Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Georgis Grigorakis signe un premier film impressionnant de maîtrise, d’une grande justesse dans sa description d’une réalité sociale complexe. Il se révèle également d’une grande beauté et témoigne de la naissance d’un cinéaste paysagiste, dont le style rappelle celui de Jeff Nichols.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au-delà du schéma relativement classique du solitaire taiseux qui lutte contre l’emprise du monde industriel, les atouts de ce film hivernal sont son atmosphère (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Images soigneusement cadrées, belle lumière, love story un peu effacée, cette fable écolo est sous-tendue par une conviction évidente. C’est beau, c’est fort, mais le réalisateur a du mal à boucler son récit. Dommage, il y a là un début très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le premier film de Georgis Grigorakis séduit autant par son esthétique que par sa sensibilité.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre western et mythes grecs, un récit pénétrant sur le lien familial et avec la nature.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Le film n’est pas toujours grave, il réserve quelques notes d’humour sarcastique et de belles échappées. Comme cette nuit d’ivresse dans le café communautaire du coin. Ou ces traversées de la forêt profonde, personnage à part entière, brumeux, boueux, dangereux ou protecteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière cette lutte acharnée entre un père et son fils, Digger raconte les limites d’un capitalisme effréné, leurs conséquences humaines et écologiques. Un film salutaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sous les oripeaux de la tragédie d'un père et d'un fils ne partageant rien, ce premier film tricote une fable écologique qui vaut pour son climat sombre, théâtral, sylvestre et automnal.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
On se met donc vite à attendre la fin du récit avec impatience qui le rend interminable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Georgis Grigorakis signe un premier film impressionnant de maîtrise, d’une grande justesse dans sa description d’une réalité sociale complexe. Il se révèle également d’une grande beauté et témoigne de la naissance d’un cinéaste paysagiste, dont le style rappelle celui de Jeff Nichols.
L'Humanité
Au-delà du schéma relativement classique du solitaire taiseux qui lutte contre l’emprise du monde industriel, les atouts de ce film hivernal sont son atmosphère (...).
L'Obs
Images soigneusement cadrées, belle lumière, love story un peu effacée, cette fable écolo est sous-tendue par une conviction évidente. C’est beau, c’est fort, mais le réalisateur a du mal à boucler son récit. Dommage, il y a là un début très prometteur.
Le Monde
Le premier film de Georgis Grigorakis séduit autant par son esthétique que par sa sensibilité.
Les Fiches du Cinéma
Entre western et mythes grecs, un récit pénétrant sur le lien familial et avec la nature.
Télérama
Le film n’est pas toujours grave, il réserve quelques notes d’humour sarcastique et de belles échappées. Comme cette nuit d’ivresse dans le café communautaire du coin. Ou ces traversées de la forêt profonde, personnage à part entière, brumeux, boueux, dangereux ou protecteur.
aVoir-aLire.com
Derrière cette lutte acharnée entre un père et son fils, Digger raconte les limites d’un capitalisme effréné, leurs conséquences humaines et écologiques. Un film salutaire.
Le Journal du Dimanche
Sous les oripeaux de la tragédie d'un père et d'un fils ne partageant rien, ce premier film tricote une fable écologique qui vaut pour son climat sombre, théâtral, sylvestre et automnal.
Première
On se met donc vite à attendre la fin du récit avec impatience qui le rend interminable.