman de Catherine Poulain, l’actrice Dirana Drukarova signe avec sa première mise en scène une œuvre simple, sans esbroufe, dans ce décor septentrional et sauvage, âpre et brutal.
Le Journal du Dimanche
L’essentiel réside dans l’approche documentaire et poétique de Dinara Drukarova qui dépeint avec justesse le rude milieu, notamment au fil de séquences de pêche au réalisme saisissant.
Marie Claire
Un petit grand film à l’énergie épique.
Paris Match
L'argument est mince mais le plaisir est ailleurs, dans la description d'une petite communauté de pêcheurs et surtout dans la beauté des villages et des paysages islandais immortalisés en Scope par le chef opérateur finlandais Timo Salminen (la lumière des films d'Aki Kaurismaki c'est lui).
Première
Ce portrait de femme ne livre au fond jamais tous ses secrets, laisse le spectateur remplir les blancs, reste à bonne distance des blessures intimes et de l’incapacité de son héroïne à dire les choses.
Cahiers du Cinéma
Si l’ombre d’une ode uniforme et sans nuance à la liberté plane sur le film (au Rebel succède, sur la terre ferme, un vélo « Free spirit »), l’histoire de cette femme gagnant sa place aux côtés des hommes de la mer trouve sa consistance dans le réalisme des scènes de pêche, où la protagoniste chahutée, maculée de sang de poisson, accède littéralement à une nouvelle naissance.
Le Monde
Faute de choisir entre la pure exploration poétique et les ressorts d’un récit à personnages, la réalisatrice reste comme à mi-chemin de son désir.
Les Inrockuptibles
Hélas, jamais on ne ressent véritablement ce sentiment d’aventure, aussi cruelle et physique puisse-t-elle être, ni le sel qui ronge la peau, ni les nuits blanches qui éreintent ou l’humidité dévorante du cœur de l’océan. Tout y est illustré, lesté par le besoin d’expliquer le voyage des mers plutôt que d’en éprouver l’expérience.
Télérama
La découverte du monde très masculin des marins hauturiers, la vie quotidienne à bord du bateau, le travail épuisant sur le pont et dans la soute à trier les poissons : toute cette dimension documentaire captive. On est moins convaincu par les éléments de fiction, à terre comme en mer, avec des personnages et des situations par trop convenus.