Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Dans cette déchirante élégie d’un survivant du génocide cambodgien, le cinéaste Rithy Panh compose un assemblage cinématographique d’une terrifiante beauté.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Télérama
par François Ekchajzer
On aimerait parfois ne pas avoir vu les images que nous tend Rithy Panh. Mais, convoquant les ressources poétiques de la littérature, de la musique, de la danse et du montage pour affronter cette puissance maléfique qui aspire à faire taire les manifestations de l’esprit humain, il signe une sorte d’oratorio d’une prodigieuse intensité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Comment conjuguer le geste esthétique au message politique sans le dévoyer ? Rithy Panh y parvient. Au prix de l’insoutenable. Mais aussi de l’indispensable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un document dur mais dont le chant de mort [...] est implacable.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un film expérimental aussi captivant qu'éprouvant.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le regard des mort·es semble parfois plus vivant que celui des survivant·es ou de celles et ceux qui vont bientôt mourir. C’est un travail de montage extraordinaire au sens propre, et pour être honnête très éprouvant pour le ou la spectateur·trice. On a beau, la plupart du temps, avoir déjà vu bon nombre de ces images, leur accumulation est totalement ravageur pour la psyché du spectateur·trice.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur franco-cambodgien signe un documentaire expérimental à la puissance formelle dingue sur les victimes des atrocités du XXè siècle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Bastien Gens
Ce découpage proche de l’installation muséale ramène le spectateur à une perception très formelle, le mettant face à des visions lumineuses frayant avec l’abstraction.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
La beauté formelle du film, mêlant images d’archives et d’aujourd’hui ponctuées d’une récitation poétique, dite par André Wilms et Rebecca Marder, contraste avec la dureté visuelle, comme si le génie créateur de l’homme pouvait s’exprimer dans le pire comme dans le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Thomas Baurez
Le cinéaste franco-cambodgien Rithy Panh s’échappe de son travail mémoriel sur la barbarie des Khmers-rouges (L’Image manquante...) pour embraser plus largement les origines du mal dans un XXe siècle chaotique. Porté par un texte sublime, son film qui lorgne du côté de Chris Marker, est un formidable essai où la force du montage créait un ballet tragique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Irradiés ne ménage pas son spectateur. Sa vision est même particulièrement éprouvante. (...) montrer et voir sont pour Rithy Panh une affaire de responsabilité. Mais le film se confronte d’emblée à la difficulté de trouver la bonne distance (...) : la division de l’écran en trois images, procédé visant l’insistance et la saturation, détourne l’attention sur le dispositif et finit par atténuer la perception de la violence.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
À partir d’archives et de témoignages de survivants, R Panh compose un poème funèbre à la mémoire de l’Humanité irradiée par le Mal au XXe siècle. Visuellement éprouvant, le film s’égare dans un esthétisme déplacé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Bande à part
Dans cette déchirante élégie d’un survivant du génocide cambodgien, le cinéaste Rithy Panh compose un assemblage cinématographique d’une terrifiante beauté.
Télérama
On aimerait parfois ne pas avoir vu les images que nous tend Rithy Panh. Mais, convoquant les ressources poétiques de la littérature, de la musique, de la danse et du montage pour affronter cette puissance maléfique qui aspire à faire taire les manifestations de l’esprit humain, il signe une sorte d’oratorio d’une prodigieuse intensité.
L'Obs
Comment conjuguer le geste esthétique au message politique sans le dévoyer ? Rithy Panh y parvient. Au prix de l’insoutenable. Mais aussi de l’indispensable.
Le Journal du Dimanche
Un document dur mais dont le chant de mort [...] est implacable.
Le Monde
Un film expérimental aussi captivant qu'éprouvant.
Les Inrockuptibles
Le regard des mort·es semble parfois plus vivant que celui des survivant·es ou de celles et ceux qui vont bientôt mourir. C’est un travail de montage extraordinaire au sens propre, et pour être honnête très éprouvant pour le ou la spectateur·trice. On a beau, la plupart du temps, avoir déjà vu bon nombre de ces images, leur accumulation est totalement ravageur pour la psyché du spectateur·trice.
Paris Match
Le réalisateur franco-cambodgien signe un documentaire expérimental à la puissance formelle dingue sur les victimes des atrocités du XXè siècle.
Critikat.com
Ce découpage proche de l’installation muséale ramène le spectateur à une perception très formelle, le mettant face à des visions lumineuses frayant avec l’abstraction.
La Croix
La beauté formelle du film, mêlant images d’archives et d’aujourd’hui ponctuées d’une récitation poétique, dite par André Wilms et Rebecca Marder, contraste avec la dureté visuelle, comme si le génie créateur de l’homme pouvait s’exprimer dans le pire comme dans le meilleur.
Première
Le cinéaste franco-cambodgien Rithy Panh s’échappe de son travail mémoriel sur la barbarie des Khmers-rouges (L’Image manquante...) pour embraser plus largement les origines du mal dans un XXe siècle chaotique. Porté par un texte sublime, son film qui lorgne du côté de Chris Marker, est un formidable essai où la force du montage créait un ballet tragique.
Cahiers du Cinéma
Irradiés ne ménage pas son spectateur. Sa vision est même particulièrement éprouvante. (...) montrer et voir sont pour Rithy Panh une affaire de responsabilité. Mais le film se confronte d’emblée à la difficulté de trouver la bonne distance (...) : la division de l’écran en trois images, procédé visant l’insistance et la saturation, détourne l’attention sur le dispositif et finit par atténuer la perception de la violence.
Les Fiches du Cinéma
À partir d’archives et de témoignages de survivants, R Panh compose un poème funèbre à la mémoire de l’Humanité irradiée par le Mal au XXe siècle. Visuellement éprouvant, le film s’égare dans un esthétisme déplacé.