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    Ogre
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    74 critiques spectateurs

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    lionelb30
    lionelb30

    409 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 avril 2022
    Film énervant. Une chose réussie quand même , c'est la tension efficace. Pour le reste , on ne comprend pas l' histoire. Soit l'histoire est réellement fantastique , et c'est stupide , soit c'est une allégorie psychologique , et c'est incompréhensible donc dans les deux cas , c'est raté.
    jufe06
    jufe06

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2022
    Lorsqu'on va voir Ogre, il faut déjà savoir une chose, ON NE VA PAS VOIR UN FILM D'HORREUR.
    C'est très important d'être prévenu pour que les fans du genre ne soient pas déçus. Fans de gore, fans de trash, fans de scènes qui font BOUH! toutes les 5 min et qui vous laissent dans un état de tension permanente, ne venez pas ou alors, renseignez-vous sur ce film avant. Car non, vous ne vous cacherez pas les yeux derrière vos mimines transpirantes et vous n'aurez pas envie de vomir, même si le film réserve quelques scènes horrifiques et une ambiance angoissante.

    Ce film est une plongée dans l'esprit d'un enfant de 8 ans traumatisé par un début de vie auprès d'un père maltraitant. C'est d'ailleurs peut-être à ce même paternel violent qu'il doit sa surdité partielle mais ça l'histoire ne le dit pas.
    Accompagné de sa mère, Jules vient juste d'emménager dans un petit village paumé du Morvan. Pour ceux qui ne connaissent pas, le Morvan ce sont des forêts, des lacs et aussi des arbres, des étangs, des arbres et quelques pâtures. De la nature, du sauvage, peu d'Hommes. Et le village dans lequel ils s'installent et où la mère de Jules reprend l'unique poste d'institutrice est le genre de village qui se dépeuple et que l'on prive inexorablement de ses services publiques fondamentaux. Autant dire que l'instit' était attendue comme le messie, elle et son petit garçon que le médecin du village aimerait, de manière assez obsessionnelle, voir se remplumer rapidement car il le trouve bien maigrichon...

    Tout parait idyllique sauf que rapidement Jules apprend qu'un enfant du village a disparu, que des veaux sont dévorés par une bête sauvage et qu'il faut éviter de pénétrer dans cette sombre forêt qui abrite probablement une créature dangereuse. Mais selon Jules ce n'est pas un simple chien errant, comme le disent les gens du village...

    Tout le film est construit à partir du point de vue de l'enfant, ce que l'on voit,ce que l'on perçoit, est-ce la réalité ou des peurs classiques enfantines exacerbées chez un enfant qui a été confronté à la monstruosité de son père. Jules est appareillé et coupe souvent son appareil comme pour se couper de la réalité qui l'entoure dès qu'elle lui est désagréable.

    Ce village abrite t-il réellement un Ogre décidé à faire de Jules son prochain dîner?
    Je vous laisse vous faire votre idée en allant voir ce film de genre atypique par son rythme mais qui aborde des thématiques intéressantes (ensauvagement, désertification, peurs enfantines, soumission des masses...).
    Laissez vous porter par le son et l'image particulièrement soignés.
    Treadstone2
    Treadstone2

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 avril 2022
    Le film commençait bien avec une atmosphère assez angoissante, une jolie musique semblant inspirée de "Desert Suite" de Terminator 2, et de celle de l'intro de Prometheus. Et puis le film s'oriente sur l'incohérence pour finir dans le n'importe quoi. À croire qu'à la fin plus personne n'en avait quoi que ce soit à faire. Je spoile rien pour ceux qui seront tentés d'aller le voir, mais honnêtement vous pouvez économiser votre temps et votre argent.
    Alexis Gauthier
    Alexis Gauthier

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2022
    Une ambiance lente et pesante. Une mise en scène qui passe de grands espaces à des gros plans troublants. Un son incroyable notamment quand l'enfant coupe son appareil. Ana Girardot et Giovanni Pucci très convainquant dans leur rôle. Je suis heureux d'avoir vu ce film qui sort de l'ordinaire et ne peux que vous le conseiller.
    RedArrow
    RedArrow

    1 581 abonnés 1 506 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2022
    Il était une fois une institutrice et son jeune fils partis vivre dans un village reculé de la campagne française pour y prendre un nouveau départ. Mais, en ces lieux, quelque chose semblait rôder, se repaissant des plus jeunes créatures prises au piège de son ombre funeste...

    Après "Teddy" et "La Nuée", on pourrait presque considérer "Ogre" comme le dernier volet d'un triptyque distribué sous le label "The Jokers" et dont la directive centrale serait de prendre pour base le cadre de la ruralité française en vue de donner de nouvelles perspectives au cinéma de genre national.
    Dans la continuité de ces deux longs-métrages, l'élément fantastique central de "Ogre" (et donc le monstre de conte qui lui donne son titre) est une fois de plus utilisé avant tout comme un ressort métaphorique, représentation d'une part d'ombre enfouie et grandissante chez l'un de ses personnages principaux et dont les manifestations horrifiques ont pour but de conduire à une possible (et peut-être dramatique) catharsis des maux qui l'habitent.
    Ici, le film d'Arnaud Malherbe s'appuie donc sur le mal-être de Jules, un petit garçon ostracisé par les jeunes de son âge à cause de ses problèmes d'audition et surtout déchiré entre le traumatisme d'un passé violent et l'arrivée d'une figure masculine invasive (le médecin du village) dans la nouvelle vie que sa mère et lui s'étaient choisis pour se reconstruire ensemble. Ainsi, dans une espèce d'échelle croissante et évolutive de "bulles" amenées irrémédiablement à se percuter entre elles dans le dernier acte, la forteresse de solitude entretenue par le petit garçon grâce au déclenchement de son appareil auditif va tenter de faire rempart à la dynamique familiale bouleversée par celui qui y est considéré comme un intrus, elle-même sous l'influence directe du désespoir de ce coin de campagne laissé à son sort et désormais habité par une obscurité intemporelle y ayant repris ses droits pour se nourrir de ses êtres les plus innocents...

    Toutefois, même si son récit essaie d'y mêler d'autres ingrédients comme l'imaginaire d'un manga dont Jules est fan (bon, des deux pages qu'il paraît lire à l'infini) et quelques références amusantes aux contes de fée détournées dans le quotidien de ce village, il faut hélas reconnaître que "Ogre" suit un chemin extrêmement balisé qui risque de décevoir à la fois les habitués du fantastique utilisé à des fins métaphoriques et, bien sûr, ceux venus simplement pour frissonner devant un film d'horreur... disons plus premier degré.
    Non pas que "Ogre" soit déplaisant à suivre, loin de là même, le film bénéficie d'une belle atmosphère, saisit toute la douleur émotionnelle émanant de ce fils et de cette mère pour l'exprimer visuellement (ce superbe plan fixe sur le visage d'Ana Girardot, toujours irréprochable, hésitant littéralement à embrasser une nouvelle intimité) et l'inscrit de façon cohérente à sa toile de fond où s'entremêle le mythe de l'ogre à la désertification réaliste d'un village ramené à des peurs ancestrales, mais il le fait finalement de manière un peu trop scolaire, peinant à trouver un langage inédit au-delà des canons aujourd'hui devenus familiers de l'elevated horror pour prétendre en devenir une nouvelle référence, et ce même au sein de la petite brèche entrouverte récemment par le cinéma de genre français. C'est d'ailleurs sans doute là que le bât blesse le plus: si on devait le comparer à ses aînés "Teddy" et "La Nuée", cet "Ogre" serait clairement le Petit Poucet de cette trilogie rurale fictive par son manque d'audace. Un comble à s'en perdre volontairement en forêt.
    traversay1
    traversay1

    3 246 abonnés 4 679 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2022
    Quand Ogre se place à hauteur d'enfant, assez souvent heureusement, le film d'Arnaud Malherbe fonctionne bien, à partir du moment où l'on en accepte l'aspect onirique et les impressions et visions nocturnes. En revanche, du côté du réalisme rural et du monde des adultes,, c'est moins accompli, voire pataud. Le film est efficace quand il chuchote et suggère, saluons d'ailleurs sa parfaite maîtrise sonore, dégageant si ce n'est une franche terreur, tout du moins un stress oppressant. En revanche, dans ce qui devrait être la grande scène finale, Ogre dévoile maladroitement la figure de l'horreur et la subtilité du film en prend un grand coup. Nourri de thématiques croisées : la violence domestique, le handicap et la cruauté enfantine, l'abandon des campagnes et sa déshérence sociale, la permanence des légendes du type Bête du Gévaudan (le Morvan et ses forêts constitue un beau terrain de jeu), le film ne les incarne pas suffisamment dans des personnages secondaires seulement esquissés à grands traits. Ogre ne se situe pas au même niveau que La Nuée dont l'enchevêtrement réussi entre réalisme et fantastique débouchait sur une œuvre organique et épidermique bien plus cauchemardesque et en même temps excitante. En dépit d'un scénario frustrant, Ogre bénéficie cependant d'une mise en scène léchée et d'une interprétation impeccable de Ana Girardot et du petit Giovanni Pucci. Pas suffisant pour nous faire frissonner dans l'obscurité d'une salle de cinéma.
    Celuiqui aime le ciné
    Celuiqui aime le ciné

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2022
    Après "deux Moi", j'avais hâte de retrouver Ana Girardot, actrice aussi belle que mystérieuse et tellement talentueuse.
    Le film est une vraie réussite, l'ambiance pesante, souvent inquiétante apporte des effets de peur et de surprise avec une réelle efficacité. Les paysages contribues à renforcer le climat énigmatique de cette histoire. Sans pour autant révolutionner le genre, Le film installe un climat d'angoisse qui nous tient en haleine jusqu'à sa conclusion. A voir.
    Annick K.
    Annick K.

    7 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 avril 2022
    On s ennuie ferme malgré une image soignée. Et à la fin le monstre chassé par les zosiaux fallait oser. Bref à éviter. N est pas Stephen king qui veut .
    Sarah Kebir
    Sarah Kebir

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2022
    J'ai adoré !
    Un casting super et je salue également l'ambiance et l'intrigue qui reste en suspens jusqu'à la fin du film.
    Oscar Louveau
    Oscar Louveau

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 avril 2022
    Très belle interpretation des acteurs Ana Girardot et Giovanni Pucci.
    L''image est sombre et léchée comme il faut, c'est tres beau et le travail du son impressionant.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    167 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 avril 2022
    c est le premier film du realisateur qui a puisser dans son enfance avec la peur du noir
    l ogre a ete conçu avec digital district et l atelier 69
    la musique est compose par flemming nordkrog
    un bon film fantastique francais il y en atrés peut en france vive le fantastique français
    Aude Charlotte E
    Aude Charlotte E

    34 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 février 2022
    Au rythme d'un conte et sur fond de drame social de désertification des campagnes, nous voilà plongés dans le quotidien de Jules et sa mère, récemment installés dans un petit village de campagne pour fuir les démons du passé. À travers les yeux de l'enfant nous tâtonnons entre rêves, cauchemars et réalité dans ce nouveau monde qui s'offre à eux. "Ogre" est sublime, esthétiquement, mais aussi dans la subtilité de son propos sur les névroses de l'enfance et les traumatismes du passé. Une métaphore onirique dont on ressort bercé, comme si une fable nous avait été contée. La maitrise du son est d'une très grande justesse.
    Cinememories
    Cinememories

    457 abonnés 1 440 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 novembre 2021
    Il n'est plus surprenant de retrouver le cinéma français au croisement du fantastique et de son environnement intimiste, voire réaliste. Un film de genre après l'autre, les ambassadeurs se succèdent avec l'intention de rendre des comptes à un public qui ne demande qu'à sortir de sa zone de confort. Ce que parvient à faire Arnaud Malherbe avec ce récit, c'est alors de bâtir un équilibre entre la lecture métaphorique et paranoïaque. Nous avons déjà pu en découvrir les prémices et les piliers, comme l'attestent “Quelques minutes après minuit” de Juan Antonio Bayona et “I Kill Giants” d’Anders Walter. Pourtant, ce ne sera pas au nom de la tendresse, ni par le biais d'effets visuels épousant la rêverie fantaisiste que l'on viendra nous alpaguer. L'effroi est à la base d'une communication dissonante et d'une confiance ambiguë.

    Une famille est au cœur de cette rupture, dont on conte avec un certain zèle la crainte de la figure paternelle, dévorant tout espoir de paix. Jules (Giovanni Pucci) en subit les frais aux côtés de sa mère Chloé (Ana Girardot), cherchant à se reconstruire en province, loin de cette influence toxique et étouffante. La campagne est souvent sujet à porter le regard brut de citadins, venus festoyer le temps d’un séjour estival. Ce lieu de paix éphémère, Chloé souhaite en faire son oasis pour le reste de sa vie. Cependant, les mythes du coin ne rassurent ni les parents, ni les enfants, principales proies d'une créature, née dans les rumeurs, les traumatismes et les mauvais sons. Un jeu se met alors en place entre les enfants du village, qui capture la sauvagerie du harcèlement. Les étrangers ne sont pas les bienvenus, mais l’illustration du tourment vire dans un excès redondant, tout au long du récit.

    Jules confronte ainsi son défaut auditif et un petit ami impromptu (Samuel Jouy), mais également ses nouveaux camarades de classe. Le récit cultive suffisamment de matière pour trouver l'autonomie nécessaire, mais manque indéniablement d'isoler le spectateur dans son imaginaire. L'ambiguïté sur l'existence du dévoreur d'enfants sera démontée à l’arrache dans un dénouement aussi lumineux que maladroit. Et par-dessus tout, Malherbe manque d’insuffler cette aura d’insécurité autour des protagonistes, chose essentielle dans ce qu’il essaye de véhiculer. Malgré le fait que nous restons souvent à l’antre de la folie, il est étonnant de constater que cette entrée en matière pourrait déverrouiller d’autres niveaux de lecture chez l’auteur. Un enfant, plongé dans ce drame intime, devrait pouvoir s’y retrouver dans ses peurs, mais il ne saura sans doute pas comment les combattre, dans les mêmes ténèbres qui l’habitent.

    “Ogre” n'arrive pas toujours à tenir en haleine et se piège à son propre jeu psychologique. Ce que le film aura toutefois gagné à démontrer, c'est que l'avenir du cinéma de genre français pourrait bien se trouver en campagne, surtout après les saisissants “Teddy” des frères Boukherma et “La Nuée” de Just Philippot. Les mythes finiront par gagner ces terres fertiles, tout en s’imprégnant des enjeux sociétaux actuels. Ils seront bien accueillis, du moment qu’on ne perde pas le fil sur les codes et les profils obsessionnels, qui portent et qui emportent tout sur leur passage.
    Audrey L
    Audrey L

    581 abonnés 2 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    Séance du soir à Deauville, la présentation de l'avant-première nous a instantanément fait fondre : [attention, petit spoiler] quand on donne la parole au très jeune Giovanni Pucci pour lui demander si le film ne lui avait pas trop fait peur, il répond en souriant : "Non, ça va, parce que l'ogre il est gentil en vrai", et regard à Samuel Jouy... Qui rigole : "Chut, il fallait pas le dire ça !", et le garçon de dire "Oups.", et toute la salle de comprendre, et de s'amuser de ce genre de petits couacs qu'on adore avec les jeunes acteurs. Surtout que celui-ci se défend vaillamment dans ce film d'Arnaud Malherbe, il vaut à lui seul le détour en parvenant à nous faire partager son angoisse dans un décor stressant à souhait. Voici en plus que vient la fine psychologie du personnage, dont on comprend vite qu'il est traumatisé par un abandon du père (violent à ses heures), et que le fameux "ogre" peut aussi se lire comme un pur délire de persécution, l'impossible remplacement du père par un autre potentiellement encore plus dangereux... Vous avez carte blanche pour la lecture de l’œuvre, la fin étant assez ouverte à toutes les interprétations. Ce que l'on a le plus aimé (en plus du jeune Giovanni) est tout le travail sur le son, sur la surdité du jeune garçon (un peu à la Sans un bruit) qui n'entend jamais l'ogre arriver, sur les bruitages gutturaux de la créature qui se mêlent aux craquements de la forêt... On stresse devant des sapinettes, sans même savoir pourquoi, chapeau à l'équipe son. Chapeau également au scénariste, qui a l'intelligence de ne pas nous faire l'éternel coup du "je coupe le son, et je met un coup de klaxon au premier chat qui passe" pour nous faire sursauter bêtement, ici on voit arriver la créature, on subit son approche lente du jeune garçon, et on en transpire d'autant plus... Un sursaut tout de même, auquel on ne s'attendait pas (il y avait encore de la musique... On sent qu'on est vraiment trop habitué aux autres jumpscares silencieux) : "le mec à la fenêtre", qui a fait bondir la salle entière, s'étouffer en criant quelques vieilles dames, et m'a subjectivement fait secouer les mains spasmodiquement. Un grand moment de communion dans la salle. En revanche, on a été franchement déçu par la facilité de la fin, qui laisse tomber tout le mystère pour plonger dans le film de super-héros à hauteur d'enfant "au pouvoir bébête", qui dénote avec le reste. Les effets spéciaux de cette scène ne suivent pas, la résolution facile n'apporte aucune explication, et on ne sait rien de l'avenir du petit garçon et de sa mère... Dommage, car jusque-là Ogre nous avait vraiment plu, mais la fin très simple nous a laissé un goût d'inachevé. Ce qui ne nous a pas empêché d'adorer le casting, les effets sonores, et la mise en scène terrifique à l'ancienne très réussie.
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