Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Monde
par Mathieu Macheret
La Femme qui s’est enfuie, le dernier film du duo, marque en ce sens une sorte d’apogée, ouvrant pour ses héroïnes une parenthèse de douceur et de mélancolie, une magnifique « surface de réparation » féminine.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Il y a quelque chose de délicieux à contempler cette complicité qui n’a guère besoin de trop de mots, ces conversations banales à table auxquelles excelle depuis toujours Hong Sang-soo, et cette proximité physique qui rappelle la sororité ouatée qu’avait mise en place "Hotel by the River", le précédent film du Sud-Coréen, sorti fin juillet, dont la sérénité semble ici provenir de la nature environnante autant que de l’absence d’hommes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le Femme qui s’est enfuie, en se repliant tout entier du côté des femmes à la fois puissantes et marginales auxquelles rend visite le personnage de Kim Min-hee, opère un basculement décisif et naturel dans la trajectoire d'Hong Sang-soo.
Critikat.com
par Marin Gérard
"La femme qui s'est enfuie" tire sa beauté de sa grande simplicité (...), de la modestie d'une méthode épurée, précise et pourtant nonchalante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Quoique moins beau et émouvant que "Hotel By The River" (…), "La Femme qui s’est enfuie" séduit par la présence de Kim Min-hee - qui brille d’autant plus qu’elle est entourée de personnages/acteurs peu charismatiques -, grâce aux situations loufoques qui y sont mises en scène, aux insondables mystères et secrets logeant au cœur d’un récit en demi-teinte.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
D’apparence le film le plus léger du Coréen, un triptyque sororal où les hommes ne font irruption que pour perturber l’harmonie en présence. [...] Mais dans cette fable, qui métaphorise les relations hommes-femmes au travers d’un amusant prisme animalier (la basse-cour comme ring de combat), la mélancolie n’est pas éclipsée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Mais, outre les dialogues, c’est toute la mise en scène de Hong Sang-soo (les gestes, les regards, les cadres, les zooms, les silences, les suspensions de la narration ou de la parole) qui témoigne de ce que la réalité est continuellement pleine de la venue d’un événement insaisissable. Comme si tout tendait vers une révélation dont l’avènement marquerait, dans un même mouvement, le surgissement et l’évanouissement.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Trois visites, trois motifs, trois façons réitérées de dire l’intimité de femmes qui interrogent l’amour sous le rideau le plus anodin de la vie. Le spectateur doit se débrouiller avec ça. Pour peu qu’il se prenne au jeu, c’est magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Avec "La Femme qui s’est enfuie", [...] Hong Sang-Soo continue de subtilement tisser son œuvre, à la manière d’une dentelle, légère et fragile.
Télérama
par Jacques Morice
Avec sa maestria et son ironie, Hong Sang-soo dépeint la tentation de l’ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Ténu et plein de grâce, le cinéma du Rohmer sud-coréen, qui ne cesse d’ausculter les sentiments amoureux, se pare ici des atours de la sororité – les hommes ont du mal à y trouver leur place – et de la mélancolie pour décrire des amours déçues et des vies solitaires auxquelles seule la contemplation de la nature apporte un peu de réconfort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Il y a des jeunes femmes et des cafés déserts, des parapluies et de l'alcool… Comme d'habitude, le 24e opus du Coréen Hong Sang-soo ressemble aux précédents. Comme d'habitude, il s'avérera légèrement et délicieusement différent.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Nouvelle collaboration pour Hong Sangsoo et Kim Minhee, qui tracent en creux - et ajoutent à leur collection conséquente d’ores et déjà - un délicat portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un film mystérieux, poème visuel teinté de fantaisie.
Première
par Thierry Chèze
Les films de Hong Sang-soo, où réalisme et fantastique flirtent si joliment, multiplient les questions en laissant le spectateur imaginer les réponses. Voilà pourquoi en apparence si semblables, ils se révèlent si différents.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un film déconcertant, mélancolique et drôle, du réalisateur sud-coréen et qui a un charme fou.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si cette chronique douce-amère peut sembler bavarde et répétitive, il y a toujours un moment où la vérité et l'émotion surgissent sans crier gare.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ours d’argent du meilleur réalisateur au dernier Festival de Berlin, le Rohmer sud-coréen signe des films comme d’autres sortent leur chien, l’habitude éclipsant parfois la nécessité du geste. Du moins, c’est l’impression que laisse cette énième variation sur le couple et les rapports hommes-femmes (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Du verbiage sans queue ni tête qui, au lieu d’exalter le spectateur, génère un climat soporifique et sans intérêt.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
La Femme qui s’est enfuie, le dernier film du duo, marque en ce sens une sorte d’apogée, ouvrant pour ses héroïnes une parenthèse de douceur et de mélancolie, une magnifique « surface de réparation » féminine.
Libération
Il y a quelque chose de délicieux à contempler cette complicité qui n’a guère besoin de trop de mots, ces conversations banales à table auxquelles excelle depuis toujours Hong Sang-soo, et cette proximité physique qui rappelle la sororité ouatée qu’avait mise en place "Hotel by the River", le précédent film du Sud-Coréen, sorti fin juillet, dont la sérénité semble ici provenir de la nature environnante autant que de l’absence d’hommes.
Cahiers du Cinéma
Le Femme qui s’est enfuie, en se repliant tout entier du côté des femmes à la fois puissantes et marginales auxquelles rend visite le personnage de Kim Min-hee, opère un basculement décisif et naturel dans la trajectoire d'Hong Sang-soo.
Critikat.com
"La femme qui s'est enfuie" tire sa beauté de sa grande simplicité (...), de la modestie d'une méthode épurée, précise et pourtant nonchalante.
Culturopoing.com
Quoique moins beau et émouvant que "Hotel By The River" (…), "La Femme qui s’est enfuie" séduit par la présence de Kim Min-hee - qui brille d’autant plus qu’elle est entourée de personnages/acteurs peu charismatiques -, grâce aux situations loufoques qui y sont mises en scène, aux insondables mystères et secrets logeant au cœur d’un récit en demi-teinte.
Les Inrockuptibles
D’apparence le film le plus léger du Coréen, un triptyque sororal où les hommes ne font irruption que pour perturber l’harmonie en présence. [...] Mais dans cette fable, qui métaphorise les relations hommes-femmes au travers d’un amusant prisme animalier (la basse-cour comme ring de combat), la mélancolie n’est pas éclipsée.
Positif
Mais, outre les dialogues, c’est toute la mise en scène de Hong Sang-soo (les gestes, les regards, les cadres, les zooms, les silences, les suspensions de la narration ou de la parole) qui témoigne de ce que la réalité est continuellement pleine de la venue d’un événement insaisissable. Comme si tout tendait vers une révélation dont l’avènement marquerait, dans un même mouvement, le surgissement et l’évanouissement.
Sud Ouest
Trois visites, trois motifs, trois façons réitérées de dire l’intimité de femmes qui interrogent l’amour sous le rideau le plus anodin de la vie. Le spectateur doit se débrouiller avec ça. Pour peu qu’il se prenne au jeu, c’est magnifique.
Transfuge
Avec "La Femme qui s’est enfuie", [...] Hong Sang-Soo continue de subtilement tisser son œuvre, à la manière d’une dentelle, légère et fragile.
Télérama
Avec sa maestria et son ironie, Hong Sang-soo dépeint la tentation de l’ailleurs.
La Croix
Ténu et plein de grâce, le cinéma du Rohmer sud-coréen, qui ne cesse d’ausculter les sentiments amoureux, se pare ici des atours de la sororité – les hommes ont du mal à y trouver leur place – et de la mélancolie pour décrire des amours déçues et des vies solitaires auxquelles seule la contemplation de la nature apporte un peu de réconfort.
Les Echos
Il y a des jeunes femmes et des cafés déserts, des parapluies et de l'alcool… Comme d'habitude, le 24e opus du Coréen Hong Sang-soo ressemble aux précédents. Comme d'habitude, il s'avérera légèrement et délicieusement différent.
Les Fiches du Cinéma
Nouvelle collaboration pour Hong Sangsoo et Kim Minhee, qui tracent en creux - et ajoutent à leur collection conséquente d’ores et déjà - un délicat portrait de femme.
Ouest France
Un film mystérieux, poème visuel teinté de fantaisie.
Première
Les films de Hong Sang-soo, où réalisme et fantastique flirtent si joliment, multiplient les questions en laissant le spectateur imaginer les réponses. Voilà pourquoi en apparence si semblables, ils se révèlent si différents.
Voici
Un film déconcertant, mélancolique et drôle, du réalisateur sud-coréen et qui a un charme fou.
Le Journal du Dimanche
Si cette chronique douce-amère peut sembler bavarde et répétitive, il y a toujours un moment où la vérité et l'émotion surgissent sans crier gare.
L'Obs
Ours d’argent du meilleur réalisateur au dernier Festival de Berlin, le Rohmer sud-coréen signe des films comme d’autres sortent leur chien, l’habitude éclipsant parfois la nécessité du geste. Du moins, c’est l’impression que laisse cette énième variation sur le couple et les rapports hommes-femmes (...).
aVoir-aLire.com
Du verbiage sans queue ni tête qui, au lieu d’exalter le spectateur, génère un climat soporifique et sans intérêt.