Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Mohammad Rasoulof met en scène quatre histoires consacrées à un même sujet : la peine de mort en Iran. Ce film magistral confirme l'inspiration d'un cinéaste censuré dans son pays.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Quatre histoires sur le refus de tuer ses semblables dans l’Iran moderne. Mohammad Rasoulof relie des fascicules d’histoire individuelle en un cycle lyrique qui place le curseur non pas sur l’oppression, mais sur ceux qui communi(qu)ent dans la résistance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce grand film implacable ne s’oublie pas de sitôt après avoir été vu. Et confirme, s’il en était besoin, le talent et le courage d’un cinéaste résistant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Alain Masson
[Une] réflexion explosive en quatre volets sur l’insoumission au pouvoir, d’une stupéfiante vitalité formelle.
Première
par Sylvestre Picard
Ours d'or à Berlin 2020, le film de l'iranien Mohammad Rasoulof reste un événement de cinoche dont la colère ne risque pas de s'éteindre de sitôt. Pour l'auteur de ces lignes, ça ne fait pas de doute : c'est le meilleur film de 2021.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
De là l’inquiétude, le soupçon. Mohammed Rasoulof sait l’art de la mise en scène, des signes de tension disséminés avec soin et des plans qui tombent comme des couperets.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame fort sur le courage et les sacrifices qu'implique le libre-arbitre.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un plaidoyer magnifique et saisissant en faveur de la liberté de conscience et contre la peine de mort dans sans doute l’une des pires dictatures au monde : l’Iran.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Les deux heures et demie de l’aventure agissent comme un entêtement progressif. Elles épatent aussi, en passant de la cité grouillante à la nature salvatrice, et de l’oppression à la résistance, le long de plans dont la durée nourrit l’âme du film.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce questionnement sur le dilemme moral et la responsabilité est magistral.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Au-delà du contexte de l'Iran, on pose ici des questions universelles, traitées avec finesse.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Même s’ils apparaissent indépendants, ces quatre courts métrages forment un ensemble cohérent et se répondent. Avec ce film, Rasoulof signe une œuvre d’une puissance rare, où il explore avec talent plusieurs genres cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
D’une dialectique implacable, le film, un peu aride dans sa démonstration, se gonfle d’humanité et de romanesque à mesure que l’action s’éloigne de Téhéran pour aller vers la nature et que les femmes passent au premier plan.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Une œuvre puissante et engagée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Tour à tour récit familial, thriller d’action, romance, tragédie intime, ce grand film politique sur la peine de mort met en scène des bourreaux qui sont des citoyens ordinaires ou de jeunes militaires conscrits chargés des exécutions des condamnés.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cette banalité glace le sang. Les morts anonymes hantent ces séquences dont l'efficacité le dispute à la beauté. On s'aperçoit que le cinéma possède une force qui n'appartient qu'à lui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une vision âpre et sans concession, magnifiquement mise en image, d'un peuple rendu muet et soumis. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Ces films, qui mettent tour à tour en scène un mari et père exemplaire, un jeune conscrit, un fiancé venu demander sa promise en mariage, et un médecin isolé dans les montagnes avec sa femme, brossent un portrait de l’Iran totalitaire. Et forment finalement une œuvre lente, à la beauté classique, mais profondément révolutionnaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Pierre Alonso
Le Diable n’existe pas n’apparaît pourtant pas comme un appel à l’insurrection. C’est aussi la force du film, long et dense, qui ne répond à aucune question, mais laisse chacun entrevoir que certains choix n’ont pas de bonne issue dès lors que l’énoncé de départ est mauvais, à la manière d’une fable en quatre actes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Un plaidoyer pour la liberté aussi fort politiquement qu'esthétiquement.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
La richesse du film de Rasoulof tient dans le fait que chaque histoire vient simultanément prolonger et contrarier l'apologue précédent [...]. Elle réside également dans la multiplicité des formes cinématographiques adoptées toutes réunies sous un même régime visuel, aussi délicat que virtuose.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Le talent de scénariste de Rasoulof est de donner à chacun de ses récits une conclusion qui, tout en s’inscrivant dans la logique de destinée de chaque personnage, ouvre sur une dimension allégorique qui révélerait l’inconscient de la société iranienne.
Critikat.com
par Hugo Mattias
Malgré leurs limites respectives, ces quatre petits contes cruels parviennent assez bien à figurer le rôle central de la découverte du mal dans la société iranienne en la filmant comme un véritable rite de passage, aussi brutal qu’inéluctable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si Le Diable n’existe pas frôle parfois le didactisme et l’exposé sociologique, il parvient finalement à esquiver les écueils de ces films dévorés par l’actualité brûlante et urgente de leur sujet, notamment quand il ne s’intéresse à rien d’autre qu’à la part sensible et humaine de ce qu’il filme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ours d’or à Berlin, ce film iranien de Mohammad Rasoulof, assigné à résidence, est tranchant comme une exécution.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mais chaque récit est lesté par un coup de force scénaristique, ce qui les rend artificiels.
Les Echos
Mohammad Rasoulof met en scène quatre histoires consacrées à un même sujet : la peine de mort en Iran. Ce film magistral confirme l'inspiration d'un cinéaste censuré dans son pays.
Les Fiches du Cinéma
Quatre histoires sur le refus de tuer ses semblables dans l’Iran moderne. Mohammad Rasoulof relie des fascicules d’histoire individuelle en un cycle lyrique qui place le curseur non pas sur l’oppression, mais sur ceux qui communi(qu)ent dans la résistance.
Marianne
Ce grand film implacable ne s’oublie pas de sitôt après avoir été vu. Et confirme, s’il en était besoin, le talent et le courage d’un cinéaste résistant.
Positif
[Une] réflexion explosive en quatre volets sur l’insoumission au pouvoir, d’une stupéfiante vitalité formelle.
Première
Ours d'or à Berlin 2020, le film de l'iranien Mohammad Rasoulof reste un événement de cinoche dont la colère ne risque pas de s'éteindre de sitôt. Pour l'auteur de ces lignes, ça ne fait pas de doute : c'est le meilleur film de 2021.
Télérama
De là l’inquiétude, le soupçon. Mohammed Rasoulof sait l’art de la mise en scène, des signes de tension disséminés avec soin et des plans qui tombent comme des couperets.
Voici
Un drame fort sur le courage et les sacrifices qu'implique le libre-arbitre.
aVoir-aLire.com
Un plaidoyer magnifique et saisissant en faveur de la liberté de conscience et contre la peine de mort dans sans doute l’une des pires dictatures au monde : l’Iran.
Bande à part
Les deux heures et demie de l’aventure agissent comme un entêtement progressif. Elles épatent aussi, en passant de la cité grouillante à la nature salvatrice, et de l’oppression à la résistance, le long de plans dont la durée nourrit l’âme du film.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce questionnement sur le dilemme moral et la responsabilité est magistral.
Femme Actuelle
Au-delà du contexte de l'Iran, on pose ici des questions universelles, traitées avec finesse.
L'Humanité
Même s’ils apparaissent indépendants, ces quatre courts métrages forment un ensemble cohérent et se répondent. Avec ce film, Rasoulof signe une œuvre d’une puissance rare, où il explore avec talent plusieurs genres cinématographiques.
L'Obs
D’une dialectique implacable, le film, un peu aride dans sa démonstration, se gonfle d’humanité et de romanesque à mesure que l’action s’éloigne de Téhéran pour aller vers la nature et que les femmes passent au premier plan.
La Croix
Une œuvre puissante et engagée.
Le Dauphiné Libéré
Tour à tour récit familial, thriller d’action, romance, tragédie intime, ce grand film politique sur la peine de mort met en scène des bourreaux qui sont des citoyens ordinaires ou de jeunes militaires conscrits chargés des exécutions des condamnés.
Le Figaro
Cette banalité glace le sang. Les morts anonymes hantent ces séquences dont l'efficacité le dispute à la beauté. On s'aperçoit que le cinéma possède une force qui n'appartient qu'à lui.
Le Journal du Dimanche
Une vision âpre et sans concession, magnifiquement mise en image, d'un peuple rendu muet et soumis. Bouleversant.
Le Parisien
Ces films, qui mettent tour à tour en scène un mari et père exemplaire, un jeune conscrit, un fiancé venu demander sa promise en mariage, et un médecin isolé dans les montagnes avec sa femme, brossent un portrait de l’Iran totalitaire. Et forment finalement une œuvre lente, à la beauté classique, mais profondément révolutionnaire.
Libération
Le Diable n’existe pas n’apparaît pourtant pas comme un appel à l’insurrection. C’est aussi la force du film, long et dense, qui ne répond à aucune question, mais laisse chacun entrevoir que certains choix n’ont pas de bonne issue dès lors que l’énoncé de départ est mauvais, à la manière d’une fable en quatre actes.
Marie Claire
Un plaidoyer pour la liberté aussi fort politiquement qu'esthétiquement.
Transfuge
La richesse du film de Rasoulof tient dans le fait que chaque histoire vient simultanément prolonger et contrarier l'apologue précédent [...]. Elle réside également dans la multiplicité des formes cinématographiques adoptées toutes réunies sous un même régime visuel, aussi délicat que virtuose.
Cahiers du Cinéma
Le talent de scénariste de Rasoulof est de donner à chacun de ses récits une conclusion qui, tout en s’inscrivant dans la logique de destinée de chaque personnage, ouvre sur une dimension allégorique qui révélerait l’inconscient de la société iranienne.
Critikat.com
Malgré leurs limites respectives, ces quatre petits contes cruels parviennent assez bien à figurer le rôle central de la découverte du mal dans la société iranienne en la filmant comme un véritable rite de passage, aussi brutal qu’inéluctable.
Les Inrockuptibles
Si Le Diable n’existe pas frôle parfois le didactisme et l’exposé sociologique, il parvient finalement à esquiver les écueils de ces films dévorés par l’actualité brûlante et urgente de leur sujet, notamment quand il ne s’intéresse à rien d’autre qu’à la part sensible et humaine de ce qu’il filme.
Sud Ouest
Ours d’or à Berlin, ce film iranien de Mohammad Rasoulof, assigné à résidence, est tranchant comme une exécution.
Le Monde
Mais chaque récit est lesté par un coup de force scénaristique, ce qui les rend artificiels.