J'ai assisté à votre avant première , j'étais toute excitée de vous voir et de découvrir ce film . Vos films sont très intéressants , mais celui ci est une vraie catastrophe. Le thème aurait pu être tellement mieux traité , mais de la façon dont vous l'avez fait , il en devient ridicule et inintéressant . Je suis vraiment déçue . Sandrine Bonnaire , est une grande erreur de casting , je sais qu'elle fait partie de votre cercle d'acteurs , mais , Monsieur Lelouche , oubliez la , d'autres actrices , sans les nommer , sont tellement géniales , invitez les dans vos films . Bref une grande déception .
Monsieur Lelouch ou l'Ode à la Vie signe à 84 ans signe un fragile chef d'oeuvre (COVID oblige) et s'engage à nous parler de Toute Éternité car "L'Amour c'est mieux que la Vie" n'est que le premier volet d'un tryptique dont on a hâte de voir le Pivot central.
Tendre, émouvant !! Un très bon Lelouch, vivement la suite... Les gens ont applaudi J ai apprécié les chansons de Charles Trénet ainsi que le retour sur ces acteurs qu on aimait tant Merci Monsieur Lelouch , continuez à nous faire rêver.
A fuir, ni queue ni tête… désolant ! Un scénario écrit en 48H après avoir changé de lieu, d’acteur principal..:pitoyable ! Monsieur Lelouche en misant sur Dale, Abitan, Lelouche,… vous avez fait du médiocre. Extrêmement déçu d’avoir payé mes deux places de cinéma. À bon entendeur fuyez
Je suis allée voir le "dernier Lelouch", plus que le film lui-même dont je n'avais pas lu le pitch, par contre remarqué le casting : les habitués très connus, bien entendu et quelques nouveaux, plutôt connus aussi. "L'amour c'est mieux que la vie ", joli programme. Consciente d'aller voir une comédie bien-pensante et classique; même les scènes décalées en présence de Jésus et sa bande restent très réalistes, terre à terre ( interrogatoire de police au début! ) ce qui a d'ailleurs un certain charme et renforce l'aspect humoristique. Le 50ième ! film "anniversaire grandiose", bel hommage à tant de comédiens et comédiennes "lelouchiens" (peut on dire ainsi ?) ou bien films "testament" prévus en 3 chapitres: Amour, Amitié, Argent. Des dialogues très écrits, des jolies phrases toutes faites, prêtes à l'emploi, comme si on avait voulu les caser à tout prix avant une possible fin, des reparties qui se veulent profondes mais qui sont parfois prétentieuses, "trop point n'en faut" car le tout manque cruellement de naturel. Début du film, on est installé dans notre fauteuil et je me dis "ça sera quitte ou double". Après le visionnage, en fait pas si simple de se définir "pour ou contre"... une forme de frustration. Séduite par ces hommes et femmes (Sandrine Bonnaire lumineuse !) mais détachée face à ce monde artificiel et superficiel (Non ce n'est pas pour un effet de style, même si la rime est facile). Cependant le lendemain j'y repense et déjà envie de voir la suite. Alors ni pour ni contre, ni oui ni non
2h de tortures, et pourtant j'aime le cinéma mais que c'était difficile de finir le film... Aucune émotion, des dialogues insensés et d'un ennui terrible, des personnages sans aucune âmes, des prestations d'acteurs mauvaises... Et pourtant j'aime tant Gérard Darmin.
ÉVITEZ CE FILM, Claude Lellouche a 86 ans et une expérience énorme du cinéma alors comment peut on être aussi lourd ... Il n'y a aucune subtilité, aucune sensibilité, des personnages qui disent qu'ils s'aiment encore et encore (que c'est louuurd), Alors que le pauvre Gérard n'a jamais dit à son papa qu il l'aimait ... que c'est beau et original on en verserai presque une larmichette.
Sans oublier Jesus qui sera là tout le long du film pour le rendre encore plus ridicule (monsieur embrasse ses pieds...)
Mais le pire, c'est que monsieur Lellouche nous fait la morale sur le Covid car ouiiii il faut porter son masque et il faut se laver les mains avec du gel hydroalcoolique ! Comme si on en avait pas déjà eu assez avec ce virus ...
Je pensais voir un film qui parlait du présent, de la vie et l'amour, je n'ai eu qu'un film qu'un enfant de 8 ans aurait bien mieux réalisé . Mais on a juste le droit à un bobo qui n'a rien compris et qui pense savoir tout connaître et avoir tout vécu. Avec une bonne dose de prétention pour couronner le tout.
On en retiendra que les quelques belles images de la ville de Paris.
Histoire que l'on arrive pas a croire avec un mélange pseudo religieux un peu énervant. Maintenant quelques bonnes scènes surtout la première excellente. Comme souvent dans ces films , du bon et du moins bon.
C’est une réalisation de Claude Lelouch 62 ans après son premier film Le Propre de l'homme. Le scénario a été écrit avec Pierre Leroux, Grégoire Lacroix et Valérie Perrin. Ils ont tous collaboré avec lui sur un ou plusieurs films.
L'Amour c’est mieux que la vie est un petit événement, car c’est le 50ème film de Claude Lelouch. Une productivité qui le verra aller vers de belles réussites comme La Bonne année en 1973 ou Un homme et une femme en 1966, mais aussi des échecs à l’image de Chacun sa vie en 2017 et Les Parisiens en 2004. C’est donc un réalisateur loin de faire l’unanimité. Il n’a par exemple jamais reçu de César mais compte à son palmarès deux Oscars pour le Meilleur scénario original et le Meilleur film étranger pour Un homme et une femme. Son travail ne peut cependant qu’être salué pour sa longévité.
Le début de ce nouveau film est un peu lunaire. Une scène d’introduction dans un commissariat qui est en fait un hommage pour Oui et non.., une comédie dramatique qui ne vit jamais le jour. Ce passage est un peu en décaler avec le reste même s’il y a des tentatives pour la raccorder au reste du film. Cela ne semble pas illogique mais plutôt superflu. Après, en soit, les échanges sont plutôt pertinents. Le fameux Jésus dit des choses qui ont le mérite de porter à réflexion.
D’une façon globale, ce sera le cas lors de plusieurs passages du film. Les thématiques de l’amour et de la mort font ressortir quelques très bonnes phrases comme “Mourir ne fait pas de moi un héros” ou “L'Amour c’est mieux que la vie” qui est tellement clé que cela en sera le titre. Cependant, si on retire ces quelques passages poétiques, il ne reste pas grand-chose. La relation de Gérard est somme toute standard malgré le côté ultimatum de la maladie. Quant à la bande de potes, il n’y a rien de fou. On ne rit pas aux éclats, ni ne s’émeut particulièrement de ce qui se passe.
Ce qui va soutenir cette comédie dramatique est la performance remarquable de Gérard Darmon. Grâce à lui, on arrive à maintenir notre attention. Cet acteur créé quelque chose autour de lui qui fascine. Ce n’est pas suffisant pour cataloguer le film de réussite, mais sans lui, ça aurait pu être un total ennui. Il faut aussi souligner la belle prestation de Sandrine Bonnaire. Par contre, la déception vient d'Ary Abittan et Philippe Lellouche qui sont assez fades. Ils n’apportent pas le côté pétillant qu’on attend d’eux. À noter la belle surprise de Kev Adams qui sans être transcendant montre que s’il n’a pas un rôle à faire l’imbécile, il peut être un bon acteur.
Claude Lelouch s’amuse et amuse surtout son public cinéphile. Son cinquantième film est (de nouveau) un exercice de style, à classer dans le registre du film d’auteur. Premier opus destiné à former une trilogie qui, vu l’âge du cinéaste, aura sans doute valeur de testament avec quelques relents métaphysiques. Ça passe car c’est du Lelouch, mais il n’est pas certain que le grand public sera au rendez-vous.
Au secours ,Lelouch fait du Lelouch ,un restant de hachis Parmentier décongelé passé au micro onde (abus de sequences de ses fils antérieurs)D’abords très long à démarrer ,le film deviens pesant ,angoissant ,étouffant …Au vu de la consommation de cigarettes de Gérard Darmon …On ne crois pas une seule seconde à ce conte morbide ,cette histoire d’amour nicottinée ,heureusement le réalisateur nous a épargné Gustave Roussy…Ha !…j’allais oublié l’atmosphère anxiogène du Covid !…Restent les acteurs ,de grandes pointures ,qui grâce à la justesse de leur jeu surnagent dans ce pathétique premier opus ,Sandrine Bonnaire et Gérard Darmon en tête …Et j’espère pour lui ,Gérard Darmon,que ce scénario n’est pas prémonitoire …spoiler: