Les Travaux et les Jours - Partie 1 : Critique presse
Les Travaux et les Jours - Partie 1
Note moyenne
4,4
11 titres de presse
Cahiers du Cinéma
L'Humanité
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Libération
L'Obs
Ouest France
Positif
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le geste des cinéastes en est d’autant moins autoritaire : le spectateur, tout en restant étranger à ce milieu, y est accueilli par une écriture qui se refuse à créer des enjeux artificiels, mais enjoint plutôt à partager l’atmosphère et le rythme imprimés par un environnement et une culture.
L'Humanité
par Maty Ndiaye
Anders Edström et C.W. Winter signent leur deuxième film en commun après The Anchorage en 2009. Leur intérêt commun pour la photographie, mais aussi pour la banalité et la lenteur, trouve dans ce véritable bijou visuel la matière d’une ode à une nature métaphysique qui laisse une forte impression.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Clarisse Fabre
La beauté du film de l’Américain C. W. Winter et du Suédois Anders Edström, Les Travaux et les Jours, s’offre à qui veut prendre le temps de la recevoir : voici huit heures de cinéma, comme une journée de travail ou un cycle de vie, avec ses rituels – cultiver la terre, entretenir les tombes, parler aux défunts et boire des verres, jusqu’au bout de la nuit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Entre documentaire et fiction, ce film-fleuve entend revisiter les codes de l’œuvre naturaliste. Le résultat ? Une célébration de la vie, comme on l’a rarement vue au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
En huit heures et cinq chapitres, C.W. Winter et Anders Edström explore les cycles naturels de la vie paysanne au Japon. Une expérience immersive inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
Une expérience bouleversante qui mêle fiction et réalité où transperce la permanence des choses mais aussi de leur finitude.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La composition du cadre, la manière d’y inscrire les corps, les rituels de vie et la mécanique forcenée du travail conditionnent le regard du spectateur qui ressent l’épuisement de l’héroïne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par La Rédaction
La grâce à l'état brut.
Positif
par Eithne O’Neill
Suivant cinq saisons, trois épisodes sans exposition, sans drame apparent, composent cette œuvre scandée d’entractes, des passages à blanc qui font partie intégrante d’une expérience filmique originale.
Première
par Thomas Baurez
Chaque élément respire le sensible. L’espace où tout se joue est minuscule, il contient pourtant tout l’univers. Face à tant de grâce, on prend définitivement conscience à quel point le cinéma et la salle de projection manquent à nos vies.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Ekchajzer
Si sa vision exige du spectateur qu’il accepte cette expérience particulière de la durée, chacun s’étonnera, une fois installé devant ce film-fleuve, de respirer au rythme de l’existence de cette femme et de ceux qui l’entourent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Le geste des cinéastes en est d’autant moins autoritaire : le spectateur, tout en restant étranger à ce milieu, y est accueilli par une écriture qui se refuse à créer des enjeux artificiels, mais enjoint plutôt à partager l’atmosphère et le rythme imprimés par un environnement et une culture.
L'Humanité
Anders Edström et C.W. Winter signent leur deuxième film en commun après The Anchorage en 2009. Leur intérêt commun pour la photographie, mais aussi pour la banalité et la lenteur, trouve dans ce véritable bijou visuel la matière d’une ode à une nature métaphysique qui laisse une forte impression.
Le Monde
La beauté du film de l’Américain C. W. Winter et du Suédois Anders Edström, Les Travaux et les Jours, s’offre à qui veut prendre le temps de la recevoir : voici huit heures de cinéma, comme une journée de travail ou un cycle de vie, avec ses rituels – cultiver la terre, entretenir les tombes, parler aux défunts et boire des verres, jusqu’au bout de la nuit.
Les Fiches du Cinéma
Entre documentaire et fiction, ce film-fleuve entend revisiter les codes de l’œuvre naturaliste. Le résultat ? Une célébration de la vie, comme on l’a rarement vue au cinéma.
Les Inrockuptibles
En huit heures et cinq chapitres, C.W. Winter et Anders Edström explore les cycles naturels de la vie paysanne au Japon. Une expérience immersive inoubliable.
Libération
Une expérience bouleversante qui mêle fiction et réalité où transperce la permanence des choses mais aussi de leur finitude.
L'Obs
La composition du cadre, la manière d’y inscrire les corps, les rituels de vie et la mécanique forcenée du travail conditionnent le regard du spectateur qui ressent l’épuisement de l’héroïne.
Ouest France
La grâce à l'état brut.
Positif
Suivant cinq saisons, trois épisodes sans exposition, sans drame apparent, composent cette œuvre scandée d’entractes, des passages à blanc qui font partie intégrante d’une expérience filmique originale.
Première
Chaque élément respire le sensible. L’espace où tout se joue est minuscule, il contient pourtant tout l’univers. Face à tant de grâce, on prend définitivement conscience à quel point le cinéma et la salle de projection manquent à nos vies.
Télérama
Si sa vision exige du spectateur qu’il accepte cette expérience particulière de la durée, chacun s’étonnera, une fois installé devant ce film-fleuve, de respirer au rythme de l’existence de cette femme et de ceux qui l’entourent.