Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Ce portrait d’une adolescente en Calabre brille par sa maîtrise et sa tension. Jonas Carpignano creuse son sillon de conteur humaniste, et confirme l’ampleur grandissante de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Un grand film sur les fantômes de ce(ux) qu'on a laissé(s) pour pouvoir renaître.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La fiction quasi documentaire de Carpignano, qui ne lâche presque jamais sa jeune héroïne, est servie par des acteurs non-professionnels, qui sont saisissants.
Elle
par Françoise Delbecq
L'actrice Swamy Rotolo dans sa première apparition crève l'écran par son charisme. Un film coup de poing.
Femme Actuelle
par La Rédaction
On vit avec cette adolescente cette sortie du brouillard, indice après indice, doute après doute - vue d'un angle intimiste, où la seule violence est celle des non-dits.
La Croix
par Céline Rouden
Entre documentaire et fiction, un film tendu et âpre sur la quête existentielle et morale d’une jeune fille pour trouver le chemin de sa liberté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La fiction quasi documentaire de Carpignano, qui ne lâche presque jamais sa jeune héroïne, est servie par des acteurs non-professionnels, qui sont saisissants. Il filme une vraie famille, les Rotolo, avec l’étonnante Swamy Rotolo qui incarne Chiara, entourée de sa famille ; son père, ses sœurs, son cousin. Ils forment un clan fascinant, aux liens de sang indéfectibles.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
L’univers de la mafia se singularise par sa banalité. Il y a dans ces truanderies quelque chose de médiocre, de grisâtre. On est loin de l’imagerie habituelle, avec gros cigares et costumes à rayures. Jonas Carpignano sait traquer le quotidien, tomber sur le détail significatif (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Voilà un film précieux, hanté par de puissantes visions, déchiré par des moments bouleversants, ménageant des scènes de suspense géniales.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Malgré quelques scènes un peu contemplatives, Jonas Carpignano signe un beau film sur la famille, porté par une jeune comédienne hyper charismatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le metteur en scène italien Jonas Carpignano dresse le portrait d'une jeune fille qui découvre les réalités mafieuses de sa famille… Un film inspiré et émouvant sur l'influence de la mafia « ordinaire » qui s'impose comme l'une des plus étonnantes réussites du moment.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Retour à Gioia Tauro pour Jonas Carpignano, qui clôt sa trilogie calabraise en beauté avec ce drame organique et intime sur la famille... et la Famille.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une double histoire pour un film puissant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Caméra au poing, dans un style fiévreux proche du documentaire, le cinéaste italien épouse le regard buté de sa jeune héroïne qui entre brutalement dans l’âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Nicolas Geneix
La caméra scrute et accompagne les désarrois intériorisés par les visages, sans commisération déplacée ni regard surplombant. Il s’agit de sonder ce que le réel a de raboteux et de poignant.
Première
par Thierry Chèze
Nulle trace ici de glauque appuyé ou d’émotion forcée, la fluidité de la mise en scène rejoint celle du récit et offre à cette trilogie son meilleur épisode, celui où jusque dans l’emploi de la musique Carpignano a su pousser au maximum le curseur de la fiction sans perdre cet ancrage solide dans la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
À travers Chiara et ses aspirations pures dans un monde corrompu dont elle est le fruit, le film offre un éclairage unique sur la force à double tranchant des liens du sang.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Si le naturalisme démonstratif de Carpignano emporte, c’est parce qu’il s’ancre dans le regard tenu de la jeune actrice professionnelle qu’il connaît depuis l’enfance et filme avec sa vraie famille.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Jonas Carpignano signe un portrait lucide et asphyxié de la mafia italienne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Fort d['une] approche documentaire, son récit initiatique, prenant à défaut d’être abouti, s’assombrit à mesure que son héroïne, remarquablement interprétée, progresse dans l’enquête.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Dans ce labyrinthe brumeux, A Chiara trouve une inspiration onirique, quasi fantastique, qui lui fait regarder la famille et l’adolescence comme des énigmes à déchiffrer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Dans les films relevant du documentarisme, le sujet secret se trouve en général dans la relation, grossière ou subtile, mais toujours indécidable, entre ce qu’on persiste à appeler documentaire et ce qu’on tente encore de nommer fiction, des catégories devenues hors d’usage. Au cœur des choses A Chiara a la simplicité de ne plus se poser la question, mais quelque chose d’un conflit persiste [...]. Ce conflit est le moteur du film, sa formule efficace, autant que son sabotage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un récit tout autant haletant que familial, Jonas Carpignano dissèque avec précision le fonctionnement d’une famille mafieuse à travers les yeux d’une adolescente de seize ans. On ressort du film avec un regard neuf et original sur le fonctionnement des familles italiennes en prise avec la justice de leur pays.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Grignon
Alternant les scènes d'hystérie et les joutes oratoires brutales, le film impose son discours sans prendre le temps de ménager de véritables moments de respiration.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Ce portrait d’une adolescente en Calabre brille par sa maîtrise et sa tension. Jonas Carpignano creuse son sillon de conteur humaniste, et confirme l’ampleur grandissante de son cinéma.
CinemaTeaser
Un grand film sur les fantômes de ce(ux) qu'on a laissé(s) pour pouvoir renaître.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La fiction quasi documentaire de Carpignano, qui ne lâche presque jamais sa jeune héroïne, est servie par des acteurs non-professionnels, qui sont saisissants.
Elle
L'actrice Swamy Rotolo dans sa première apparition crève l'écran par son charisme. Un film coup de poing.
Femme Actuelle
On vit avec cette adolescente cette sortie du brouillard, indice après indice, doute après doute - vue d'un angle intimiste, où la seule violence est celle des non-dits.
La Croix
Entre documentaire et fiction, un film tendu et âpre sur la quête existentielle et morale d’une jeune fille pour trouver le chemin de sa liberté.
Le Dauphiné Libéré
La fiction quasi documentaire de Carpignano, qui ne lâche presque jamais sa jeune héroïne, est servie par des acteurs non-professionnels, qui sont saisissants. Il filme une vraie famille, les Rotolo, avec l’étonnante Swamy Rotolo qui incarne Chiara, entourée de sa famille ; son père, ses sœurs, son cousin. Ils forment un clan fascinant, aux liens de sang indéfectibles.
Le Figaro
L’univers de la mafia se singularise par sa banalité. Il y a dans ces truanderies quelque chose de médiocre, de grisâtre. On est loin de l’imagerie habituelle, avec gros cigares et costumes à rayures. Jonas Carpignano sait traquer le quotidien, tomber sur le détail significatif (...).
Le Monde
Voilà un film précieux, hanté par de puissantes visions, déchiré par des moments bouleversants, ménageant des scènes de suspense géniales.
Le Parisien
Malgré quelques scènes un peu contemplatives, Jonas Carpignano signe un beau film sur la famille, porté par une jeune comédienne hyper charismatique.
Les Echos
Le metteur en scène italien Jonas Carpignano dresse le portrait d'une jeune fille qui découvre les réalités mafieuses de sa famille… Un film inspiré et émouvant sur l'influence de la mafia « ordinaire » qui s'impose comme l'une des plus étonnantes réussites du moment.
Les Fiches du Cinéma
Retour à Gioia Tauro pour Jonas Carpignano, qui clôt sa trilogie calabraise en beauté avec ce drame organique et intime sur la famille... et la Famille.
Marianne
Une double histoire pour un film puissant.
Paris Match
Caméra au poing, dans un style fiévreux proche du documentaire, le cinéaste italien épouse le regard buté de sa jeune héroïne qui entre brutalement dans l’âge adulte.
Positif
La caméra scrute et accompagne les désarrois intériorisés par les visages, sans commisération déplacée ni regard surplombant. Il s’agit de sonder ce que le réel a de raboteux et de poignant.
Première
Nulle trace ici de glauque appuyé ou d’émotion forcée, la fluidité de la mise en scène rejoint celle du récit et offre à cette trilogie son meilleur épisode, celui où jusque dans l’emploi de la musique Carpignano a su pousser au maximum le curseur de la fiction sans perdre cet ancrage solide dans la réalité.
Télérama
À travers Chiara et ses aspirations pures dans un monde corrompu dont elle est le fruit, le film offre un éclairage unique sur la force à double tranchant des liens du sang.
Cahiers du Cinéma
Si le naturalisme démonstratif de Carpignano emporte, c’est parce qu’il s’ancre dans le regard tenu de la jeune actrice professionnelle qu’il connaît depuis l’enfance et filme avec sa vraie famille.
L'Obs
Jonas Carpignano signe un portrait lucide et asphyxié de la mafia italienne.
Le Journal du Dimanche
Fort d['une] approche documentaire, son récit initiatique, prenant à défaut d’être abouti, s’assombrit à mesure que son héroïne, remarquablement interprétée, progresse dans l’enquête.
Les Inrockuptibles
Dans ce labyrinthe brumeux, A Chiara trouve une inspiration onirique, quasi fantastique, qui lui fait regarder la famille et l’adolescence comme des énigmes à déchiffrer.
Libération
Dans les films relevant du documentarisme, le sujet secret se trouve en général dans la relation, grossière ou subtile, mais toujours indécidable, entre ce qu’on persiste à appeler documentaire et ce qu’on tente encore de nommer fiction, des catégories devenues hors d’usage. Au cœur des choses A Chiara a la simplicité de ne plus se poser la question, mais quelque chose d’un conflit persiste [...]. Ce conflit est le moteur du film, sa formule efficace, autant que son sabotage.
aVoir-aLire.com
Dans un récit tout autant haletant que familial, Jonas Carpignano dissèque avec précision le fonctionnement d’une famille mafieuse à travers les yeux d’une adolescente de seize ans. On ressort du film avec un regard neuf et original sur le fonctionnement des familles italiennes en prise avec la justice de leur pays.
Critikat.com
Alternant les scènes d'hystérie et les joutes oratoires brutales, le film impose son discours sans prendre le temps de ménager de véritables moments de respiration.