Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un style coloré et totalement personnel, Anaïs Barbeau-Lavalette décrit l’amour, la drogue, l’amitié et le désenchantement au temps d’avant de nos adolescences. Un film proprement virtuose et inspiré.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
BIBA
par Samuel Loutaty
La réussite de cette version québécoise et grunge - mais jamais glauque - de "L'Effrontée" doit beaucoup à l'intelligence de jeu gracile et fiévreuse de la jeune Kelly Depeault.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Certains penseront aux Kids de Larry Clark ou aux skateurs du Paranoïd Park de Gus Van Sant avec la mise au jour d’une sexualité qui ne demande qu’à s’épanouir. Mais la vraie parenté est ailleurs. Elle se niche davantage dans le cinéma sensible de Sébastien Lifshitz. On peut voir dans cette œuvre une réponse fictionnelle à son lumineux Adolescentes.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Dépeignant l’adolescence grunge et fiévreuse d’une jeune Québécoise dans le Saguenay des années 1990, Anaïs Barbeau-Lavalette offre un récit initiatique sensible, nostalgique et brutal, quoiqu’un peu répétitif, interprété avec justesse par ses jeunes acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
La déesse des mouches à feu réussit également par son traitement à la fois poétique et cru à tisser un témoignage particulièrement cathartique sur cette révolte qu’est l’adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
par Thomas Destouches
Cette chronique adolescente surprend par la rudesse de son récit et de son regard.
L'Obs
par François Forestier
L’impression de déjà-vu est forte, mais la force du film est sa franchise, sa vérité. Et Kelly Depeault, la jeune comédienne, porte tout le récit sur ses épaules, avec un incroyable culot.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Collant aux basques de l'attachante protagoniste, la réalisatrice brosse le portrait d'une génération avide de nouvelles expériences [...]. Au risque de tourner un peu en rond. Qu'importe : son récit animé du feu de la jeunesse fait mouche et peut compter sur une prometteuse comédienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La Rédaction
Un récit initiatique un peu trop programmatique mais qui révèle le talent de Kelly Depeault dans le rôle central.
Télérama
par La Rédaction
Montrant sans fard une overdose de mescaline ou un moment de sexe, la réalisatrice convoque autant son expérience de documentariste que l’esprit de Larry Clark. Les références à Pulp Fiction, l’omniprésence de Kurt Cobain, la technologie d’alors illustrent idéalement l’âge ingrat de cette époque, grunge par excellence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Film d’atmosphère, La déesse des mouches à feu déçoit quand il colle à son récit et en déroule les aspects les plus programmatiques jusqu’à une fin forcément attendue. Une rébellion… contre son scénario aurait été la bienvenue !
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Le film se fait rattraper précisément par ce qu’il cherchait à fuir : les conventions et les idées reçues.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
Dans un style coloré et totalement personnel, Anaïs Barbeau-Lavalette décrit l’amour, la drogue, l’amitié et le désenchantement au temps d’avant de nos adolescences. Un film proprement virtuose et inspiré.
BIBA
La réussite de cette version québécoise et grunge - mais jamais glauque - de "L'Effrontée" doit beaucoup à l'intelligence de jeu gracile et fiévreuse de la jeune Kelly Depeault.
L'Humanité
Certains penseront aux Kids de Larry Clark ou aux skateurs du Paranoïd Park de Gus Van Sant avec la mise au jour d’une sexualité qui ne demande qu’à s’épanouir. Mais la vraie parenté est ailleurs. Elle se niche davantage dans le cinéma sensible de Sébastien Lifshitz. On peut voir dans cette œuvre une réponse fictionnelle à son lumineux Adolescentes.
Les Fiches du Cinéma
Dépeignant l’adolescence grunge et fiévreuse d’une jeune Québécoise dans le Saguenay des années 1990, Anaïs Barbeau-Lavalette offre un récit initiatique sensible, nostalgique et brutal, quoiqu’un peu répétitif, interprété avec justesse par ses jeunes acteurs.
Les Inrockuptibles
La déesse des mouches à feu réussit également par son traitement à la fois poétique et cru à tisser un témoignage particulièrement cathartique sur cette révolte qu’est l’adolescence.
CinemaTeaser
Cette chronique adolescente surprend par la rudesse de son récit et de son regard.
L'Obs
L’impression de déjà-vu est forte, mais la force du film est sa franchise, sa vérité. Et Kelly Depeault, la jeune comédienne, porte tout le récit sur ses épaules, avec un incroyable culot.
Le Journal du Dimanche
Collant aux basques de l'attachante protagoniste, la réalisatrice brosse le portrait d'une génération avide de nouvelles expériences [...]. Au risque de tourner un peu en rond. Qu'importe : son récit animé du feu de la jeunesse fait mouche et peut compter sur une prometteuse comédienne.
Ouest France
Un récit initiatique un peu trop programmatique mais qui révèle le talent de Kelly Depeault dans le rôle central.
Télérama
Montrant sans fard une overdose de mescaline ou un moment de sexe, la réalisatrice convoque autant son expérience de documentariste que l’esprit de Larry Clark. Les références à Pulp Fiction, l’omniprésence de Kurt Cobain, la technologie d’alors illustrent idéalement l’âge ingrat de cette époque, grunge par excellence.
Première
Film d’atmosphère, La déesse des mouches à feu déçoit quand il colle à son récit et en déroule les aspects les plus programmatiques jusqu’à une fin forcément attendue. Une rébellion… contre son scénario aurait été la bienvenue !
Critikat.com
Le film se fait rattraper précisément par ce qu’il cherchait à fuir : les conventions et les idées reçues.