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Des vacances au ski qui sont l'occasion de régler ses problèmes de couple. Au départ un sujet plutôt intéressant à condition de mettre du rythme et de travailler les dialogues et la direction d'acteurs. Malheureusement ce n'est pas le cas ici. C'est brouillon, parfois fade (dialogues et interprétation de Christopher Thompson, fils de... on a compris la raison du casting). Jean-Hugues Anglade tire son épingle du jeu et Jacqueline Bisset possède toujours autant de classe. Au final, une tisane pour le foie. On peut s'en passer.
Dans le chalet où il passe ses vacances d'hiver, chacun des couples qui composent ce groupe d'amis a en commun avec les autres de traverser une période sentimentale ou conjugale conflictuelle. La convivialité en prend un coup et on n'est pas loin, par moments, de l'hystérie collective.
Ce portrait de groupe dans un espace clos, étouffant pour les personnages comme pour le spectateur, c'est du sous-Claude Sautet, trop branché pour être sincère, trop superficiel pour être attachant. Elie Chouraqui illustre ces désordres sentimentaux par une mise en scène désordonnée, parfois par des mouvements de caméra brusques et par des gros plans sur des visages affectés. Le réalisateur passe d'un personnage à l'autre sans fluidité pour permettre à chacun de faire son petit numéro sur les infortunes du coeur et du couple spoiler: , avant la réconciliation finale.
Le ton fantaisiste, agrémenté de formules toute faites, nuancé par une douleur morale démonstrative, semble constamment factice. A trop se disperser sur de trop nombreux rôles, Chouraqui ne parvient jamais à donner à ses fantoches une humanité sensible, une réelle personnalité psychologique (qui est le talent de Sautet) ni même une émotion quelconque.
Ce portrait de groupe dans un espace clos, étouffant pour les personnages comme pour le spectateur, c'est du sous-Claude Sautet, trop branché pour être sincère, trop superficiel pour être attachant. Elie Chouraqui illustre ces désordres sentimentaux par une mise en scène désordonnée, parfois par des mouvements de caméra brusques et par des gros plans sur des visages affectés. Le réalisateur passe d'un personnage à l'autre sans fluidité pour permettre à chacun de faire son petit numéro sur les infortunes du coeur et du couple spoiler: , avant la réconciliation finale.
Le ton fantaisiste, agrémenté de formules toute faites, nuancé par une douleur morale démonstrative, semble constamment factice. A trop se disperser sur de trop nombreux rôles, Chouraqui ne parvient jamais à donner à ses fantoches une humanité sensible, une réelle personnalité psychologique (qui est le talent de Sautet) ni même une émotion quelconque.
c'est plaisant de voir tout ce beau monde dans un film chorale très 90's. Malheureusement tout sonne bizarrement faux, c'est très mal dirigé et assez mal joué. Seul Dussollier s'en sort à merveille (je pense particulièrement à une scène divinement joué avec Jacqueline Bisset)
Les Marmottes est l’exemple type de ce qui peut le plus agacer dans le cinéma français. En effet, Elie Chouraqui livre une réalisation sans imagination à la photographie très fade pour illustrer les histoires de cœur et les états d’âme d’une bande de bourgeois parisiens. Ainsi, un brillant casting ne sauve jamais un scénario inintéressant (pourtant coécrit par une Danièle Thompson très loin des chefs-d’œuvre auxquels elle avait contribué pour son père). Les Marmottes auraient mieux fait de rester dans leurs terriers.
Je l'avais déjà vu et le revoir a l'aune de 2020 m'attire plusieurs réflexions, d'abord cela m'a fais penser a une vision des petits mouchoirs presque 30 avant la bande a Canet... Langlade serait le deconneur style Lellouche, Lanvin l'eperdu amoureux style Laffite, Dussolier un peu le chef style Cluzet, la regrettee Marie Trintignant la rebelle style Cotillard...mais bref tout ce petit monde des années 90 surjouent un peu trop a mon gout... Enfin Chouraqui veut se la jouer a Lelouch... avec camera tournante autour des acteurs, gros plan et filmage des scènes un peu comme un documentaire, dialogues intimes entre acteurs... Bref voilà ce que j'ai ressenti 30 après, tous ces acteurs ont quand même fait de belles carrières chacun dans leur style, quant a Chouraqui, on l'a un peu perdu de vue... Je crois qu'il a fait plus de comédies musicales que de films. Ce film reflète un époque nostalgique qui nous a un peu filée entre les doigts...cela reste donc très moyen...
Vraiment un navet
Super déçue
Rien n est construit c est un remix des bronzés
Que dire d autre
Rien
Rien rienrien rien
Super déçue
Rien n est construit c est un remix des bronzés
Que dire d autre
Rien
Rien rienrien rien
Un gros navet ou tout le monde gueule durant 1h40. Ça part dans tous les sens et au bout d un moment on n y comprend plus rien.
Un bon film à la montagne sur des histoires d'amour avec Gérard Lanvin, André Dussollier, Christopher Thompson, Jacqueline Bissett et Anouk Aimée.
C'est l'histoire d'une bande de bobos parisiens. Ils partent tous ensemble à la montagne pour les vacances de neige. Ils louent un chalet familiale. Après ils n'arrêtent pas de manger. Ils skient, mais dans le brouillard. Après il y a des effets d'annonces et des crises existentielles. Fatiguant.
Une chronique familiale douce-amère avec des couples qui se déchirent et se retrouvent le temps de vacances à Chamonix. Alors même si le film n'est pas complètement abouti, il n'en reste pas moins plutôt sympa et rarement ennuyeux grâce à la présence d'un casting de ouf, Marie Trintignant en tête.
Belle petite comédie dramatique qui met en scène une pléiade de vedettes du cinéma français dont André Dussolier et Gérard Lanvin tous deux excellents en premiers rôles mais aussi Virginie Ledoyen alors âgée de 16 ans. Les personnages nous font régulièrement sourire alors qu'ils démontrent les difficultés de l'amour quelque soit l'âge. À noter quelques magnifiques tirades notamment énoncées par Anouk Aimée et Jacqueline Bisset. L'amour est un sujet intemporel. Le film lui non plus n'a pas pris une ride.
Eric C.
Pleiade de bons acteurs pour ce film francais qui a un peu vieilli mais qui se regarde sans deplaisir sans faire grimper au plafond non plus. Une demi douzaine de couples en crise en vacances de ski et une succession d'anecdotes plus que de veritables histoires et destins. C'est assez bavard et au final plus une chronique sociale des realites de couple d'une classe bourgeoise. A noter la prestation assez fraiche de Virginie Ledoyen.
Les Marmottes : Une sorte de sous Bronzées a la montagne qui m’a assez un peu refroidi car je m’attendais un bien rigoler pour une comédie. Mais, c’est dur car le ton du film est très dépressif et pesant. On à l’impression que ce film nous fait la gueule et ça pour une comédie, c’est le pompon. Car, le film parle de tromperie, de divorce qui va mal, de problème de couple… et tout ça leur gâche leurs vacances et nous notre film ^^. Donc, a du mal à rigoler malgré les situations qui sont assez décalés et délicates. Et les personnages qui malgré tout ce prennent le choux pour pas grand-chose mais au moins, ça fera toujours rire. Car, c’est une famille et des amis qui se retrouvent a la montagne et tout va pas se passer comme prévus : les quiproquos vont s’enchainer. Sinon, les acteurs sont plutôt bon et le casting est très bon : Gérard Lanvin, Jacqueline Bisset, André Dussollier, Christine Boisson… Donc voila, je n’ai pas trop accrochez malgré le pitch qui annoncer pourtant du lourd. Mais, ça reste une bonne petite comédie pour passer le temps.
Enervant, sans intérêt... malgré une distribution splendide, j'ai été très déçue par cette histoire fade d'une famille de nantis qui passe ses vacances à se regarder le nombril.
malgré un gros casting, ce film est moyen dans tout, malgré qu'il montre les différents problèmes dans les couples !!!!
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