Mon compte
    Adieu Monsieur Haffmann
    Note moyenne
    3,9
    3814 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Adieu Monsieur Haffmann ?

    340 critiques spectateurs

    5
    51 critiques
    4
    155 critiques
    3
    88 critiques
    2
    33 critiques
    1
    10 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 060 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mars 2024
    Drame sobre et èmouvant, sans reconstitution d'èpoque, où tous les acteurs sont convaincants! En particulier Daniel Auteuil qui joue un bijoutier juif parisien au mains d'or! Et Sara Giraudeau, remarquable dans le rôle de l'èpouse Mercier dont le mari ne se comporte pas très bien sous l'Occupation allemande! Au dèbut, on n'a pourtant de l'empathie avec le personnage de Gilles Lellouche, on suit d'abord sa progression puis sa descente aux enfers! il est bien question d'adaptation d'un bestseller thèâtral ici, mais sous la forme d'un huis clos psychologique! Fred Cavayè garde finalement le point de dèpart d'une pièce rèputèe en allant dans une direction diffèrente, à savoir de quel degrè de noirceur l'âme humaine est-elle capable! C'est un peu simpliste et acadèmique, mais le tout est rattrapè par le jeu intense de Daniel Auteuil et Sara Giraudeau! A voir surtout pour eux...
    FaRem
    FaRem

    8 857 abonnés 9 664 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2022
    « Avant on n’avait rien et maintenant il veut tout. » Dans cette période dite de fous pendant l'occupation, les gens ont tendance à le devenir. Employé de Joseph Haffmann, un maitre joaillier, François Mercier aspire à fonder une famille avec sa femme. Lorsque les Allemands débarquent, il se voit proposer un marché qui va changer la vie de toutes les personnes impliquées. Dans ce qui va devenir un échange de services, chacun sacrifie une part de lui-même ou ce qu'il a de plus cher pour obtenir ce qu'il désire. Le problème est qu'un retour en arrière est de moins en moins probable... Si les trois rôles principaux sont assez équivalents, Fred Cavayé s'attarde surtout sur François, un homme normal touché dans son égo. Il veut être normal aux yeux des autres et pouvoir faire comme les autres. Ce sentiment d'infériorité va le pousser à trahir toutes ses valeurs soi-disant pour faire ce qui est juste. Adapté de la pièce de théâtre du même nom dans un style beaucoup moins théâtral malgré le peu de décors différents, "Adieu Monsieur Haffmann" est un bon film qui est solide en tout point avec notamment un très bon Gilles Lellouche.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 416 abonnés 7 565 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2022
    Paris 1941, l’occupation allemande bat son plein et les juifs doivent fuir la capitale. Au même moment, Joseph Haffmann, bijoutier à Paris, conclu un accord avec son employé François Mercier, celui de lui confier sa bijouterie le temps de son exil forcé. Sauf que cet accord ne sera pas sans conséquence, pour l’un comme pour l’autre…

    Adieu Monsieur Haffmann (2022) est une libre adaptation de la pièce de théâtre éponyme de Jean-Philippe Daguerre (couronnée par 4 Molières en 2018), qui nous renvoie en pleine France sous l’Occupation nazi. Avec ce film, Fred Cavayé change radicalement de registre, après s’être essayé au thriller, au polar et à la comédie, il s’essaye au film d’époque avec brio. L’immersion dans le Paris de la Seconde Guerre Mondiale s’avère certes assez restreinte (deux rues de Paris à Montmartre maquillées aux couleurs des années 40 avec des affiches de propagande et un appartement typique de l’époque), mais l’habillage est suffisamment efficace pour que l’on finisse par se prendre au jeu.

    Une sorte de huis clos étouffant qui nous entraîne dans les bassesses de l’âme humaine, où le héros, en plein ascenseur social, va mettre à jour son aigreur et son antisémitisme en sympathisant avec le diable. C’est avec surprise que l’on y découvre un Gilles Lellouche particulièrement saisissant, ce dernier campe admirablement ce lâche malsain et détestable au plus haut point, face à un Daniel Auteuil plus en retrait et une admirable Sara Giraudeau.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    selenie
    selenie

    6 387 abonnés 6 221 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    Le véritable atout du film réside dans son scénario, à la fois simple et logique, cohérent et terriblement humain car même en tant de guerre les hommes et les femmes ne continuent-ils pas à vivre, à espérer, à rêver, à aimer ?! Le drame humain, social et forcément historique est mis en place avec subtilité, sobriété, c'est touchant, voir émouvant mais on sent aussi le malaise qui est particulièrement palpable lorsque Blanche/Giraudeau, encore elle, réagit aussitôt arrivé dans l'ex-logement des Haffmann : "On dirait qu'on est des voleurs"... On imagine sans mal la gêne des uns et des autres dans un contexte inhabituel et si peu naturel dans l'ordre des choses où la différence de niveau social joue un rôle central. Mention au personnage jouée par Sara Giraudeau, qui est bel et bien le fil conducteur. On va surtout regretter un officier allemand merveilleusement incarné par le fils Kinski, très sous-exploité finalement. Néanmoins, on reste passionné par ce thriller historico-psychologique qui dresse un triangle humain riche de sentiments et d'émotions complexes. Un très bon moment à conseiller.
    Site : Selenie
    traversay1
    traversay1

    3 676 abonnés 4 888 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2022
    L'origine théâtrale d'Adieu Monsieur Haffmann se voit clairement tout au long de l'adaptation de Fred Cavayé mais ce n'est pas de ce huis-clos dont on se plaindra de prime abord, propice à quelques échanges attendus entre Haffmann le bijoutier juif, et Mercier, son employé devenu patron, en cette sinistre année 1941. Il y avait matière à espérer des dialogues nourris et subtils entre les deux protagonistes mais ce sont le plus souvent des silences qui peuplent leur dialogue, qui se veulent éloquents, cela va sans dire. Entre Le dernier métro et Lacombe Lucien, l'un pour la situation de confinement, l'autre pour la psychologie évolutive vers l'ignominie, avec un peu de Monsieur Klein pour les ultimes scènes (pas très crédible hélas, le dernier coup de théâtre), le film ne se hisse évidemment pas au même niveau des œuvres citées, on n'en espérait pas tant, mais il était permis d'espérer mieux, si ce n'est que Cavayé n'a peut-être pas les épaules ou le tempérament pour traiter un sujet aussi lourd. Le scénario est insatisfaisant avec en outre une histoire d'attente de maternité peu convaincante mais c'est la mise en scène qui fait surtout peine à voir, incapable d'installer et d'instiller un peu de tension dans le rapport entre les deux personnages principaux. L'interprétation rattrape un peu l'affaire, heureusement, celle de Lellouche plus que celle d'Auteuil, mais surtout celle de Sara Giraudeau, qui se sort remarquablement d'un rôle complexe, avec une finesse qui manque beaucoup au restant du long-métrage, presque aussi gris que l'époque qu'il dépeint.
    Hotinhere
    Hotinhere

    580 abonnés 5 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2023
    Une reconstitution soignée et un trio d’acteurs impeccable rendent ce drame sous l’Occupation assez prenant et ambiguë traitant du côté obscur de l’âme humaine, terni par quelques grosses lourdeurs et un rythme un peu mollasson.
    Roub E.
    Roub E.

    999 abonnés 5 025 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2023
    Un film qui m’a laissé un sentiment ambigu. Si le trajet du personnage de Gilles Lelouche est intéressant, à savoir un être guidé par l’envie qui bascule petit à petit dans l’abject. Certains arcs du scénario ne fonctionnent pas; celui de l’enfant souhaité par exemple auquel je n’ai pas du tout cru et qui m’a gâché vraiment le film. Un film qui aurait gagné à être plus ambigu, plus sombre aussi. On peut tout de même retenir l’originalité de traiter l’occupation par le biais d’un huis clos et l’interprétation toute en sobriété de Daniel Auteuil.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 209 abonnés 4 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2023
    Au sein de la production cinématographique française actuelle “Au revoir Monsieur Haffmann” réchauffe le coeur montrant qu’il y a encore quelques cinéastes et quelques acteurs qui ne gâchent pas leur talent dans des productions indignes comme en sont inondés les écrans depuis maintenant deux bonnes dizaines d’années, la situation allant malheureusement en empirant avec l’arrivée de quotas non officiels mais bien présents et les prescriptions sociétales de toutes sortes qu’il convient de faire entrer dans les cerveaux. Daniel Auteuil mis à part quelques errements que l’on peut lui pardonner ne consent pas comme beaucoup d’acteurs de sa génération et de celle qui la précède à prendre le risque que de sa brillante carrière ne subsiste plus dans les mémoires que des comédies abêtissantes. Démarche encore plus méritoire pour Sara Giraudeau qui n’a pas le background de Monsieur Auteuil devenu pour un film Monsieur Haffmann, bijoutier j spoiler: uif parisien obligé de fuir la capitale à cause de la politique de déportation menée par le régime nazi. Ayant envoyé au préalable sa famille en Zone Libre, il vend son magasin à titre gracieux à son ouvrier (Gilles Lellouche) avec la promesse de le récupérer à la fin de la Guerre en échange de son aide pour installer à son compte celui qui l’aura aidé
    . Pari risqué mais forcément compréhensible quand les vies sont en jeu. Monsieur Haffmann ne parvient pas à prendre le train pour rejoindre sa femme et ses enfants. Il revient donc à son magasin où son ouvrier devenu propriétaire et son épouse (Sara Giraudeau) vont devoir le cacher dans le sous-sol de l’échoppe. Le scénario écrit Fred Cavayé et Sarah Kaminsky d’après la pièce éponyme de Jean-Philippe Daguerre met à profit un huis clos particulièrement étouffant pour analyser comment les comportements peuvent prendre une tournure à priori inattendue dans un contexte exceptionnel mettant à rude épreuve l’équilibre psychique et en cascade les convictions ou pire encore les principes moraux élémentaires. Ici à partir d’une demande plutôt incongrue faite par François Mercier à son ancien patron, les choses vont virer à la catastrophe. Habilement par empilement progressif de petites lâchetés, de jalousie mal placée et de renoncements vite excusés par celui même qui les commet, le scénario montre comment chacun des trois protagonistes se révèle à lui-même. On pourra objecter que l’intrigue à trop vouloir emprunter le chemin qu’elle s’est choisi est assez rapidement prévisible. Mais la démonstration faisant mouche, on pourra pardonner les petits défauts qu’elle est obligée de supporter. Enfin, le jeu des acteurs aide grandement à la force de cet Adieu..... Daniel Auteuil avec la sobriété qui lui est coutumière est bien sûr parfait. Sara Giraudeau sans doute plus brillante que ses deux prestigieux géniteurs n’a pas son pareil pour faire passer les émotions sur son visage de femme-enfant au sourire qui emporte tout. Enfin, Gilles Lellouche qui se disperse sans doute un peu trop depuis qu’il a atteint la popularité, endosse avec conviction le rôle le plus compliqué. Bravo Monsieur Cavayé !
    Fabien S.
    Fabien S.

    567 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2022
    Un très bon film sur des juifs qui résistent à l'invasion nazie en France en 1941 avec Daniel Auteuil , Sara Giraudeau et Gilles Lellouche.
    Yetcha
    Yetcha

    901 abonnés 4 415 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2022
    Un excellent film sur la seconde guerre mondiale qui aborde des sujets tabous comme la délation, la spoliation, la collaboration et le profit sur le malheur des autres. Des heures sombres de la France qui ressortent avec force et rigueur par un Cavayé qui maîtrise clairement son sujet. La spirale infernale du protagoniste incarné par Lellouche est dramatique spoiler: et finit par se retourner contre lui.
    Seuls ombre au tableau, Sara Giraudeau qui, comme d'habitude a un jeu totalement en décalage avec son personnage, un visage inexpressif et une voix agaçante qui plombe totalement l'ensemble des dialogues où elle intervient. malgré cela, le film est une vraie réussite.
    ffred
    ffred

    1 739 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    A part Pour elle, son premier, et Le jeu, son dernier, les films de Fred Cavayé ne m’ont jamais emballé. Celui-ci ne déroge pas à la règle. Certes le sujet est terrible et poignant, mais le résultat est loin de ce qu’on pouvait escompter en terme d’émotion. On ne sent pas la fièvre, l’angoisse, le suspens monter. La mise en scène est banale et sans relief. Il vaut surtout pour l‘interprétation sans faille de son trio d’acteurs. Daniel Auteuil et Gilles Lellouche sont impeccables chacun dans leur genre, et Sara Giraudeau vraiment très bien. On est loin des films du genre (on pense bien sûr au Dernier métro). Ni le meilleur ni le pire de son auteur, Adieu Monsieur Haffmann n’est donc pas un grand film même s’il laisse regarder sans problème...
    moket
    moket

    545 abonnés 4 353 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2022
    Un film sur l'une des périodes les plus sombres de notre histoire et comment un tel événement, associé à la peur, la jalousie et l'appât du gain, peut transformer un homme. Fort et superbement interprété.
    Yves G.
    Yves G.

    1 509 abonnés 3 529 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2022
    Joseph Haffmann (Daniel Auteuil) est joaillier à Montmartre en 1941. Sentant la menace grandir, il envoie sa femme et ses trois enfants en zone libre avant de les y rejoindre. Avant de partir, il passe un marché avec son commis, François Mercier (Gilles Lellouche). Il lui laisse les clés de sa boutique, l'usage de son appartement et les gains de son commerce en échange de la promesse de pouvoir y revenir avec sa famille après la guerre. Mercier accepte, malgré les hésitations de sa femme Blanche (Sara Giraudeau). Le couple prend possession des lieux sous le regard hostile des voisins. Mais coup de théâtre : Haffmann, que la surveillance policière a empêché de quitter Paris, revient à la nuit tombée et doit se cacher dans la cave.

    Je ne suis pas parvenu à me décider si je devais écrire une critique gentillette ou scrogneugneu de l'adaptation par Fred Cavayé, un réalisateur français abonné aux thrillers testotéronés ("Pour elle", "À bout portant"), de la pièce de théâtre à succès de Jean-Philippe Daguerre couronnée en 2018 par quatre Molières.

    La critique bienveillante serait, on l'a compris, enthousiaste. Elle saluerait la belle leçon d'histoire qui nous plonge dans l'une des périodes les plus sombres de la France contemporaine et nous interroge avec intelligence sur la façon dont on pouvait imperceptiblement y devenir un héros ou un collabo. Elle applaudirait à la qualité d'un scénario d'une parfaite logique qui multiplie les rebondissements jusqu'à une conclusion inattendue pour nous tenir constamment sur la brèche. Elle rendrait enfin un hommage appuyé aux trois acteurs principaux, qui représentent chacun la fine fleur de sa génération : Daniel Auteuil (1950) qui se bonifie comme le vieux vin, Gilles Lellouche (1972) qui réussit à jouer un parfait salaud sans verser dans la caricature et Sara Giraudeau (1985) qui, de film en film, réussit, l'air de rien, à révéler l'ampleur de son talent.

    La critique scrogneugneu serait plus sévère. Elle invoquerait les mânes écrasantes de films indépassables qui ont déjà traité ce sujet avec autrement de maîtrise : "Monsieur Klein", "Le Dernier Métro"... Elle reprocherait à cette pièce de théâtre filmée son pesant classicisme, sa reconstitution maniérée de l'époque, sa mise en scène convenue, ses clichés (ach ! l'officier allemand si fin esthète entourée de maîtresses lubriques et à-qui-on-l'a-fait-pas) et ses coups de théâtre un peu trop nombreux et trop téléphonés. Elle le blâmerait peut-être surtout pour vouloir à tout prix faire naître une émotion, une empathie, par des procédés grossiers : les lourds silences de Daniel Auteuil (de l'homme trahi qui en toute circonstance saura garder sa dignité d'homme), les gros plans sur le visage de Gilles Lellouche (qui devient un salaud pour de bonnes raisons), la moue tremblante de Sara Giraudeau, etc.

    Ne sachant laquelle des deux critiques écrire, je les ai écrites toutes les deux. À vous de choisir à présent.
    Ti Nou
    Ti Nou

    512 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2023
    La tension de ce huis-clos doit beaucoup à son contexte historique, fait de délation et de suspicion, et à l’imagerie qu’il convoque. Fred Cavayé renoue avec l’ambition d’un cinéma à suspense qui avait marqué son début de carrière et c’est tant mieux.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 086 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 octobre 2024
    Adieu Monsieur Haffmann se heurte à deux écueils importants : d’une part, celui de la reconstitution poussiéreuse où les acteurs sont aussi figés et factices que les décors, incapables en somme d’incarner des personnages épais – exception faite, et il convient de le signaler, de Daniel Auteuil, remarquable en joaillier taiseux qui porte par ses silences tout le poids de la déportation – et, d’autre part, l’arrière-plan moral soucieux de châtier les collaborateurs et d’héroïser les martyrs, selon un schéma de l’arroseur-arrosé ici décliné en délateur-déporté des plus embarrassants. Une telle approche rétrospective de l’Histoire laisse sans voix tant elle s’ajoute à une liste déjà longue de productions similaires dans lesquelles les bonnes mais maladroites intentions gouvernent toute ambition esthétique, tout regard critique, toute réflexion philosophique ; la musique sirupeuse de Christophe Julien, fort mauvaise hélas alors que celui-ci sut laisser son empreinte dans le cinéma d’Albert Dupontel, achève de surenchérir sur une misère humaine qui n’avait vraiment pas besoin de ça.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top