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Anneclaire
1 abonné
29 critiques
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4,5
Publiée le 7 janvier 2022
Vu en avant-première. C'est un film jubilatoire, sur l'amour, l'amitié, la mort. Beaucoup d'émotions, de surprises quelques moments de rigolade. Un film riche, chargé d'humanité. Du bon Lelouch. Je le reverrai avec plaisir lors de la sortie officielle.
Je crois qu’il s’agit la du pire film que j’ai vu, aucun romantisme, d’une banalité affligeante. L’amour c’est mieux que la vie, un titre qui vous laisse rêveur, mais des interprétations toutes aussi nulles les unes que les autres, mais qui a choisi ces acteurs? Que fait Kev Adams ici??? L’histoire est plus plate que celle de n’importe qui sur cette terre. Vendez nous du rêve et de l’émotion! Au lieu de nous vendre dès ticket de cinéma pour vous remplir les poches, sans en mériter le moindre centime.
C'est plat, terne, incohérent Des clichés en veux tu en voilà. Les uns et les autres a été une de mes grandes émotions cinématographiques et fait que je n'ai jamais raté un film de claude Lelouch mais là je suis atterré et je n'irai sûrement pas voir les suivants Un mauvais téléfilm des années 1990
Moi, j ai adoré ce film extrêmement fin sur le rapport à l amitié et a la fin de vie. Lelouch au bord de ses 85 ans est peut être motive par le thème du film ;mais il nous sort un chef d œuvre d’images, de cadrages, de situation et en gros malin nous invite a regarder son prochain film Je n ose pas parler du jeu parfait des acteurs solidement diriges ;Lelouch nous fait même revivre un Lino Ventura
On tourne en rond dans ce Lelouch, quel est l'utilité du film faire passer un message doux et mélancolique ou ennuyer le spectateur ? Je dirai un peu des deux.. La cigarette et le casting un peu nul et qui joue globalement mal font de cette comédie dramatique (mais pas si dramatique, comme le réalisateur le veut), un film un peu loupé, malgré quelques jolies scènes quand même !
Gérard (Darmon) se meurt d'un méchant cancer du poumon. Ses amis, Ary (Bittan) et Philippe (Lellouche), souhaitent adoucir ses derniers moments en lui offrant une ultime histoire d'amour. Ils contactent Sandrine (Bonnaire), la patronne d'une agence d'escorts qui, n'écoutant que son cœur, décide de s'atteler en personne à la tâche.
À quatre-vingt quatre ans, Claude Lelouch tourne son cinquantième film. Son titre pourrait être issu d'une intelligence artificielle qui aurait mélangé les mots des titres de ces films précédents. Elle aurait d'ailleurs également proposé : "L'aventure de l'amour de la vie" ou encore "La vie sans amour n'est pas une vie" ou encore "Un homme et une femme vivent l'amour de leur vie".
Le film lui-même, son scénario, sa réalisation, sa direction d'acteurs auraient pu tout autant être issus de la même intelligence artificielle à laquelle on aurait donné à analyser les quarante-neuf précédents films du réalisateur tant on y retrouve, sans une once de nouveautés, les mêmes recettes éculées. Comme toujours, Lelouch prend prétexte du tournage d'un film pour réunir sa bande de copains. Il aurait aimé, aux frais de la production, faire le tour du monde. Le Covid l'a obligé à se claquemurer à Paris. Qu'importe ! Il prendra ses quartiers dans une luxueuse maison à Montmartre, louera un bateau mouche et, comme dans chacun de ses films, se croira obligé d'accompagner un scénario indigent d'un numéro de music-hall cacophonique.
Ses acteurs sont en roue libre. On les voit placer les deux lignes de texte qu'on leur a confiées et tenter, le reste de la prise, toujours un peu trop étirée, d'improviser tant bien que mal. Lelouch réussit même à rendre Sandrine Bonnaire, toujours si juste, mauvaise. C'est dire !
Il ressasse ad nauseam la même philosophie à deux balles qu'on croirait tout droit tirée d'un manuel de développement personnel : la vie est courte.... mais elle est belle.... et elle vaut d'être vécue à condition de la vivre en aimant. Soit ! Je me souviens que ces films-là - et ses idées là - m'enthousiasmaient quand j'étais jeune. J'avais adoré "Les Uns et les Autres". J'avais adoré "Itinéraire d'un enfant gâté". J'ai même ici défendu "Chacun sa vie" sorti en 2017 en écrivant avec emphase : "J’avoue un penchant coupable pour les films de Claude Lelouch. J’en aime l’énergie débordante, le romantisme échevelé, le rythme endiablé, les intrigues polyphoniques, la musique envahissante, les dérapages pas toujours contrôlés. J’ai pour eux une indulgence excessive qui me conduit fidèlement à les voir à leur sortie au cinéma alors que les spectateurs les boudent et la critique les ignore."
Mais aujourd'hui, la coupe est pleine. Elle a débordé durant la scène où Gérard explique à Sandrine que les hommes aime les putes, qui sont beaucoup moins compliquées que les femmes ordinaires. Des propos qu'on n'aurait pas imaginer entendre encore, sans rire, à l'ère post #MeToo.
"L'amour c'est mieux que la vie" est le film de trop. Est-ce le dernier ? Non. Il se présente le premier d'une trilogie. Espérons que les deux suivants le rachètent et offrent à Lelouch une sortie moins caricaturale.
Eh oui, voilà le 50ème film réalisé par Claude Lelouch du haut de ses 84 ans. Pour le reste, ces 115 minutes plutôt agréables, n’apportent pas grand-chose de nouveau à sa filmograhie et à l’histoire du 7ème Art. Les trois A : L’AMOUR, L’AMITIÉ et L’ARGENT sont les trois principales préoccupations de l’humanité. Pour en parler le plus simplement possible, Gérard, Ary et Philippe ont fait connaissance il y a 20 ans, à leur sortie de prison, et se sont tout de suite posé la vraie question : Et si l’honnêteté était la meilleure des combines ? Aujourd’hui, ils sont inséparables et scrupuleusement vertueux… Mais Gérard apprend qu’il souffre d’un mal incurable. Le sachant condamné, Ary et Philippe veulent lui offrir sa dernière histoire d’amour… car Gérard a toujours répété que l'amour c’était mieux que la vie. Réalisation virtuose, dialogues très écrits, belle direction d’acteurs, mais, mon Dieu, que de pathos ! Du Lelouch pur jus. Lelouch a beau avertir dès le générique avec cette jolie formule comédie pas si dramatique que ça… et malgré un vrai savoir-faire dans le ton de la comédie et de la légèreté, il ne peut pas s’empêcher de faire dans le tire-larmes. Et là, il ne lésine pas sur les moyens. Jusqu’à ce dialogue pathétique entre le héros – Darmon -, qui se sait en phase terminale et Robert Hossein, lui condamné dans la vraie vie. L’émotion est là, mais putassière, donc désagréable. A part cet énorme bémol, le film se laisse voir, - malgré les nombreux et complaisants rappels d’extraits des anciens films du patron. Ça sent le testament… Pourtant – et c’est la seule vraie innovation de ces deux heures, - on nous annonce le 2ème volet du triptyque envisagé mais en inscrivant à l’écran son casting !!! Mais comme le chantait Gabin le jour où quelqu’un vous aime, il fait très beau … Il y a pire comme morale. Comme toujours aussi chez Lelouch, les acteurs ont la part belle. La formidable Sandrine Bonnaire illumine chaque scène où elle apparaît. Gérard Darmon, Ari Abitan, Philippe Lelouche, Kev Adams, s’en sortent très bien dans des rôles en or. Le duo éphémère Clémentine Célarié / Dominique Rabourdin est très drôle. On note les présences de Béatrice Dalle, Elsa Zilberstein, ainsi que de Candice Patou et son époux dans la vie, Robert Hossein, qui tient ici son ultime rôle. Cela posé, c’est un vrai film de confinement tourné en 2020 d’où le huis clos à Montmartre que l’on a tenté – vainement - d’aérer de manière totalement artificielle avec un pseudo tour du monde en images festives et planétaires. Lelouch, arrête de nous prendre pour des gogos. Quand on a ce talent de cinéaste, cette faculté à raconter de belles histoires, cette aptitude à diriger les acteurs et les actrices et même à les sublimer par instant, on se doit d’éviter toutes ces grosses ficelles qui finissent par indisposer le spectateur et lui faire oublier l’essentiel. Dommage.
Que feriez-vous de votre temps s'il ne vous restait que quelques jours/semaines/mois à vivre ? Faire le tour du monde ? Passer du temps avec votre famille ? Garder vos petites habitudes jusqu'au bout ? Ou bien oser déguster une dernière histoire d'amour ?... Ce 50ème film de Claude Lelouch parle donc d'amour, qui se trouve être l'essence même de la vie. Comme souvent avec ce réalisateur, les acteurs et actrices sont mis en avant sans fard ni fioriture, c'est ce qui les rend simples et touchants à la fois. J'ai passé un moment très agréable avec cette bande de comédiens hyper attachante, le tout mixé dans une histoire délicate, bienveillante et universelle. Le cinéma de Lelouch est certes un tantinet bavard (un peu dans le style Woody Allen) mais bigrement délicieux et intelligent. Très séduisant. Site CINEMADOURG.free.fr
J'ai adoré certains films de Lelouche mais la...un vrai navet ! Non seulement l'histoire n'a rien d'original mais en plus, même les acteurs clés ont l'air de ne pas y croire tellement ils jouent mal. Sandrine Bonnaire joue faux, affligeant ! Seul point positif, la bande son mais cela ne fait pas la balance, loin de la. J'ai perdu 3 heures et 10€
Le jeu admirable de sincérité des acteurs l'emporte. Comment ne pas craquer devant l'air ahuri des 2 potes de Gérard? Cabotinages de gueule d'enterrement des 3 potes : tout le monde s'en donne à coeur joie. Jésus est partout! La rencontre arrangée entre Gérard et Sandrine est un modèle du genre, si crédible et bien jouée naturellement. Et Ary fait tellement bien DE Niro! On a droit à des improvisations très drôles. Et Sandrine a toujours le plus beau sourire du cinéma français. A quand la sortie des suites?
Une leçon de vie ... bouleversant extrêmement bien interprété , à voir absolument. Un grand Lelouch , belle prouesse de jeux de la part de tous les acteurs et actrices pertinemment choisis
Quelle torture.!!!!! C est du grand n importe quoi... Très déçue . Un film très décousu. Comme quoi il ne suffit pas d avoir une très belle distribution pour faire un bon film
Un beau film où les amoureux de l'univers du metteur en scène Français retrouveront tous ses codes : intimisme, sensibilité, malice et nostalgie. Lelouche ne nous déçoit pas et on attend la suite avec impatience.