Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une leçon d'histoire subtile et terriblement efficace.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Intense et très émouvant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Gilles Lellouche, épatant en « collabo », donne la réplique à Daniel Auteuil et Sara Giraudau dans cette adaptation d’une pièce à succès de Jean-Philippe Daguerre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par La Rédaction
L'amour du beau tient une place décisive dans les rebonds de ce récit.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un huis clos maîtrisé, et trois belles performances de comédiens, Daniel Auteuil, Gilles Lellouche et Sara Giraudeau.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Fred Cavayé change de registre et d’époque pour ce film noir adapté de la pièce aux quatre Molières qui raconte, dans une mise en scène certes classique mais élégante et tendue, les côtés obscurs de notre histoire comme de l’être humain.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Entre un Daniel Auteuil impeccable et une Sara Giraudeau tout en nuances, Gilles Lellouche campe Mercier avec ce qu’il faut d’ambiguïté et de violence.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Une tragédie bouleversante.
Positif
par Yann Tobin
Résultat, un « thriller de chambre » à résonances sociales, reposant sur un suspense narratif artificiel mais efficace, et sur d’excellents solistes : Gilles Lellouche est un très convaincant salaud malgré lui, Daniel Auteuil dans le rôle du joaillier est à son apogée taiseux, tandis que Sara Giraudeau apporte à sa partition une richesse et une profondeur qui n’étaient pas évidentes sur le papier.
Voici
par La Rédaction
Un huis-clos dramatique, sans manichéisme.
Bande à part
par Michel Cieutat
Un film à la fois prenant, courageux et maladroit, qui mérite d’être vu pour son passionnant sujet.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Les cadres très serrés et la photographie blafarde avec des teintes à dominantes gris et marrons, instaurent une véritable tension servant efficacement une reconstitution historique crédible et peu démonstrative.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Daniel Auteuil, Gilles Lellouche et Sara Giraudeau suscitent une émotion qui, sans eux, serait moins évidente.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Adaptation de la pièce éponyme, le film de Fred Cavayé en reprend l’intrigue puissante d’un huis clos sous l’Occupation avec un beau trio d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Fred Cavayé signe un drame historique tout en nuances porté par trois excellents comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Dans « Adieu Monsieur Haffmann », Fred Cavayé met en scène une histoire terrifiante qui reflète les réalités d'une époque non moins terrifiante. Le film ne se distingue pas par son invention formelle, mais il a l'incontestable mérite de ne pas s'abîmer dans d'inutiles surenchères.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Porté par ses trois comédiens principaux davantage que par sa mise en scène, le long métrage adapté de la pièce-événement se distingue par une économie de dialogues bienvenue mais manque de finesse et de fièvre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
La naissance d’un salaud, voilà ce que Fred Cavayé radiographie avec subtilité, pas à pas, dans ce huis clos historique adapté de la pièce de Jean-Philippe Daguerre.
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Dans ce film où règnent les « silences-qui-en-disent-long » pour faire miroiter une pseudo profondeur, seul Auteuil, au jeu volontairement raide, parvient à se distinguer.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La mayonnaise ne prend pas.
Première
par Thierry Chèze
Un sujet fort, riche en personnages ambigus et en rebondissements finement distillés, porté par un épatant trio d’acteurs qui pâtit juste de la difficulté du cinéaste à se défaire de la pesanteur de la reconstitution historique. Même si le huis clos lui permet de s’en affranchir au maximum.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Entre reconstitution appliquée, coups de théâtre et clichés, Adieu Monsieur Haffmann pâtit cruellement de la comparaison avec Monsieur Klein de Losey ou Le Dernier Métro de Truffaut.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Une leçon d'histoire subtile et terriblement efficace.
Télé Loisirs
Intense et très émouvant.
20 Minutes
Gilles Lellouche, épatant en « collabo », donne la réplique à Daniel Auteuil et Sara Giraudau dans cette adaptation d’une pièce à succès de Jean-Philippe Daguerre.
Femme Actuelle
L'amour du beau tient une place décisive dans les rebonds de ce récit.
La Voix du Nord
Un huis clos maîtrisé, et trois belles performances de comédiens, Daniel Auteuil, Gilles Lellouche et Sara Giraudeau.
Le Journal du Dimanche
Fred Cavayé change de registre et d’époque pour ce film noir adapté de la pièce aux quatre Molières qui raconte, dans une mise en scène certes classique mais élégante et tendue, les côtés obscurs de notre histoire comme de l’être humain.
Le Parisien
Entre un Daniel Auteuil impeccable et une Sara Giraudeau tout en nuances, Gilles Lellouche campe Mercier avec ce qu’il faut d’ambiguïté et de violence.
Le Point
Une tragédie bouleversante.
Positif
Résultat, un « thriller de chambre » à résonances sociales, reposant sur un suspense narratif artificiel mais efficace, et sur d’excellents solistes : Gilles Lellouche est un très convaincant salaud malgré lui, Daniel Auteuil dans le rôle du joaillier est à son apogée taiseux, tandis que Sara Giraudeau apporte à sa partition une richesse et une profondeur qui n’étaient pas évidentes sur le papier.
Voici
Un huis-clos dramatique, sans manichéisme.
Bande à part
Un film à la fois prenant, courageux et maladroit, qui mérite d’être vu pour son passionnant sujet.
Culturopoing.com
Les cadres très serrés et la photographie blafarde avec des teintes à dominantes gris et marrons, instaurent une véritable tension servant efficacement une reconstitution historique crédible et peu démonstrative.
L'Obs
Daniel Auteuil, Gilles Lellouche et Sara Giraudeau suscitent une émotion qui, sans eux, serait moins évidente.
La Croix
Adaptation de la pièce éponyme, le film de Fred Cavayé en reprend l’intrigue puissante d’un huis clos sous l’Occupation avec un beau trio d’acteurs.
Le Figaro
Fred Cavayé signe un drame historique tout en nuances porté par trois excellents comédiens.
Les Echos
Dans « Adieu Monsieur Haffmann », Fred Cavayé met en scène une histoire terrifiante qui reflète les réalités d'une époque non moins terrifiante. Le film ne se distingue pas par son invention formelle, mais il a l'incontestable mérite de ne pas s'abîmer dans d'inutiles surenchères.
Les Fiches du Cinéma
Porté par ses trois comédiens principaux davantage que par sa mise en scène, le long métrage adapté de la pièce-événement se distingue par une économie de dialogues bienvenue mais manque de finesse et de fièvre.
Télé 7 Jours
La naissance d’un salaud, voilà ce que Fred Cavayé radiographie avec subtilité, pas à pas, dans ce huis clos historique adapté de la pièce de Jean-Philippe Daguerre.
Cahiers du Cinéma
Dans ce film où règnent les « silences-qui-en-disent-long » pour faire miroiter une pseudo profondeur, seul Auteuil, au jeu volontairement raide, parvient à se distinguer.
Le Monde
La mayonnaise ne prend pas.
Première
Un sujet fort, riche en personnages ambigus et en rebondissements finement distillés, porté par un épatant trio d’acteurs qui pâtit juste de la difficulté du cinéaste à se défaire de la pesanteur de la reconstitution historique. Même si le huis clos lui permet de s’en affranchir au maximum.
Télérama
Entre reconstitution appliquée, coups de théâtre et clichés, Adieu Monsieur Haffmann pâtit cruellement de la comparaison avec Monsieur Klein de Losey ou Le Dernier Métro de Truffaut.