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RedArrow
Dans un futur proche, David Carmichael, un ex-flic devenu détective privé, est chargé de retrouver Melissa Veidt, la fille du dirigeant d'une société ayant fait fortune dans la fabrication d'androïdes. David est envoyé dans la Zone 414, un lieu unique sur Terre où de riches clients peuvent assouvir leurs fantasmes en interagissant avec les créatures robotiques de l'entreprise. Pour l'aider dans son enquête, il fait la connaissance de Jane, un androïde menacé et assailli d'émotions humaines, qui l'introduit dans les bas-fonds peu reluisants de la Zone 414...
Énième Petit Poucet de SF s'aventurant dans l'ombre de l'ogre "Blade Runner", ce premier long-métrage d'Andrew Baird est typiquement le genre de projet dont on se questionne sur la pertinence tant il est dans une forme de redite permanente des thèmes les plus éculés de cette approche une fois plus néo-noire du genre. "Zone 414" est en effet dans une posture de mimétisme assez sidérante des codes du film de Ridley Scott, que ce soit au travers d'une esthétique forcément bien moins impressionnante compte tenu des limites de son budget, de ses personnages s'inscrivant dans des standards qui n'ont plus grand chose d'inédit à offrir ou d'interrogations pessimistes sur la nature humaine qui tournent dangereusement en rond.
Et pourtant, en tant que telle, la proposition d'Andrew Baird tient la route : la noirceur de son univers est malgré tout crédible, les défaillances de ses protagonistes qui se construisent perpétuellement dans l'ombre de celles d'autrui jusque dans la résolution de l'enquête aboutissent sur une intrigue cohérente (même si cette redondance d'écriture, l'ambiance dépressive et la lenteur de l'ensemble peuvent finir par lasser), les acteurs s'en sortent bien (surtout Matilda Lutz, excellente en androïde gagné par une soudaine fragilité), les thématiques SF ont bien sûr du sens pour montrer que la vraie humanité n'est plus forcément du côté des Hommes dans un monde où les androïdes sont devenues les exutoires jetables de leurs souffrances ou déviances... "Zone 414" n'est pas un si mauvais film dans le fond, il ne fait juste que régurgiter des choses que l'on connaît déjà dans une variante beaucoup plus oubliable que les modèles du genre qui les ont imposées.
À l'instar de la comparaison d'un personnage, "Zone 414" fait office d'un David ayant la prétention de s'attaquer aux Goliath de sa catégorie SF alors qu'il semble avoir oublié sa fronde remplie d'originalité à la maison. Autant dire que le combat est perdu d'avance...
Énième Petit Poucet de SF s'aventurant dans l'ombre de l'ogre "Blade Runner", ce premier long-métrage d'Andrew Baird est typiquement le genre de projet dont on se questionne sur la pertinence tant il est dans une forme de redite permanente des thèmes les plus éculés de cette approche une fois plus néo-noire du genre. "Zone 414" est en effet dans une posture de mimétisme assez sidérante des codes du film de Ridley Scott, que ce soit au travers d'une esthétique forcément bien moins impressionnante compte tenu des limites de son budget, de ses personnages s'inscrivant dans des standards qui n'ont plus grand chose d'inédit à offrir ou d'interrogations pessimistes sur la nature humaine qui tournent dangereusement en rond.
Et pourtant, en tant que telle, la proposition d'Andrew Baird tient la route : la noirceur de son univers est malgré tout crédible, les défaillances de ses protagonistes qui se construisent perpétuellement dans l'ombre de celles d'autrui jusque dans la résolution de l'enquête aboutissent sur une intrigue cohérente (même si cette redondance d'écriture, l'ambiance dépressive et la lenteur de l'ensemble peuvent finir par lasser), les acteurs s'en sortent bien (surtout Matilda Lutz, excellente en androïde gagné par une soudaine fragilité), les thématiques SF ont bien sûr du sens pour montrer que la vraie humanité n'est plus forcément du côté des Hommes dans un monde où les androïdes sont devenues les exutoires jetables de leurs souffrances ou déviances... "Zone 414" n'est pas un si mauvais film dans le fond, il ne fait juste que régurgiter des choses que l'on connaît déjà dans une variante beaucoup plus oubliable que les modèles du genre qui les ont imposées.
À l'instar de la comparaison d'un personnage, "Zone 414" fait office d'un David ayant la prétention de s'attaquer aux Goliath de sa catégorie SF alors qu'il semble avoir oublié sa fronde remplie d'originalité à la maison. Autant dire que le combat est perdu d'avance...
N'est pas Blade Runner qui veut. Bien que fortement inspiré de ce dernier, Zone 414 n'arrive malheureusement jamais a aller au bout de ses idées et encore moins a convaincre. Le casting était pourtant intéressant...
Non dénué d'intérêt et même avec quelques éléments de scénario inattendus. Cela reste une série B évitable mais pas désagréable pour passer le temps.
Objectivons
Un film de science-fiction avec sans doute peu de moyens, mais cela ne lui porte pas vraiment préjudice car le thème et l'action n'en nécessitaient pas. C'est son ambiance sombre et pesante, avec un rythme parfois trop lent, qui font sa spécificité, plus que le scénario et le concept de robot qui s'humanise, déjà vu.
A noter que David Carmichael possède la voix française d'Aaron Hotchner, de la série Esprits criminels - ce qui n'arrange pas le côté renfermé du personnage - et Marlon Veidt celle de Danny McCoy, de la série Las Vegas.
A noter que David Carmichael possède la voix française d'Aaron Hotchner, de la série Esprits criminels - ce qui n'arrange pas le côté renfermé du personnage - et Marlon Veidt celle de Danny McCoy, de la série Las Vegas.
Avec la meilleure volonté, et appréciant la science-fiction, force est de constater que c'est vraiment mauvais. On ne dira pas ici ce qui se passe dans la fameuse zone 414, mais c'est un empilement de clichés de science-fiction de mauvais goût. Aussi, on s'ennuie prodigieusement très vite.
A voir intrigant dérangeant j'ai découvert avec beaucoup d'envie d'aller jusqu'à la fin où on retrouve cette fusion entre l'homme et le robot... Bien sur Blade Runner mais autre chose dans l'horreur inattendu... A revoir...
FaRem
Se déroulant dans un futur proche, "Zone 414" suit l'enquête de David Carmichael, un ancien policier devenu détective privé, chargé de retrouver une fille disparue. La zone en question est l'endroit où les humains peuvent côtoyer les androïdes pour se divertir ou autre. Pour sa mission, il est aidé par Jane, le dernier robot à la mode qui pourrait tromper n'importe quelle personne avec son apparence. Andrew Baird nous plonge donc dans un univers sombre et futuriste qui fait évidemment penser à celui de "Blade Runner", mais ce "Zone 414" est quand même beaucoup moins inspiré. L'histoire n'a pas la même profondeur et est cousue de fil blanc. L'enquête en question n'a quand même pas beaucoup d'intérêt et manque cruellement de suspens. Pour le coup, il n'y a pas que certains personnages qui manquent d'âme, c'est tout le film. L'ambiance n'est pas mauvaise, c'est visuellement plutôt correct, mais l'histoire n'est vraiment pas terrible et surtout jamais passionnante. En somme, autant voir l'original que la copie.
"Blade Runner" en a fait des petits et ce "Zone 414" ne se prive pas de recycler l'univers tant visuel que scénaristique de son aîné. Pourtant, on est loin de l'excellence des films de Ridley Scott et de Denis Villeneuve. Ce petit métrage de SF reste du domaine de l'anecdotique car trop pauvre au niveau de la réalisation et de l'intrigue. Rien n'est totalement abouti sans tomber non plus dans le gros navet. C'est juste qu'il manque à "Zone 414" une âme, une ambiance, du suspens et de la profondeur.
Un film banal qui n'apporte rien, on le regarde en attendant un truc, qui n'arrive jamais. Il manque cruellement de profondeur.
Dik ap Prale
On franchit des portes durant 90', tel un mauvais rêve dans lequel on se balade sans y avoir été invité. Mais avant de se réveiller, je vous spoile....Guy Pearce, qui marche devant vous se retourne et dit... On s'est bien fait ch...? Dans cette enquête, qui sent le petit budget mais le goût de bien faire (quelques effets plastiques pour donner vie à ces droïdes et une interprétation convaincante), on refuse la redite et s'est bien évident.
Frédéric M.
Le film est plutot plat. Pas beaucoup d'actions, acteurs qui n'y croient pas trop (pourtant j'adore Guy Pearce). Ambiance à la Blade Runner, quelques effets spéciaux soignés. On s'ennuie malgré tout à cause d'une intrigue plus paresseuse. Vite vue vite oublié
Ils se passe rien pendant TOUT le film !!!
D'inspiration Blade Runner mais sans aucuns budget !!!! Il n'y a quasi aucun FX dans ce film... a peine une petite vue exterieure de la ville futuriste et qq fils dans le bras de l'androide !!!.... Mais ca s'arrete la. ( meme les protagonistes s'appelle sur un telephone fils a fils a cadran rotatif ( celui de nos grands meres) , super le futur !!! )
Quel ennuie.... Meme l'histoire est inintéressante..
D'inspiration Blade Runner mais sans aucuns budget !!!! Il n'y a quasi aucun FX dans ce film... a peine une petite vue exterieure de la ville futuriste et qq fils dans le bras de l'androide !!!.... Mais ca s'arrete la. ( meme les protagonistes s'appelle sur un telephone fils a fils a cadran rotatif ( celui de nos grands meres) , super le futur !!! )
Quel ennuie.... Meme l'histoire est inintéressante..
Difficile de ne pas voir le pompage sur Blade Runner, des l introduction c est frappant dans les plans ... certes c est inspiré de ... mais cela vaut quoi ? Et bien c est évidemment pauvre en effets spéciaux et décors donc du côté immersion on n y arrive pas. Quand au scénario et à la réalisation ? La non plus peu d espoirs le jeu est limite et le scénario très convenu. Passez votre chemin à moins de n avoir pas grand chose à voir
Dans un univers parallèle quelqu'un a pris cette même histoire et ces mêmes acteurs et a fait un bon film. Mais pas dans cet univers Pearce à 53 ans et il était toujours un acteur principal fiable mais plus après ce film. Voici le scénario Jane une androïde esclave a très peur qu'un tueur psychopathe la prenne pour cible dans une zone 414 hautement sécurisée. Nous voyons qu'il est impossible d'attraper le tueur car même David l'ex-flic est facilement mis à terre car le tueur possède des capacités de camouflage ainsi que des capacités de manœuvre surhumaines et rapides comme l'éclair. Il s'avère qu'à la fin du film pour une raison inconnue du public le tueur est soudainement sans défense a maîtrisé et battu à mort par Jane l'esclave tandis que David le héros se précipite sur les lieux pour la sauver ou est-ce en fait l'inverse et c'est l'une des plus grandes fins de film anti-climatiques. Qui a écrit le scénario peut-être que cette personne devrait être envoyée en Zone 414...
Pour commencer un bon casting, une ambiance entre blade runner, et un scénario à la Cyberpunk donc beaucoup de dialogue et d'enquête. Ce qui montre un bon jeu d'acteur. Surtout Guy Pearce que je n'avais pas vu depuis L.A Confidential.
En revanche je n'ai rien compris de la fin, du moins le dénouement. Alors que j'étais accroché au film. Je le regarderai certainement une fois de plus.
En revanche je n'ai rien compris de la fin, du moins le dénouement. Alors que j'étais accroché au film. Je le regarderai certainement une fois de plus.
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