Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Avec Les Herbes sèches, Nuri Bilge Ceylan prouve ainsi une fois encore qu’il est un grand cinéaste des affres et de l’intériorité humaines.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Un Ceylan grand et triste comme une vie gâchée.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Neuvième long métrage de Nuri Bilge Ceylan, "Les Herbes sèches" achève en apothéose un cycle de trois films consacrés à trois âges de la vie d'intellectuels condamnés à attendre un sursaut du destin dans des régions reculées de Turquie.
Transfuge
par Frédéric Mercier
A la croisée de l’infime et du grandiose, du pathétique et de l’infini, "Les Herbes sèches" est un film immense.
Télérama
par Louis Guichard
Une fresque sensible et littéraire, tchékhovienne en diable, sur le temps qui passe et les sentiments qui renaissent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Le grand talent du cinéaste turc, maintes fois primé à Cannes, est de rendre cette rencontre non seulement possible, mais espérée, comme l’aboutissement d’un flirt qui sonne un peu faux, car joué à contretemps. Mais qui aura au moins eu le mérite de faire éclore entre eux un soupçon de désir dans les froids paysages enneigés de l’Anatolie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Après Le Poirier sauvage, Les Herbes sèches vient confirmer une évolution de la mise en scène de Nuri Bilge Ceylan, qui a gagné en élasticité formelle et de ton.
Critikat.com
par Corentin Lê
La mise en scène de Ceylan fait preuve d’une élasticité remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Des discussions sans fin qui sont autant de batailles occupent cet hiver interminable, sans que jamais rien ne paraisse bavard, par la grâce d’une écriture fine et d’une mise en scène fluide.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film à la fois très sombre sur l’humanité et d'une beauté époustouflante.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
"Les Herbes sèches" est un (grand) film sur l’engagement, l’indifférence et l’utopie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Plongée dans une région de la Turquie où règne pauvreté morale et matérielle, méditation sur le bien, le mal et ces aléas de la vie qui abîment nos âmes incertaines, « les Herbes sèches » confirme que Nuri Bilge Ceylan reste bien le portraitiste hors pair de la condition humaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Palme d’or en 2014 pour Winter Sleep, le réalisateur turc signe un film mélancolique et captivant sur les états d’âme d’un enseignant nommé dans un village d’Anatolie orientale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le Turc Nuri Bilge Ceylan ausculte une communauté isolée et signe un précis quasi philosophique âpre mais à la densité vertigineuse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Comme il l’a déjà souvent fait, Nuri Bilge Ceylan s’attelle avec Les Herbes sèches à filmer l’inexorable mouvement des élans et des chutes, dans une confrontation implacable qui met en scène les rapports de l’individu avec lui-même.
Le Figaro
par Etienne Sorin
C'est un jeu cruel et mélancolique. Ceylan l'orchestre avec une lucidité terrible et superbe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur turc d'« Il était une fois en Anatolie » et de « Winter Sleep » continue de creuser son sillon entre beauté et cruauté. Malgré quelques préciosités, son nouveau film frôle le sublime.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Même si Nuri Bilge Ceylan, moins inspiré que dans ses fictions antérieures, s’égare parfois dans les méandres de son récit, il signe néanmoins avec Les herbes sèches une œuvre fascinante de 3 h 19 sur les illusions perdues de protagonistes en sévère crise de foi existentielle.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Cheze
Une fresque magistrale.
Paris Match
par Yannick Vely
Le geste de Nuri Bilge Ceylan est tellement affirmé, son trait si sûr, que l’on ne peut être qu’admiratif de la manière dont il nous embarque dans le quotidien morose et enneigé de Samet, antihéros formidablement antipathique de son nouveau long métrage.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Ceylan, à l’instar des grands auteurs – Dostoïevski en littérature, Bergman au cinéma –, expérimente avec gravité l’humain, le conditionne pour le révéler à lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une méditation profonde et splendide sur l'engagement et la solitude.
Télé 2 semaines
par S.O.
Filmés avec une grâce égale, les paysages enneigés d'Anatolie et les intérieurs où les langues se délient composent trois heures d'un film dont pas une minute n'est de trop, et qui éveille des sentiments profonds et universels.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre majeure de la compétition cannoise, portée par un comédien au sommet de son art : Deniz Celiloğlu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un film porteur d’un malaise grandissant, qui certes nous échappe longtemps, mais nourrit pleinement notre curiosité de spectateur.
Le Monde
par Ma. Mt.
Découvert en compétition à Cannes, ce film se présente comme un imposant massif de fiction de plus de trois heures, mettant aux prises une poignée de personnages amers, dans les solitudes rurales d’une Anatolie calfeutrée sous les neiges hiémales, le tout faisant craindre d’emblée un pensum. Pourtant, c’est tout autre chose, de plus conflictuel, de plus indémêlable, qui se produit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
"Les Herbes sèches" a beau s’avancer de fait comme un redoutable bloc temporel, narrant patiemment le retour puis le départ de son protagoniste dans un village reculé et enneigé de Turquie, le cœur du film emprunte une autre voie pour briser l’orfèvrerie de sa façade et dévoiler son noyau fragile et les contours d’un cinéma beaucoup plus nébuleux qu’il pourrait ne le laisser présager.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Dans son dernier film sur un prof désabusé dans la campagne anatolienne, le Turc poursuit son travail de moraliste penché sur les bassesses humaines. Méticuleux mais austère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
par La Rédaction
L’image est belle, le propos sur la noirceur de l’âme humaine touchera certains spectateurs… À condition d’avoir envie de passer 3h17 avec ce personnage antipathique et tordu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bande à part
Avec Les Herbes sèches, Nuri Bilge Ceylan prouve ainsi une fois encore qu’il est un grand cinéaste des affres et de l’intériorité humaines.
Les Fiches du Cinéma
Un Ceylan grand et triste comme une vie gâchée.
Positif
Neuvième long métrage de Nuri Bilge Ceylan, "Les Herbes sèches" achève en apothéose un cycle de trois films consacrés à trois âges de la vie d'intellectuels condamnés à attendre un sursaut du destin dans des régions reculées de Turquie.
Transfuge
A la croisée de l’infime et du grandiose, du pathétique et de l’infini, "Les Herbes sèches" est un film immense.
Télérama
Une fresque sensible et littéraire, tchékhovienne en diable, sur le temps qui passe et les sentiments qui renaissent.
20 Minutes
Le grand talent du cinéaste turc, maintes fois primé à Cannes, est de rendre cette rencontre non seulement possible, mais espérée, comme l’aboutissement d’un flirt qui sonne un peu faux, car joué à contretemps. Mais qui aura au moins eu le mérite de faire éclore entre eux un soupçon de désir dans les froids paysages enneigés de l’Anatolie.
Cahiers du Cinéma
Après Le Poirier sauvage, Les Herbes sèches vient confirmer une évolution de la mise en scène de Nuri Bilge Ceylan, qui a gagné en élasticité formelle et de ton.
Critikat.com
La mise en scène de Ceylan fait preuve d’une élasticité remarquable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Des discussions sans fin qui sont autant de batailles occupent cet hiver interminable, sans que jamais rien ne paraisse bavard, par la grâce d’une écriture fine et d’une mise en scène fluide.
Elle
Un film à la fois très sombre sur l’humanité et d'une beauté époustouflante.
Franceinfo Culture
"Les Herbes sèches" est un (grand) film sur l’engagement, l’indifférence et l’utopie.
L'Obs
Plongée dans une région de la Turquie où règne pauvreté morale et matérielle, méditation sur le bien, le mal et ces aléas de la vie qui abîment nos âmes incertaines, « les Herbes sèches » confirme que Nuri Bilge Ceylan reste bien le portraitiste hors pair de la condition humaine.
La Croix
Palme d’or en 2014 pour Winter Sleep, le réalisateur turc signe un film mélancolique et captivant sur les états d’âme d’un enseignant nommé dans un village d’Anatolie orientale.
La Voix du Nord
Le Turc Nuri Bilge Ceylan ausculte une communauté isolée et signe un précis quasi philosophique âpre mais à la densité vertigineuse.
Le Dauphiné Libéré
Comme il l’a déjà souvent fait, Nuri Bilge Ceylan s’attelle avec Les Herbes sèches à filmer l’inexorable mouvement des élans et des chutes, dans une confrontation implacable qui met en scène les rapports de l’individu avec lui-même.
Le Figaro
C'est un jeu cruel et mélancolique. Ceylan l'orchestre avec une lucidité terrible et superbe.
Les Echos
Le réalisateur turc d'« Il était une fois en Anatolie » et de « Winter Sleep » continue de creuser son sillon entre beauté et cruauté. Malgré quelques préciosités, son nouveau film frôle le sublime.
Marianne
Même si Nuri Bilge Ceylan, moins inspiré que dans ses fictions antérieures, s’égare parfois dans les méandres de son récit, il signe néanmoins avec Les herbes sèches une œuvre fascinante de 3 h 19 sur les illusions perdues de protagonistes en sévère crise de foi existentielle.
Ouest France
Une fresque magistrale.
Paris Match
Le geste de Nuri Bilge Ceylan est tellement affirmé, son trait si sûr, que l’on ne peut être qu’admiratif de la manière dont il nous embarque dans le quotidien morose et enneigé de Samet, antihéros formidablement antipathique de son nouveau long métrage.
Première
Ceylan, à l’instar des grands auteurs – Dostoïevski en littérature, Bergman au cinéma –, expérimente avec gravité l’humain, le conditionne pour le révéler à lui-même.
Sud Ouest
Une méditation profonde et splendide sur l'engagement et la solitude.
Télé 2 semaines
Filmés avec une grâce égale, les paysages enneigés d'Anatolie et les intérieurs où les langues se délient composent trois heures d'un film dont pas une minute n'est de trop, et qui éveille des sentiments profonds et universels.
aVoir-aLire.com
Une œuvre majeure de la compétition cannoise, portée par un comédien au sommet de son art : Deniz Celiloğlu.
La Septième Obsession
Un film porteur d’un malaise grandissant, qui certes nous échappe longtemps, mais nourrit pleinement notre curiosité de spectateur.
Le Monde
Découvert en compétition à Cannes, ce film se présente comme un imposant massif de fiction de plus de trois heures, mettant aux prises une poignée de personnages amers, dans les solitudes rurales d’une Anatolie calfeutrée sous les neiges hiémales, le tout faisant craindre d’emblée un pensum. Pourtant, c’est tout autre chose, de plus conflictuel, de plus indémêlable, qui se produit.
Les Inrockuptibles
"Les Herbes sèches" a beau s’avancer de fait comme un redoutable bloc temporel, narrant patiemment le retour puis le départ de son protagoniste dans un village reculé et enneigé de Turquie, le cœur du film emprunte une autre voie pour briser l’orfèvrerie de sa façade et dévoiler son noyau fragile et les contours d’un cinéma beaucoup plus nébuleux qu’il pourrait ne le laisser présager.
Libération
Dans son dernier film sur un prof désabusé dans la campagne anatolienne, le Turc poursuit son travail de moraliste penché sur les bassesses humaines. Méticuleux mais austère.
Le Parisien
L’image est belle, le propos sur la noirceur de l’âme humaine touchera certains spectateurs… À condition d’avoir envie de passer 3h17 avec ce personnage antipathique et tordu.