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    La Femme qui s’est enfuie
    Note moyenne
    3,4
    19 titres de presse
    • Le Monde
    • Libération
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • Culturopoing.com
    • Les Inrockuptibles
    • Positif
    • Sud Ouest
    • Transfuge
    • Télérama
    • La Croix
    • Les Echos
    • Les Fiches du Cinéma
    • Ouest France
    • Première
    • Voici
    • Le Journal du Dimanche
    • L'Obs
    • aVoir-aLire.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    19 critiques presse

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    La Femme qui s’est enfuie, le dernier film du duo, marque en ce sens une sorte d’apogée, ouvrant pour ses héroïnes une parenthèse de douceur et de mélancolie, une ma­gnifique « surface de réparation » féminine.

    Libération

    par Elisabeth Franck-Dumas

    Il y a quelque chose de délicieux à contempler cette complicité qui n’a guère besoin de trop de mots, ces conversations banales à table auxquelles excelle depuis toujours Hong Sang-soo, et cette proximité physique qui rappelle la sororité ouatée qu’avait mise en place "Hotel by the River", le précédent film du Sud-Coréen, sorti fin juillet, dont la sérénité semble ici provenir de la nature environnante autant que de l’absence d’hommes.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Cahiers du Cinéma

    par Vincent Malausa

    Le Femme qui s’est enfuie, en se repliant tout entier du côté des femmes à la fois puissantes et marginales auxquelles rend visite le personnage de Kim Min-hee, opère un basculement décisif et naturel dans la trajectoire d'Hong Sang-soo.

    Critikat.com

    par Marin Gérard

    "La femme qui s'est enfuie" tire sa beauté de sa grande simplicité (...), de la modestie d'une méthode épurée, précise et pourtant nonchalante.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Culturopoing.com

    par Enrique Seknadje

    Quoique moins beau et émouvant que "Hotel By The River" (…), "La Femme qui s’est enfuie" séduit par la présence de Kim Min-hee - qui brille d’autant plus qu’elle est entourée de personnages/acteurs peu charismatiques -, grâce aux situations loufoques qui y sont mises en scène, aux insondables mystères et secrets logeant au cœur d’un récit en demi-teinte.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Les Inrockuptibles

    par Marilou Duponchel

    D’apparence le film le plus léger du Coréen, un triptyque sororal où les hommes ne font irruption que pour perturber l’harmonie en présence. [...] Mais dans cette fable, qui métaphorise les relations hommes-femmes au travers d’un amusant prisme animalier (la basse-cour comme ring de combat), la mélancolie n’est pas éclipsée.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Positif

    par Jean-Christophe Ferrari

    Mais, outre les dialogues, c’est toute la mise en scène de Hong Sang-soo (les gestes, les regards, les cadres, les zooms, les silences, les suspensions de la narration ou de la parole) qui témoigne de ce que la réalité est continuellement pleine de la venue d’un événement insaisissable. Comme si tout tendait vers une révélation dont l’avènement marquerait, dans un même mouvement, le surgissement et l’évanouissement.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Trois visites, trois motifs, trois façons réitérées de dire l’intimité de femmes qui interrogent l’amour sous le rideau le plus anodin de la vie. Le spectateur doit se débrouiller avec ça. Pour peu qu’il se prenne au jeu, c’est magnifique.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    Transfuge

    par Corentin Destefanis Dupin

    Avec "La Femme qui s’est enfuie", [...] Hong Sang-Soo continue de subtilement tisser son œuvre, à la manière d’une dentelle, légère et fragile.

    Télérama

    par Jacques Morice

    Avec sa maestria et son ironie, Hong Sang-soo dépeint la tentation de l’ailleurs.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    La Croix

    par Céline Rouden

    Ténu et plein de grâce, le cinéma du Rohmer sud-coréen, qui ne cesse d’ausculter les sentiments amoureux, se pare ici des atours de la sororité – les hommes ont du mal à y trouver leur place – et de la mélancolie pour décrire des amours déçues et des vies solitaires auxquelles seule la contemplation de la nature apporte un peu de réconfort.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Les Echos

    par Adrien Gombeaud

    Il y a des jeunes femmes et des cafés déserts, des parapluies et de l'alcool… Comme d'habitude, le 24e opus du Coréen Hong Sang-soo ressemble aux précédents. Comme d'habitude, il s'avérera légèrement et délicieusement différent.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Les Fiches du Cinéma

    par Thomas Fouet

    Nouvelle collaboration pour Hong Sangsoo et Kim Minhee, qui tracent en creux - et ajoutent à leur collection conséquente d’ores et déjà - un délicat portrait de femme.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Ouest France

    par La Rédaction

    Un film mystérieux, poème visuel teinté de fantaisie.

    Première

    par Thierry Chèze

    Les films de Hong Sang-soo, où réalisme et fantastique flirtent si joliment, multiplient les questions en laissant le spectateur imaginer les réponses. Voilà pourquoi en apparence si semblables, ils se révèlent si différents.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Voici

    par La Rédaction

    Un film déconcertant, mélancolique et drôle, du réalisateur sud-coréen et qui a un charme fou.

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Si cette chronique douce-amère peut sembler bavarde et répétitive, il y a toujours un moment où la vérité et l'émotion surgissent sans crier gare.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Ours d’argent du meilleur réalisateur au dernier Festival de Berlin, le Rohmer sud-coréen signe des films comme d’autres sortent leur chien, l’habitude éclipsant parfois la nécessité du geste. Du moins, c’est l’impression que laisse cette énième variation sur le couple et les rapports hommes-femmes (...).

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Du verbiage sans queue ni tête qui, au lieu d’exalter le spectateur, génère un climat soporifique et sans intérêt.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
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