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Ciné-13
117 abonnés
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5,0
Publiée le 2 juin 2022
Le jeu admirable de sincérité des acteurs l'emporte. Comment ne pas craquer devant l'air ahuri des 2 potes de Gérard? Cabotinages de gueule d'enterrement des 3 potes : tout le monde s'en donne à coeur joie. Jésus est partout! La rencontre arrangée entre Gérard et Sandrine est un modèle du genre, si crédible et bien jouée naturellement. Et Ary fait tellement bien DE Niro! On a droit à des improvisations très drôles. Et Sandrine a toujours le plus beau sourire du cinéma français. A quand la sortie des suites?
J’adore Claude Lelouch, mais il en fait trop. Il sait super bien filmer les acteurs et actrices, il sait super bien filmer tout court…. Mais pourquoi souligne-t-il autant les choses? Pourquoi stabilobosse-t-il tout dix fois, vingt fois, trente fois? Pour en rajoute-t-il autant au lieu de suggérer simplement et de se faire confiance? Les spectateurs ne sont pas des idiots. J’ai regardé avec plaisir son 50e film, j’en garderai un bon souvenir comme pour tous ceux que j’ai vus. Je ne lui en veux pas d’être ce qu’il est, car au final, je sais que c’est un amoureux. Et je préfère toujours un amoureux qui en fait trop que le contraire…. Et puis il a réalisé « Les uns et les autres », qui reste mon préféré et que j’ai dû revoir vingt ou trente fois dans ma vie (et que je reverrai encore). Donc cinq étoiles (pour l’ensemble de sa carrière d’amoureux) parce qu’en amour on ne compte pas!
Ceux qui aiment Claude Lelouch trouveront tous les ingrédients d’un film réussi, touchant et testamentaire qui parle de l’amitié, de l’amour et de la mort avec des scènes cultes, Béatrice Dalle en Diable, les acteurs sont excellents et prennent du plaisir à jouer leur role presque proche de la vie. Avec des références sur quelques classiques.
Idée de base très sympa... mais malheureusement, rapidement ennuyeuse, et ce malgré une belle distribution :-( Des longueurs et des jeux pas toujours crédibles, dommage.
La première scène n'est pas si mal. La seconde, en revanche, traine en longueur, et ces répétitions et maladresses dans les dialogues,(oui madame, merci madame, d'accord madame, etc...), prouvent que ce cher Lelouch est désormais dur d'oreille, n’a pas peaufiné ses textes et que personne dans son équipe ni même du côté des acteurs, n’a eu le courage ou la compétence de lui faire remarquer, ou mieux, de rectifier ce qui n’allait pas. Dommage, car l'histoire était prometteuse. Au bout de 30 minutes, je regarde ma montre et ça n'est pas bon signe. Scène 4 : j'attends un rebondissement, qui malheureusement n'arrivera pas. Arbitan et Lellouche sont insignifiants, (les dialogues d’une pauvreté sans nom, n’aident pas), tout comme Darmon, sans aucun charisme. Ca ne fonctionne pas, et je n’arrive pas à ressentir une quelconque empathie pour son personnage malgré sa soit-disant agonie. Sandrine Bonnaire est surmaquillée et ne convînt pas. je l’a préférais mieux dirigée dans d’autres films. Cerise sur ce gâteau indigeste, les masques et le gel du Covid, qu’on aimerait tant oublier, inspirent l’auteur, décidément à la recherche de tout ce qui pourrait l’aider à rester dans le coup. Quelle bêtise ! Seule Clémentine Célarié, touchante, tire son épingle du jeu malgré encore une fois des petites fautes dans ses répliques, dues évidemment à l’auteur. Le film se traîne ainsi jusqu'à la fin sans aucune originalité... Dommage, j’ai pourtant adoré nombre de films du réalisateur. A l’instar de son personnage principal, lui-aussi est sur la fin… Sans doute a-t-il décidé de se raconter lui-même au travers de Darmon. Mais sans le talent qui initialement fit sa gloire.
Les trois A : L’AMOUR, L’AMITIÉ et L’ARGENT sont les trois principales préoccupations de l’humanité. Pour en parler le plus simplement possible, Gérard (Gérard Darmon), Ary (Ary Abittan) et Philippe (Philippe Lellouche) ont fait connaissance il y a 20 ans, à leur sortie de prison, et se sont tout de suite posé la vraie question : et si l’honnêteté était la meilleure des combines ? Aujourd’hui, ils sont inséparables et scrupuleusement vertueux… Mais Gérard apprend qu’il souffre d’un mal incurable. Le sachant condamné, Ary et Philippe veulent lui offrir sa dernière histoire d’amour… car Gérard a toujours répété que l'amour c’était mieux que la vie.
Un Lelouch, c'est toujours un évènement, surtout quand il s'agit de son 50ème film. Dailleurs, il est l'un des derniers cinéastes dont on dit qu'on va voir son dernier film. Certes, le film est inégal et, comme à son habitude, l'auteur brouille les cartes, mais au final quelle belle et courte histoire d'amour. Servie par une belle distribution, avec un Kev Adams dans un rôle inhabituel, un Gérard Darmon qui tient le film en tête d'affiche, le plaisir de retrouver le sourire et le talent de Sandrine Bonnaire, trop rare au cinéma et puis celui de revoir le grand Lino sur un écran de cinéma. Ah, quelle joie de revoir cet immense acteur là, sur grand écran ! Lelouch fait dans la nostalgie, avec des clins d'œil à certains de ses anciens films. Les meilleurs. A noter l'excellente prestation de l'acteur Xavier Inbona, dans le rôle de Jésus (vous avez bien lu) Et ce film n'est que le 1er d'un triptyque annoncé au début et à la fin. Bref, du Lelouch pur jus, qui baigne autant dans la nostalgie que dans le présent. Et cette phrase extraite du dialogue et prononcée par une femme "Les hommes ne sont pas assez forts pour être diaboliques. C'est le privilège des femmes !" Lelouch réglerait-il quelques comptes avec la gente féminine ?...
Avec ce 50ème films Claude Lelouch nous conte L’Amour c’est mieux que la vie comme si C’était un rendez-vous de toujours avec La Belle Histoire.
D’un film à l’autre il raconte La Vie, l’Amour, la Mort et souvent L’amour avec des si d’Un homme et une femme. Hasard ou coïncidence, il s’est construit un Itinéraire d’un enfant gâté avec tous Les Grands Moments de Toute une vie entrelacé de son Mariage avec le nombre treize. Pour lui L’aventure c’est l’aventure du cinéma comme un Roman de gare ou Les Uns et les Autres jouent Le chat et la souris, Le Voyou, Le Bon et les Méchants. Mais Il y a des jours… et des lunes ou avec La vertu des impondérables Les Plus Belles Années d’une vie se transforme parfois en Smic, Smac, Smoc. Après, pour tous Les Misérables il faut retrouver Chacun sa vie et Le courage d’aimer. Et c’est reparti pour un Viva la vie comme une résurrection d’Un autre homme, une autre chance. Celle d’Un + une ou Piaf chanterait Edith et Marcel Un homme qui me plaît. Ou Une pour toutes avec Une fille et des fusils qui jouerait La femme spectacle. Et Si c’était à refaire, ça serait pour lui une nouvelle fois Partir, revenir et Vivre pour vivre avec au cœur de l’histoire, Homme, femme, mode d’emploi. Et justement quel plaisir de reprendre Ces amours-là, d’Un homme et une femme : vingt ans déjà. Lorsqu’il se lance il doit se dire À nous deux… pour au final Quand le rideau se lève nous lancer un… And Now… Ladies and Gentlemen et nous offrir une nouvelle fois La Bonne Année, le spectacle de la vie. Pour rester dans le titre de ses films, je pourrais dire Salaud, on t’aime. Mais Les Parisiens Robert et Robert me diraient Attention bandits ! Tu n’as pas écrit Tout ça… pour ça !
Justement je voulais dire, pour tout ça, pour tout le présent d’amour qu’il y a dans son cinéma conjugué à tous les temps depuis plus de 60 ans, un GRAND MERCI Monsieur Lelouch.
Je m attendais à mieux avec 2 acteurs de très bonne renommé même si l un comme l autre ont très bien joué leur rôle...seul bémol c est que l histoire commence déjà très bizarrement ( avec Jésus, le diable qui sont régulièrement présents) et je trouve dommage que le producteur est choisi cette version plutôt qu'une version plus classique de l histoire qui a vraiment un poids très fort sur la maladie, suivi de cette escapade amoureuse non attendu...dommage !
Sandrine Bonnaire a un sourire merveilleux...un regard profond et lucide... Gerard Darmon époustouflant. D humanité...de sincérité... J ai été scotchée dans mon fauteuil par la profondeur de ces deux acteurs... C'est inoubliable...
Gérard (Darmon) se meurt d'un méchant cancer du poumon. Ses amis, Ary (Bittan) et Philippe (Lellouche), souhaitent adoucir ses derniers moments en lui offrant une ultime histoire d'amour. Ils contactent Sandrine (Bonnaire), la patronne d'une agence d'escorts qui, n'écoutant que son cœur, décide de s'atteler en personne à la tâche.
À quatre-vingt quatre ans, Claude Lelouch tourne son cinquantième film. Son titre pourrait être issu d'une intelligence artificielle qui aurait mélangé les mots des titres de ces films précédents. Elle aurait d'ailleurs également proposé : "L'aventure de l'amour de la vie" ou encore "La vie sans amour n'est pas une vie" ou encore "Un homme et une femme vivent l'amour de leur vie".
Le film lui-même, son scénario, sa réalisation, sa direction d'acteurs auraient pu tout autant être issus de la même intelligence artificielle à laquelle on aurait donné à analyser les quarante-neuf précédents films du réalisateur tant on y retrouve, sans une once de nouveautés, les mêmes recettes éculées. Comme toujours, Lelouch prend prétexte du tournage d'un film pour réunir sa bande de copains. Il aurait aimé, aux frais de la production, faire le tour du monde. Le Covid l'a obligé à se claquemurer à Paris. Qu'importe ! Il prendra ses quartiers dans une luxueuse maison à Montmartre, louera un bateau mouche et, comme dans chacun de ses films, se croira obligé d'accompagner un scénario indigent d'un numéro de music-hall cacophonique.
Ses acteurs sont en roue libre. On les voit placer les deux lignes de texte qu'on leur a confiées et tenter, le reste de la prise, toujours un peu trop étirée, d'improviser tant bien que mal. Lelouch réussit même à rendre Sandrine Bonnaire, toujours si juste, mauvaise. C'est dire !
Il ressasse ad nauseam la même philosophie à deux balles qu'on croirait tout droit tirée d'un manuel de développement personnel : la vie est courte.... mais elle est belle.... et elle vaut d'être vécue à condition de la vivre en aimant. Soit ! Je me souviens que ces films-là - et ses idées là - m'enthousiasmaient quand j'étais jeune. J'avais adoré "Les Uns et les Autres". J'avais adoré "Itinéraire d'un enfant gâté". J'ai même ici défendu "Chacun sa vie" sorti en 2017 en écrivant avec emphase : "J’avoue un penchant coupable pour les films de Claude Lelouch. J’en aime l’énergie débordante, le romantisme échevelé, le rythme endiablé, les intrigues polyphoniques, la musique envahissante, les dérapages pas toujours contrôlés. J’ai pour eux une indulgence excessive qui me conduit fidèlement à les voir à leur sortie au cinéma alors que les spectateurs les boudent et la critique les ignore."
Mais aujourd'hui, la coupe est pleine. Elle a débordé durant la scène où Gérard explique à Sandrine que les hommes aime les putes, qui sont beaucoup moins compliquées que les femmes ordinaires. Des propos qu'on n'aurait pas imaginer entendre encore, sans rire, à l'ère post #MeToo.
"L'amour c'est mieux que la vie" est le film de trop. Est-ce le dernier ? Non. Il se présente le premier d'une trilogie. Espérons que les deux suivants le rachètent et offrent à Lelouch une sortie moins caricaturale.
50ème film de Claude Lelouch, une comédie sous drame, avec un peu d'humour. C'est une jolie histoire quoi qu'un peu longue. J'attends de voir la suite qui je l'espère sera un peu plus rythmée et plus en profondeur pour le développement des personnes secondaires.
C'est un des meilleurs films que j'ai jamais vu de ma vie. Peut être parce qu'il arrive à un moment où tout ce qui est dit me parle beaucoup. En effet, c'est un film très profond, pas juste une histoire que l'on raconte.
On voit toute la sagesse de l'auteur.
Avant de partir j'ai lu quelques commentaires négatifs, et j'ai failli ne pas aller au cinéma, quelle erreur j'aurais faite. Je suis sortie de la salle avec une joie énorme. Bien sûr les acteurs sont tous vraiment très bons, Sandrine Bonnaire en particulier illumine tout de son sourire, et forme un très beau couple avec Gerard Darmon.
Mais Je pense que soit on adore soit on déteste, si on n'accroche pas à l'histoire je pense qu'il est difficile d'apprécier, mais si on accroche, alors c'est une vrai pépite.
Lelouch pure beurre, du vrais cinéma au sens propre.. Des sentiments ,des acteurs mis en valeurs. Positif Solaire Optimiste.Exactement le contraire de clint Eastwood avec cry macho ,lunaire ,negatif , brutal Deux hommes avec deux visions opposées de leurs derniers films. j'adore les deux ,mais en sortant du cinéma c'est mieux aprés Lelouch
J'ai passé un bon moment. C'est rafraîchissant cependant le port du masque par les acteurs est de trop. On le vie déjà à u quotidien ... l'amour rime avec toujours