Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Un film qui joue magistralement de l'image et des sons, des tensions et de la suggestion.
20 Minutes
par Caroline Vié
La menace de plus en plus lourde entourant une héroïne au passé chargé constitue un atout majeur pour un conte qui délaisse le gore au profit d’une atmosphère oppressante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Surtout, en affectant le petit héros de l’histoire de surdité, Ogre joue de l’enfermement, d’un climat anxiogène, et transforme l’angoisse en véritable expérience sensorielle. Le spectateur aussi a peur, du noir, du bruit, du monde, de tous les ogres.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un conte troublant et oppressant.
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Une fable touchante, un récit aux frontières du surnaturel tissé par la patte délicate d’Arnaud Malherbe, et un film qui fait penser tantôt à Shyamalan, tantôt à Stephen King et rappellera à certains l’ambiance du film Paperhouse, qui jouait l’un aussi sur le fantastique et les perceptions inhérentes à l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Arnold Petit
Arnaud Malherbe livre ici une proposition de fantastique français comme notre cinéma hexagonal en a grand besoin.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec Ogre , Arnaud Malherbe évite la copie standard du film de genre, le conte fantastique horrifique normalisé, pour explorer plus profondément la manière dont grandissent les peurs, la vulnérabilité, l’inquiétude dans l’enfance.
Mad Movies
par Laurent Duroche
Si le film ne soulèvera pas l'enthousiasme d'un public accro au spectaculaire [...] et ne tente jamais de révolutionner sa matière dramatique, la façon très attentionnée qu'il a de revisiter ses tropes afin de leur conférer une noblesse perdue en fait toute la préciosité.
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Entre drame familial et conte horrifique, Arnaud Malherbe signe un premier film qui ne manque pas de charme.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Malgré les imperfections du scénario, le charme agit grâce à la beauté formelle et sensorielle de ce film singulier, qui doit aussi au jeu ultra-sensible des comédiens.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Un conte fantastique habilement mis en scène, qui nous fait replonger dans nos terreurs enfantines.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Film social et rural, d'accord, mais surtout histoire d'épouvante racontée à travers les yeux d'un enfant malentendant. Surprenant.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est vrai, l’allégorie est parfois appuyée, mais la tension se révèle dévorante !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Un premier film d'atmosphère très classique, au final décevant, mais dont Ana Girardot ressort grandie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’atmosphère visuelle cauchemardesque et sonore dans l’esprit de Sans un bruit (2018) dénonce la maltraitance et fait oublier un scénario fragile, qui s’étire un peu.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans Ogre, Arnaud Malherbe met en scène une histoire fiévreuse qui flirte avec le fantastique pour mieux sonder les zones d’ombre psychologiques de ses personnages. Résultat honorable.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Sylvestre Picard
Et Ogre finit par trouver sa singularité : d’accord, c’est sérieux comme pas deux, la fin est trop joyeuse pour être honnête et la narration est vraiment brisée entre les deux protagonistes… Mais Arnaud Malherbe parvient à forger une jolie ambiance de cauchemar enfantin rural (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le jeune acteur Giovanni Pucci, frêle et fort, a l’art de nous embarquer avec lui pour affronter ses démons, et accomplir lui aussi un passage, vers l’âge adulte, à pas de géant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Figurer une tension entre le visible et l’invisible, dévoiler touche par touche une menace, ouvrir une brèche dans un cadre réaliste pour matérialiser les pulsions et peurs enfouies. Tous ces éléments sont présents dans Ogre, mais ne paraissent guère investis.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Film maladroit mais qui a tout de même pour lui le charme de la candeur, Ogre est donc surtout une œuvre frustrante comme une promesse non tenue, substituant finalement à l'enjeu sensitif et esthétique propre au fantastique la nécessité ici essoufflée de faire sens.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Presque jamais maître de ses effets, handicapé par une écriture défaillante et une mythologie vaporeuse, Ogre ne dévorera que vos maigres espoirs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L'approche d'Arnaud Malherbe manque de séduction et d'atmosphère. Il s’en tient à la mise en images réaliste d’un village rural, auquel s’ajoute le mystère d’une forêt interdite. Le fantastique nécessite ce réalisme pour être crédible, mais il manque ici de personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Enième tentative de fantastique à la française, ce premier long-métrage lorgne les contes sur l’enfance meurtrie à la Guillermo del Toro ou Juan Antonio Bayona. Mais la photo et le cadre promettent davantage que le film, sclérosé par un scénario rachitique, des personnages esquissés au gros feutre et un imaginaire absent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
À la lisière du fantastique, le film d’Arnaud Malherbe revisite intelligemment le mythe de l’ogre à travers les traumas d’un enfant mais joue maladroitement avec les codes du genre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce premier film pour le grand écran d’Arnaud Malherbe relance l’hypothèse d’un fantastique français, y faisant miroiter des peurs qui concernent autant l’exode rural que le spectre domestique d’une paternité abusive. Mais la peur est une ingénierie de haute précision, et Ogre en manque pour faire mouche (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Le film a-t-il pâti du Covid, qui a interrompu durant plusieurs mois son tournage ? Toujours est-il que le résultat ne fait jamais peur, un comble quand même pour une œuvre fantastique portant un tel titre !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Puisant dans l’univers du conte et des terreurs nocturnes enfantines pour évoquer métaphoriquement une sombre réalité, ce premier long métrage entretient un suspense forcé et se donne beaucoup de mal pour faire naître une poésie qui, toujours, lui échappe.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Rouyer
Face à des situations trop prévisibles, le mystère autour de l’existence dans les bois d’un ogre qui s’en prendrait aux enfants fait long feu.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ana Girardot incarne une institutrice de village dans un conte poético-fantastique signé Arnaud Malherbe.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si l’idée d’un monstre qui constitue la métaphore des violences intrafamiliales, est intéressante, le traitement du film aurait gagné en intensité avec moins de longueurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Ogre est inopérant sur les deux tableaux : autant sur la description sociologique des violences et la rivalité d’une certaine ruralité que sur l’écriture du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Voici
Un film qui joue magistralement de l'image et des sons, des tensions et de la suggestion.
20 Minutes
La menace de plus en plus lourde entourant une héroïne au passé chargé constitue un atout majeur pour un conte qui délaisse le gore au profit d’une atmosphère oppressante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Surtout, en affectant le petit héros de l’histoire de surdité, Ogre joue de l’enfermement, d’un climat anxiogène, et transforme l’angoisse en véritable expérience sensorielle. Le spectateur aussi a peur, du noir, du bruit, du monde, de tous les ogres.
Femme Actuelle
Un conte troublant et oppressant.
Filmsactu
Une fable touchante, un récit aux frontières du surnaturel tissé par la patte délicate d’Arnaud Malherbe, et un film qui fait penser tantôt à Shyamalan, tantôt à Stephen King et rappellera à certains l’ambiance du film Paperhouse, qui jouait l’un aussi sur le fantastique et les perceptions inhérentes à l’enfance.
L'Ecran Fantastique
Arnaud Malherbe livre ici une proposition de fantastique français comme notre cinéma hexagonal en a grand besoin.
Le Dauphiné Libéré
Avec Ogre , Arnaud Malherbe évite la copie standard du film de genre, le conte fantastique horrifique normalisé, pour explorer plus profondément la manière dont grandissent les peurs, la vulnérabilité, l’inquiétude dans l’enfance.
Mad Movies
Si le film ne soulèvera pas l'enthousiasme d'un public accro au spectaculaire [...] et ne tente jamais de révolutionner sa matière dramatique, la façon très attentionnée qu'il a de revisiter ses tropes afin de leur conférer une noblesse perdue en fait toute la préciosité.
Marie Claire
Entre drame familial et conte horrifique, Arnaud Malherbe signe un premier film qui ne manque pas de charme.
Télé 7 Jours
Malgré les imperfections du scénario, le charme agit grâce à la beauté formelle et sensorielle de ce film singulier, qui doit aussi au jeu ultra-sensible des comédiens.
Télé Loisirs
Un conte fantastique habilement mis en scène, qui nous fait replonger dans nos terreurs enfantines.
CinemaTeaser
Film social et rural, d'accord, mais surtout histoire d'épouvante racontée à travers les yeux d'un enfant malentendant. Surprenant.
La Voix du Nord
C’est vrai, l’allégorie est parfois appuyée, mais la tension se révèle dévorante !
Le Figaro
Un premier film d'atmosphère très classique, au final décevant, mais dont Ana Girardot ressort grandie.
Le Journal du Dimanche
L’atmosphère visuelle cauchemardesque et sonore dans l’esprit de Sans un bruit (2018) dénonce la maltraitance et fait oublier un scénario fragile, qui s’étire un peu.
Marianne
Dans Ogre, Arnaud Malherbe met en scène une histoire fiévreuse qui flirte avec le fantastique pour mieux sonder les zones d’ombre psychologiques de ses personnages. Résultat honorable.
Première
Et Ogre finit par trouver sa singularité : d’accord, c’est sérieux comme pas deux, la fin est trop joyeuse pour être honnête et la narration est vraiment brisée entre les deux protagonistes… Mais Arnaud Malherbe parvient à forger une jolie ambiance de cauchemar enfantin rural (...).
Télérama
Le jeune acteur Giovanni Pucci, frêle et fort, a l’art de nous embarquer avec lui pour affronter ses démons, et accomplir lui aussi un passage, vers l’âge adulte, à pas de géant.
Cahiers du Cinéma
Figurer une tension entre le visible et l’invisible, dévoiler touche par touche une menace, ouvrir une brèche dans un cadre réaliste pour matérialiser les pulsions et peurs enfouies. Tous ces éléments sont présents dans Ogre, mais ne paraissent guère investis.
Culturopoing.com
Film maladroit mais qui a tout de même pour lui le charme de la candeur, Ogre est donc surtout une œuvre frustrante comme une promesse non tenue, substituant finalement à l'enjeu sensitif et esthétique propre au fantastique la nécessité ici essoufflée de faire sens.
Ecran Large
Presque jamais maître de ses effets, handicapé par une écriture défaillante et une mythologie vaporeuse, Ogre ne dévorera que vos maigres espoirs.
Franceinfo Culture
L'approche d'Arnaud Malherbe manque de séduction et d'atmosphère. Il s’en tient à la mise en images réaliste d’un village rural, auquel s’ajoute le mystère d’une forêt interdite. Le fantastique nécessite ce réalisme pour être crédible, mais il manque ici de personnalité.
L'Obs
Enième tentative de fantastique à la française, ce premier long-métrage lorgne les contes sur l’enfance meurtrie à la Guillermo del Toro ou Juan Antonio Bayona. Mais la photo et le cadre promettent davantage que le film, sclérosé par un scénario rachitique, des personnages esquissés au gros feutre et un imaginaire absent.
La Croix
À la lisière du fantastique, le film d’Arnaud Malherbe revisite intelligemment le mythe de l’ogre à travers les traumas d’un enfant mais joue maladroitement avec les codes du genre.
Le Monde
Ce premier film pour le grand écran d’Arnaud Malherbe relance l’hypothèse d’un fantastique français, y faisant miroiter des peurs qui concernent autant l’exode rural que le spectre domestique d’une paternité abusive. Mais la peur est une ingénierie de haute précision, et Ogre en manque pour faire mouche (...).
Le Parisien
Le film a-t-il pâti du Covid, qui a interrompu durant plusieurs mois son tournage ? Toujours est-il que le résultat ne fait jamais peur, un comble quand même pour une œuvre fantastique portant un tel titre !
Les Fiches du Cinéma
Puisant dans l’univers du conte et des terreurs nocturnes enfantines pour évoquer métaphoriquement une sombre réalité, ce premier long métrage entretient un suspense forcé et se donne beaucoup de mal pour faire naître une poésie qui, toujours, lui échappe.
Positif
Face à des situations trop prévisibles, le mystère autour de l’existence dans les bois d’un ogre qui s’en prendrait aux enfants fait long feu.
Sud Ouest
Ana Girardot incarne une institutrice de village dans un conte poético-fantastique signé Arnaud Malherbe.
aVoir-aLire.com
Si l’idée d’un monstre qui constitue la métaphore des violences intrafamiliales, est intéressante, le traitement du film aurait gagné en intensité avec moins de longueurs.
Les Inrockuptibles
Ogre est inopérant sur les deux tableaux : autant sur la description sociologique des violences et la rivalité d’une certaine ruralité que sur l’écriture du fantastique.