Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
La beauté du film tient à sa fragilité, à ses maladresses, à l’urgence de recueillir une parole avant qu’elle ne s’efface, à la volonté d’inscrire ce témoignage dans l’histoire collective et dans une lignée familiale. On n’oubliera pas les yeux de Maria, la force de ce regard où passe tout ce qui ne peut être dit.
Le Parisien
par La Rédaction
Le spectateur est happé par cette histoire à la fois sidérante et banale, et la personnalité, fière, volontaire, de Golda Maria, et sa voix encore teintée d’un accent de l’Est.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce documentaire à l’esthétique minimaliste est un témoignage sidérant, intime et universel, précieux, du sort réservé aux juifs avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Ce qui commence comme un film de famille acquiert une portée universelle, tant la précision narrative de cette femme sereine, à l’émotion contenue, atteint une force historique immédiate.
L'Obs
par Sophie Grassin
Dans ce portrait de famille amoureux, Golda Maria livre tout. Et, si elle le fait pour elle, elle le fait aussi pour nous.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Claire Bommelaer
Le film, un face-à-face subtil entre un petit-fils et sa grand-mère, lui donne raison. En se faisant passeur de l’histoire de Golda, Patrick Sobelman contribue à l’écriture de son histoire familiale, mais aussi à celle d’une époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Dans un documentaire bouleversant, le producteur Patrick Sobelman, épaulé par son fils Hugo, donne à voir et à entendre le témoignage de sa grand-mère qui a connu l'horreur de la déportation. Une œuvre de mémoire essentielle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Nous sommes, comme dans la vraie vie, assis dans le salon d’une vieille dame qui aurait pu être notre grand-mère et qui nous raconte des moments de sa vie passée, et ils sont saisissants.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Ce que Golda Maria raconte est à la fois déjà généralement connu – le destin d’une femme née juive en Pologne en 1910 – et évidemment singulier, précieux, incarné ici par la force de la voix qui raconte, par la précision de certaines scènes remémorées et par l’intimité de la relation qui la lie avec celui qui la filme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce témoignage intime et essentiel est aujourd’hui devenu un film à découvrir d’urgence.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Un film d'une puissance inouïe.
Positif
par Vincent Thabourey
[On s'ouvre] à l’écoute de ce verbe élégant, précis, indispensable.
La Croix
par Céline Rouden
Avec pudeur et lucidité, Golda, rebaptisée « Maria », raconte la difficulté du retour, l’impossibilité de raconter, puis la vie qui reprend grâce à l’amour des siens et la naissance d’un nouvel enfant. À ses côtés, image furtive, apparaît à la toute fin du film son mari, témoin muet et aimant de cette tragédie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Cet effroyable témoignage, tourné en vidéo de piètre qualité, prend la forme d'un documentaire universel enrichi d'archives saisissantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
La sobriété du dispositif vaut vaut comme l'écrin approprié, et la plus fine des écoutes.
Première
par Thierry Chèze
La parole limpide de Golda Maria y transcende la forme aride (des confidences face caméra, avec la qualité dégradée des VHS de l’époque) de l’exercice.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
La beauté du film tient à sa fragilité, à ses maladresses, à l’urgence de recueillir une parole avant qu’elle ne s’efface, à la volonté d’inscrire ce témoignage dans l’histoire collective et dans une lignée familiale. On n’oubliera pas les yeux de Maria, la force de ce regard où passe tout ce qui ne peut être dit.
Le Parisien
Le spectateur est happé par cette histoire à la fois sidérante et banale, et la personnalité, fière, volontaire, de Golda Maria, et sa voix encore teintée d’un accent de l’Est.
Les Fiches du Cinéma
Ce documentaire à l’esthétique minimaliste est un témoignage sidérant, intime et universel, précieux, du sort réservé aux juifs avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.
Cahiers du Cinéma
Ce qui commence comme un film de famille acquiert une portée universelle, tant la précision narrative de cette femme sereine, à l’émotion contenue, atteint une force historique immédiate.
L'Obs
Dans ce portrait de famille amoureux, Golda Maria livre tout. Et, si elle le fait pour elle, elle le fait aussi pour nous.
Le Figaro
Le film, un face-à-face subtil entre un petit-fils et sa grand-mère, lui donne raison. En se faisant passeur de l’histoire de Golda, Patrick Sobelman contribue à l’écriture de son histoire familiale, mais aussi à celle d’une époque.
Les Echos
Dans un documentaire bouleversant, le producteur Patrick Sobelman, épaulé par son fils Hugo, donne à voir et à entendre le témoignage de sa grand-mère qui a connu l'horreur de la déportation. Une œuvre de mémoire essentielle.
Les Inrockuptibles
Nous sommes, comme dans la vraie vie, assis dans le salon d’une vieille dame qui aurait pu être notre grand-mère et qui nous raconte des moments de sa vie passée, et ils sont saisissants.
Libération
Ce que Golda Maria raconte est à la fois déjà généralement connu – le destin d’une femme née juive en Pologne en 1910 – et évidemment singulier, précieux, incarné ici par la force de la voix qui raconte, par la précision de certaines scènes remémorées et par l’intimité de la relation qui la lie avec celui qui la filme.
Marianne
Ce témoignage intime et essentiel est aujourd’hui devenu un film à découvrir d’urgence.
Ouest France
Un film d'une puissance inouïe.
Positif
[On s'ouvre] à l’écoute de ce verbe élégant, précis, indispensable.
La Croix
Avec pudeur et lucidité, Golda, rebaptisée « Maria », raconte la difficulté du retour, l’impossibilité de raconter, puis la vie qui reprend grâce à l’amour des siens et la naissance d’un nouvel enfant. À ses côtés, image furtive, apparaît à la toute fin du film son mari, témoin muet et aimant de cette tragédie.
Le Journal du Dimanche
Cet effroyable témoignage, tourné en vidéo de piètre qualité, prend la forme d'un documentaire universel enrichi d'archives saisissantes.
Le Monde
La sobriété du dispositif vaut vaut comme l'écrin approprié, et la plus fine des écoutes.
Première
La parole limpide de Golda Maria y transcende la forme aride (des confidences face caméra, avec la qualité dégradée des VHS de l’époque) de l’exercice.