Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Déstructuré, le récit est à la fois terrible (la cruauté des gens est affreuse) et pathétique (la souffrance de Ligabue est palpable). Dans le genre codifié du biopic, une réussite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Frédéric Strauss
Victime d’un destin brutal, le peintre Antonio Ligabue a fui le monde. Une vie en morceaux, dont ce biopic tout sauf académique dessine les contours.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
En donnant à voir sa peinture naïve qui évolue vers l’expressionnisme dans une explosion des couleurs, le film suscite l’envie d’en découvrir davantage sur cet artiste hors norme et son œuvre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’autodidacte, qui représentait des animaux l’essentiel du temps, a inspiré sa plus impressionnante performance à Elio Germano, récompensé par l’Ours d’argent du meilleur acteur à Berlin. De quoi passer outre l’austérité de la mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Portrait d’un artiste naïf, “Je voulais me cacher”, sous ses atours d’expérimentation formelle (récit diffracté, entre exubérance et dénuement) se révèle être un sympathique film d’acteur, qui manque cependant d’ingénuité pour épouser la quête de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Figaro
par La Rédaction
Malgré la performance de trois acteurs l'incarnant aux différents âges de sa vie, les trop nombreuses scènes de crises de rage typiques du maniacodépressif fatiguent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Sophie Benamon
Qu’il est difficile de filmer la peinture ! C’est sûrement la raison pour laquelle Diritti met plus en avant la souffrance de l’homme – dans des scènes qui tirent parfois en longueur- que la magnificence des tableaux de l’artiste et de son travail de la matière.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Déstructuré, le récit est à la fois terrible (la cruauté des gens est affreuse) et pathétique (la souffrance de Ligabue est palpable). Dans le genre codifié du biopic, une réussite.
Télérama
Victime d’un destin brutal, le peintre Antonio Ligabue a fui le monde. Une vie en morceaux, dont ce biopic tout sauf académique dessine les contours.
La Croix
En donnant à voir sa peinture naïve qui évolue vers l’expressionnisme dans une explosion des couleurs, le film suscite l’envie d’en découvrir davantage sur cet artiste hors norme et son œuvre.
Le Journal du Dimanche
L’autodidacte, qui représentait des animaux l’essentiel du temps, a inspiré sa plus impressionnante performance à Elio Germano, récompensé par l’Ours d’argent du meilleur acteur à Berlin. De quoi passer outre l’austérité de la mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
Portrait d’un artiste naïf, “Je voulais me cacher”, sous ses atours d’expérimentation formelle (récit diffracté, entre exubérance et dénuement) se révèle être un sympathique film d’acteur, qui manque cependant d’ingénuité pour épouser la quête de son sujet.
Le Figaro
Malgré la performance de trois acteurs l'incarnant aux différents âges de sa vie, les trop nombreuses scènes de crises de rage typiques du maniacodépressif fatiguent.
Première
Qu’il est difficile de filmer la peinture ! C’est sûrement la raison pour laquelle Diritti met plus en avant la souffrance de l’homme – dans des scènes qui tirent parfois en longueur- que la magnificence des tableaux de l’artiste et de son travail de la matière.
Ouest France
Un film bien trop académique.