Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le premier volet d’une trilogie vibrante, joyeuse, magnifique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une ode à la vie, semée de fraîcheur et de fantaisie.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le cinéma de Claude Lelouch, c’est mieux que la vie. C’est le temps qui passe, la douce nostalgie, mais la vie tout le temps, les petits et les grands moments : tant que nous ne sommes pas morts, nous sommes vivants.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Histoire d’amitié solide entre trois hommes, son dernier film touche par ses dialogues justes et montre des adieux optimistes. Enthousiasmant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Le long-métrage est émaillé de maladresses, de silences gênants ou de dialogues qui semblent improvisés. Mais ce film a un charme fou et ce qu’il dit de la foi de son réalisateur en l’amitié, en l’amour et en la vie, est extrêmement émouvant et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Rien que la vie qui passe, filmée avec passion et un brin de mélancolie.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un méli-mélo déconcertant mais quelques beaux instants de cinéma vérité.
Positif
par Philippe Rouyer
La complicité évidente du cinéaste avec son couple de comédiens principaux leur fait donner une intensité particulière à leur jeu. Avec la liberté de celui qui n’a plus rien à prouver, Lelouch ose tout [...].
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Des dialogues au naturel impressionnants et des comédiens impeccables, au premier chef desquels Gérard Darmon et Sandrine Bonnaire, font couler à flots une exaltante vitalité. On attend la suite.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Mais c’est le miracle du cinéma de Lelouch. Non seulement il parvient à nous faire passer des vessies pour des lanternes, mais il nous émeut profondément avec des séquences dont il a le secret, de simples champs-contrechamps où les comédiens bénéficient à l’évidence d’une liberté inspirante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Avec ce 50e opus, premier volet d'une trilogie consacrée à l'amour, l'amitié et l'argent, on retrouve ce que le cinéaste à l'énergie bluffante sait faire de mieux : diriger des acteurs et orchestrer une histoire romanesque qui raconte quelque chose de notre société.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Ce portrait doux-amer de générations en quête de sens profite d'un étonnant casting et amuse en philosophant sur la mort.
Télérama
par Frédéric Strauss
Autant dire que ce cinquantième film n’est jamais banal pour lui. Moins conventionnel qu’une comédie classique, il va à l’essentiel : des envies de scènes, le plaisir de faire jouer les comédiens, de jongler avec le vrai et le faux, la fiction et la vie. Avec ses bons et ses moins bons moments, voilà la profession de foi d’un cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Pour le reste, on dira que l'auteur d'Un homme et une femme déroule sa petite musique mélodramatique et sentimentale, confiné par un Covid-19 à un tournage qui le mène d'un café montmartois à à un Bateaux-Mouches, et offrant de l'amour et de l'amitié à vue agréable, mais essentiellement touristiques, que ces lieux eux-mêmes donnent de Paris.
Première
par Frédéric Foubert
L’argument est un peu daté, les scènes s’étirent parfois au-delà du raisonnable, le casting est franchement extravagant, mais, comme dans Les Plus belles années d’une vie, Lelouch explore joliment la tension entre sa volonté de se confronter à la mort et l’élan vital phénoménal qui continue de caractériser son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un éloge des transports amoureux qui mène, hélas, à des lieux communs, enfilés comme des perles.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le problème est que depuis longtemps la principale source des films de Lelouch est le cinéma de Lelouch. L’amour c’est mieux que la vie fonctionne à plein régime dans ce mortifère recyclage, des extraits de ses anciens films faisant office de flash- back pour créer a posteriori une famille d’acteurs et de personnages.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le scénario s’étire et se noie dans une mollesse et un premier degré prévisible. Premier volet tournant à vide d’une trilogie dont on n’est guère pressé de voir la suite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le premier volet d’une trilogie vibrante, joyeuse, magnifique.
Femme Actuelle
Une ode à la vie, semée de fraîcheur et de fantaisie.
Le Dauphiné Libéré
Le cinéma de Claude Lelouch, c’est mieux que la vie. C’est le temps qui passe, la douce nostalgie, mais la vie tout le temps, les petits et les grands moments : tant que nous ne sommes pas morts, nous sommes vivants.
Le Figaro
Histoire d’amitié solide entre trois hommes, son dernier film touche par ses dialogues justes et montre des adieux optimistes. Enthousiasmant.
Le Parisien
Le long-métrage est émaillé de maladresses, de silences gênants ou de dialogues qui semblent improvisés. Mais ce film a un charme fou et ce qu’il dit de la foi de son réalisateur en l’amitié, en l’amour et en la vie, est extrêmement émouvant et réjouissant.
Le Point
Rien que la vie qui passe, filmée avec passion et un brin de mélancolie.
Ouest France
Un méli-mélo déconcertant mais quelques beaux instants de cinéma vérité.
Positif
La complicité évidente du cinéaste avec son couple de comédiens principaux leur fait donner une intensité particulière à leur jeu. Avec la liberté de celui qui n’a plus rien à prouver, Lelouch ose tout [...].
La Croix
Des dialogues au naturel impressionnants et des comédiens impeccables, au premier chef desquels Gérard Darmon et Sandrine Bonnaire, font couler à flots une exaltante vitalité. On attend la suite.
La Voix du Nord
Mais c’est le miracle du cinéma de Lelouch. Non seulement il parvient à nous faire passer des vessies pour des lanternes, mais il nous émeut profondément avec des séquences dont il a le secret, de simples champs-contrechamps où les comédiens bénéficient à l’évidence d’une liberté inspirante.
Le Journal du Dimanche
Avec ce 50e opus, premier volet d'une trilogie consacrée à l'amour, l'amitié et l'argent, on retrouve ce que le cinéaste à l'énergie bluffante sait faire de mieux : diriger des acteurs et orchestrer une histoire romanesque qui raconte quelque chose de notre société.
Télé Loisirs
Ce portrait doux-amer de générations en quête de sens profite d'un étonnant casting et amuse en philosophant sur la mort.
Télérama
Autant dire que ce cinquantième film n’est jamais banal pour lui. Moins conventionnel qu’une comédie classique, il va à l’essentiel : des envies de scènes, le plaisir de faire jouer les comédiens, de jongler avec le vrai et le faux, la fiction et la vie. Avec ses bons et ses moins bons moments, voilà la profession de foi d’un cinéaste.
Le Monde
Pour le reste, on dira que l'auteur d'Un homme et une femme déroule sa petite musique mélodramatique et sentimentale, confiné par un Covid-19 à un tournage qui le mène d'un café montmartois à à un Bateaux-Mouches, et offrant de l'amour et de l'amitié à vue agréable, mais essentiellement touristiques, que ces lieux eux-mêmes donnent de Paris.
Première
L’argument est un peu daté, les scènes s’étirent parfois au-delà du raisonnable, le casting est franchement extravagant, mais, comme dans Les Plus belles années d’une vie, Lelouch explore joliment la tension entre sa volonté de se confronter à la mort et l’élan vital phénoménal qui continue de caractériser son cinéma.
Voici
Un éloge des transports amoureux qui mène, hélas, à des lieux communs, enfilés comme des perles.
Cahiers du Cinéma
Le problème est que depuis longtemps la principale source des films de Lelouch est le cinéma de Lelouch. L’amour c’est mieux que la vie fonctionne à plein régime dans ce mortifère recyclage, des extraits de ses anciens films faisant office de flash- back pour créer a posteriori une famille d’acteurs et de personnages.
L'Obs
Le scénario s’étire et se noie dans une mollesse et un premier degré prévisible. Premier volet tournant à vide d’une trilogie dont on n’est guère pressé de voir la suite.