Ce film incarne tout ce que je déteste dans le cinéma français. Ce film est simplement un florilège de bons vieux ressorts un peu potaches usés dans les théatres de boulevard et qu’on nous ressort juste pour faire vivre à l’écran un petit groupe composés de quelques nantis qui ont décidé de vivre du cinéma. C’est assommant. Pire, moi ça m’irrite.
Les Marmottes : Une sorte de sous Bronzées a la montagne qui m’a assez un peu refroidi car je m’attendais un bien rigoler pour une comédie. Mais, c’est dur car le ton du film est très dépressif et pesant. On à l’impression que ce film nous fait la gueule et ça pour une comédie, c’est le pompon. Car, le film parle de tromperie, de divorce qui va mal, de problème de couple… et tout ça leur gâche leurs vacances et nous notre film ^^. Donc, a du mal à rigoler malgré les situations qui sont assez décalés et délicates. Et les personnages qui malgré tout ce prennent le choux pour pas grand-chose mais au moins, ça fera toujours rire. Car, c’est une famille et des amis qui se retrouvent a la montagne et tout va pas se passer comme prévus : les quiproquos vont s’enchainer. Sinon, les acteurs sont plutôt bon et le casting est très bon : Gérard Lanvin, Jacqueline Bisset, André Dussollier, Christine Boisson… Donc voila, je n’ai pas trop accrochez malgré le pitch qui annoncer pourtant du lourd. Mais, ça reste une bonne petite comédie pour passer le temps.
Lorsque vous voyer le début du film, vous vous dites que vous allez assister a un film déjanté et, après 10 minutes de film, vous n'avez qu'une envie:arreter votre téléviseur tellement ce film est minable.C'est dommage car les acteurs jouent trés bien leurs roles et l'idée de départ était bien trouvée. On se demande meme pourquoi des acteurs comme Gérard Lanvin ont ou jouert dans cette niaiserie.
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2,0
Publiée le 9 février 2015
C'est après avoir passè un rèveillon ensemble qu'Elie Chouraqui et Danièle Thompson ont eu l'idèe d'orchestrer ce huis-clos autour d'une poignèe de couples qui sortent subitement de leur ètat de marmottes ensommeillèes pour ruer dans les brancards de la passion! Retrouvant parfois la veine tendrement humoristique qui caractèrisait "Qu'est-ce qui fait courir David?", le rèalisateur rèunit une galerie de vedettes dans cette chronique douce-amère balayèe par le vent de la montagne comme par l'air du temps! Mari infidèle, maîtresse cachèe, vieux amants qui redècouvrent le plaisir de conjuguer la vie à deux jeunes amants en quête d'harmonie: tous cherchent à èchapper à la solitude! Leur errances sentimentales sur fond d'intempèrie et de feu de cheminèe explosent tant bien que mal dans des èclats de rire teintès d'une petite dose d'èmotion, tandis qu'une partition signèe Gabriel Yared souligne de son rythme sensible ces cris et chuchotements! C'est chaleureux, lucide, gai, mais c'est quand même sans grand intèrêt! Si ce n'est de revoir la regrettèe Marie Trintignant, le meilleur personnage du film dans une sèquence d'ouverture avec Jean-Hugues Anglade qui donne le ton...
Une comédie dramatique à la française où une poignée de personnages vont (encore) pouvoir faire le bilan de leur vie, cette fois à la montagne. J’ai jamais aimé la comédie française et c’est pas ce film qui va me faire changer d’avis… Même si le scénario est assez rusé pour ce qui est des relations sentimentales entre les personnages il aurait plus sa place dans un théâtre que sur un écran de cinéma ou de télévision. Mention spéciale quand même à Gérard Lanvin qui se démarque du lot en campant les traits d’un père de famille impuissant assez attachant.
Ce film laisse une impression mitigée. Disons que pour du Elie Chouraqui, co-écrit par Danièle Thompson, c'est décevant. Le scénario est pourtant bon dans l'ensemble. Intéressant, drôle. Mais l'exposition est ratée : on met très longtemps à situer les personnages les uns par rapport aux autres, et on a du mal à s'identifier à eux, à rentrer dans leur histoire. Du coup, on est moins concerné par leurs histoires. D'ailleurs, il y a trop d'histoires qui s'entremèlent, des histoires périphériques mais pas une vraie histoire centrale. Du coup, le film est bancal, il lui manque un axe, un fil conducteur digne de ce nom. Par contre, l'interprétation est très bonne, et la mise en scène soignée, malgré la difficulté du film choral. Quelques trouvailles au niveau du scénario ou des dialogues, des réflexions profondes mais pas assez mises en valeur. Sinon, le film se situe trop souvent en-dessous de la ceinture. Pas très fin par moments. Dommage.
Enervant, sans intérêt... malgré une distribution splendide, j'ai été très déçue par cette histoire fade d'une famille de nantis qui passe ses vacances à se regarder le nombril.
Un film agréable, sympa, jamais ennuyeux, mais qui n'arrive pas à convaincre totalement. Cela est peut être du a la mise en scène d'Elie Chouraqui, sympathique mais sans relief. Dommage, car les personnages avaient beaucoup d'étoffe et n'était pas totalement dénué de charme. De plus, tous les acteurs sont sans exception impeccables. Gérard Lavin est d'ailleurs etonné dans un rôle d'une certaine sensibilité. Très honorable, mais on pouvait s'attendre à un peu mieux donc.
Pas beaucoup d'intérét à ce film ou l'on voit une famille de la petite bourgeoisie parisienne passer les fetes de fin d'année au ski et, les pauvres vieux, ils rencontrent plein de problémes...de famille justement !!! A voir seulement pour les fans de J-H Anglade qui fait tout de meme un grand numero d'acteur...
Une chronique familiale douce-amère avec des couples qui se déchirent et se retrouvent le temps de vacances à Chamonix. Alors même si le film n'est pas complètement abouti, il n'en reste pas moins plutôt sympa et rarement ennuyeux grâce à la présence d'un casting de ouf, Marie Trintignant en tête.
C'est l'histoire d'une bande de bobos parisiens. Ils partent tous ensemble à la montagne pour les vacances de neige. Ils louent un chalet familiale. Après ils n'arrêtent pas de manger. Ils skient, mais dans le brouillard. Après il y a des effets d'annonces et des crises existentielles. Fatiguant.
Les Marmottes est l’exemple type de ce qui peut le plus agacer dans le cinéma français. En effet, Elie Chouraqui livre une réalisation sans imagination à la photographie très fade pour illustrer les histoires de cœur et les états d’âme d’une bande de bourgeois parisiens. Ainsi, un brillant casting ne sauve jamais un scénario inintéressant (pourtant coécrit par une Danièle Thompson très loin des chefs-d’œuvre auxquels elle avait contribué pour son père). Les Marmottes auraient mieux fait de rester dans leurs terriers.