L'Abbé Pierre - Une vie de combats : Critique presse
L'Abbé Pierre - Une vie de combats
Note moyenne
3,1
28 titres de presse
20 Minutes
Closer
Le Parisien
Le Point
Les Echos
Marianne
Marie Claire
Ouest France
Public
Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
Télé Loisirs
Voici
Dernières Nouvelles d'Alsace
La Croix
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Première
aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
L'Obs
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Libération
Télérama
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Benjamin Lavernhe livre une nouvelle prestation époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par J.-P. G.
Benjamin Lavernhe brille en retrouvant le timbre et les fièvres de ce personnage frêle, mais écrasant de sincérité.
Le Parisien
par La Rédaction
C’est un grand film d’aventures, une fresque romanesque et épique et le portrait de l’une des personnalités les plus emblématiques du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jérôme Cordelier
Le comédien crève l’écran dans le biopic sur le fondateur d’Emmaüs, aux côtés d’Emmanuelle Bercot, époustouflante Lucie Coutaz.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses insistances, ce film honore le genre de la biographie filmée.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Plus de trois décennies après « L’abbé Pierre », de Denis Amar, un nouveau biopic consacré au fondateur d’Emmaüs sort sur nos écrans. Incarné par l’excellent Benjamin Lavernhe dans le rôle-titre, le film, malgré ses facilités, tire honorablement son épingle du jeu.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Garance Fragne
De son engagement pour les sans-abris à la création d’Emmaüs, ce sublime biopic réussit à raconter les mille vies de l'homme engagé.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Pierre-Antoine Livenais
Après L'Affaire SK1, Sauver ou périr et Goliath, le réalisateur Frédéric Tellier s'attaque avec brio aux mille vies de l'abbé Pierre.
Public
par Sarah lévy-Laithier
Dans la veine de La Môme et de Simone, ce film n'est pas un énième biopic inutile. L'esthétique y est aussi soignée que le fond.
Télé 2 semaines
par Olivier Rajchman
Le film ne verse pas dans l'hagiographie ou l'imagerie sulpicienne.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Si la mise en scène pèche parfois, la performance habitée de Benjamin Lavernhe chavire et transporte par sa vérité, sa force de conviction.
Télé Loisirs
par O.R.
Parfois spectaculaire, souvent intimiste, ce biopic est surtout porté par la composition de Benjamin Lavernhe, crédible en abbé Pierre à la fois doux et révolté.
Voici
par La Rédaction
Le film ne manque ni de souffle ni de pertinence, fort de la mise en scène ample de Frédéric Tellier et de la prestation vivante de Benjamin Lavernhe.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Benjamin Lavernhe traverse la vie de l’abbé Pierre, de sa jeunesse à sa mort, avec le sentiment d’avoir été choisi, la main invisible du grand homme sur son épaule. Sans sa dévotion au rôle, le biopic aurait manqué de ferveur.
La Croix
par Céline Rouden
Classique mais efficace, le film restitue la force de sa parole et d’un message toujours d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Benjamin Lavernhe donne une qualité supérieure à ce biopic saturé d’effets cinématographiques et de musique emphatique, à mille lieues du dénuement et de l’humilité de l’abbé.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Un récit un peu démonstratif, mais édifiant et poignant.
Première
par Sylvestre Picard
Justement, les précédents films de Frédéric Tellier, L’Affaire SK1, Sauver ou périr et Goliath reposaient sur une certaine confiance envers les grandes institutions (la police, les pompiers et la santé, la justice, respectivement) : en voulant raconter un mythe, L'Abbé Pierre, une vie de combats est en fait un vrai film en colère, qui se cogne à son cadre de biopic calibré.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un récit un peu trop académique pour retracer l’intégralité du parcours d’un homme qui ne l’était pas.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Malgré la prestation de ce dernier, ainsi que celles d'Emmanuelle Bercot ou de Michel Vuillermoz, investis dans leurs rôles, le film peine à nous convaincre. Entrer dans l'intimité d'une icône, filmer la sainteté, la misère, les combats, révéler une autre facette de l'abbé ? On ne saisit pas très bien l'ambition de ce film entrelardé d'archives.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Calibré pour déclencher l’émotion, le film crée aussi trop peu de ponts entre la croisade de l’Abbé Pierre et la période contemporaine, à l’exception du plan final. Une bonne idée enfin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Benjamin Lavernhe incarne l’abbé Pierre devant la caméra de Frédéric Tellier, dans un biopic qui fait mécaniquement défiler les dates et les chapitres, sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par E.N.
Benjamin Lavernhe endosse la soutane avec courage et abnégation, vieillit à solides coups de maquillage, prend une voix chevrotante au fil des années. Le film n'est ni bon ni mauvais, plein de bonne volonté, d'un réalisme raplapla, quasi scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Le film consacré au parcours du cofondateur d’Emmaüs, interprété par Benjamin Lavernhe, n’évite pas l’hagiographie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un “best of” biographique décevant, qui survole son sujet malgré l’investissement de Benjamin Lavernhe.
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Sorti de cette performance boulet de canon qui emporte l’affaire et réussit parfois à la faire vibrer, pas grand-chose, si ce n’est l’attirail habituel du genre. Une page Wikipédia qui vous hurle au visage, n’hésitant jamais à en faire des caisses (on évite par moments de justesse le point Robert Hossein).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette vie n’est dès lors plus racontée que sur le mode extraordinaire, comme celle de n’importe quel champion. Le portrait devient superficiel et c’est dommage pour Benjamin Lavernhe, convaincant en abbé, comme pour Emmanuelle Bercot, qui incarne son assistante, Lucie Coutaz, une figure méconnue, attachante, mais, elle aussi, survolée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Grignon
Au diapason des aspirations à la sainteté du personnage, Frédéric Tellier filme son héros en prédicateur populaire et habité, qui trouverait toutefois moins ici son Giotto que son Jacques Séguéla.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Benjamin Lavernhe livre une nouvelle prestation époustouflante.
Closer
Benjamin Lavernhe brille en retrouvant le timbre et les fièvres de ce personnage frêle, mais écrasant de sincérité.
Le Parisien
C’est un grand film d’aventures, une fresque romanesque et épique et le portrait de l’une des personnalités les plus emblématiques du XXe siècle.
Le Point
Le comédien crève l’écran dans le biopic sur le fondateur d’Emmaüs, aux côtés d’Emmanuelle Bercot, époustouflante Lucie Coutaz.
Les Echos
Malgré ses insistances, ce film honore le genre de la biographie filmée.
Marianne
Plus de trois décennies après « L’abbé Pierre », de Denis Amar, un nouveau biopic consacré au fondateur d’Emmaüs sort sur nos écrans. Incarné par l’excellent Benjamin Lavernhe dans le rôle-titre, le film, malgré ses facilités, tire honorablement son épingle du jeu.
Marie Claire
De son engagement pour les sans-abris à la création d’Emmaüs, ce sublime biopic réussit à raconter les mille vies de l'homme engagé.
Ouest France
Après L'Affaire SK1, Sauver ou périr et Goliath, le réalisateur Frédéric Tellier s'attaque avec brio aux mille vies de l'abbé Pierre.
Public
Dans la veine de La Môme et de Simone, ce film n'est pas un énième biopic inutile. L'esthétique y est aussi soignée que le fond.
Télé 2 semaines
Le film ne verse pas dans l'hagiographie ou l'imagerie sulpicienne.
Télé 7 Jours
Si la mise en scène pèche parfois, la performance habitée de Benjamin Lavernhe chavire et transporte par sa vérité, sa force de conviction.
Télé Loisirs
Parfois spectaculaire, souvent intimiste, ce biopic est surtout porté par la composition de Benjamin Lavernhe, crédible en abbé Pierre à la fois doux et révolté.
Voici
Le film ne manque ni de souffle ni de pertinence, fort de la mise en scène ample de Frédéric Tellier et de la prestation vivante de Benjamin Lavernhe.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Benjamin Lavernhe traverse la vie de l’abbé Pierre, de sa jeunesse à sa mort, avec le sentiment d’avoir été choisi, la main invisible du grand homme sur son épaule. Sans sa dévotion au rôle, le biopic aurait manqué de ferveur.
La Croix
Classique mais efficace, le film restitue la force de sa parole et d’un message toujours d’actualité.
Le Dauphiné Libéré
Benjamin Lavernhe donne une qualité supérieure à ce biopic saturé d’effets cinématographiques et de musique emphatique, à mille lieues du dénuement et de l’humilité de l’abbé.
Le Journal du Dimanche
Un récit un peu démonstratif, mais édifiant et poignant.
Première
Justement, les précédents films de Frédéric Tellier, L’Affaire SK1, Sauver ou périr et Goliath reposaient sur une certaine confiance envers les grandes institutions (la police, les pompiers et la santé, la justice, respectivement) : en voulant raconter un mythe, L'Abbé Pierre, une vie de combats est en fait un vrai film en colère, qui se cogne à son cadre de biopic calibré.
aVoir-aLire.com
Un récit un peu trop académique pour retracer l’intégralité du parcours d’un homme qui ne l’était pas.
Franceinfo Culture
Malgré la prestation de ce dernier, ainsi que celles d'Emmanuelle Bercot ou de Michel Vuillermoz, investis dans leurs rôles, le film peine à nous convaincre. Entrer dans l'intimité d'une icône, filmer la sainteté, la misère, les combats, révéler une autre facette de l'abbé ? On ne saisit pas très bien l'ambition de ce film entrelardé d'archives.
L'Obs
Calibré pour déclencher l’émotion, le film crée aussi trop peu de ponts entre la croisade de l’Abbé Pierre et la période contemporaine, à l’exception du plan final. Une bonne idée enfin.
La Voix du Nord
Benjamin Lavernhe incarne l’abbé Pierre devant la caméra de Frédéric Tellier, dans un biopic qui fait mécaniquement défiler les dates et les chapitres, sans surprise.
Le Figaro
Benjamin Lavernhe endosse la soutane avec courage et abnégation, vieillit à solides coups de maquillage, prend une voix chevrotante au fil des années. Le film n'est ni bon ni mauvais, plein de bonne volonté, d'un réalisme raplapla, quasi scolaire.
Le Monde
Le film consacré au parcours du cofondateur d’Emmaüs, interprété par Benjamin Lavernhe, n’évite pas l’hagiographie.
Les Fiches du Cinéma
Un “best of” biographique décevant, qui survole son sujet malgré l’investissement de Benjamin Lavernhe.
Libération
Sorti de cette performance boulet de canon qui emporte l’affaire et réussit parfois à la faire vibrer, pas grand-chose, si ce n’est l’attirail habituel du genre. Une page Wikipédia qui vous hurle au visage, n’hésitant jamais à en faire des caisses (on évite par moments de justesse le point Robert Hossein).
Télérama
Cette vie n’est dès lors plus racontée que sur le mode extraordinaire, comme celle de n’importe quel champion. Le portrait devient superficiel et c’est dommage pour Benjamin Lavernhe, convaincant en abbé, comme pour Emmanuelle Bercot, qui incarne son assistante, Lucie Coutaz, une figure méconnue, attachante, mais, elle aussi, survolée.
Critikat.com
Au diapason des aspirations à la sainteté du personnage, Frédéric Tellier filme son héros en prédicateur populaire et habité, qui trouverait toutefois moins ici son Giotto que son Jacques Séguéla.