AlloCiné
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Votre avis sur Le Bal Des Folles ?
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J'ai mis ce film au hasard sur prime et je suis scotchée.
Très beau film, très bien scénarisé.
Il prend vraiment au tripe.
Superbe.
Très beau film, très bien scénarisé.
Il prend vraiment au tripe.
Superbe.
Je ne saurais pas dire si j'apprécie ce film, je n'ai pas assez de recul, alors que j'ai su quasi instantanément, en les voyant, que j'ai aimé la plupart des films liés au nom de Mélanie Laurent, qu'elle en soit réalisatrice ou bien simplement actrice, et je ne saurais pas non plus dire si je trouve le film intéressant.
Par contre, ce qui est certain, c'est que c'est un film assez dur car mettant en images des choses très difficiles:
C'est dur de voir à quel point les femmes que l'on considérait comme folles, c'est le terme, étaient maltraitées, de quelles façons et dans quelles conditions, et c'est sidérant de voir, même si je ne suis pas spécialiste de la question, les "traitements" qu'on leur infligeait, qui, de façon assez évidente, n'avaient pas la possibilité de les soigner (si tant est qu'elles avaient besoin d'être soignées): La torture ne permet en aucun cas de guérir.
Je suppose que, la bande-annonce du film étant passée et passant encore dans de nombreux cinémas, avant les films, à répétition, et au vu de ce que je viens d'écrire, vous aurez une idée de la teneur du Bal Des Folles, alors je vous invite à aller vous faire votre propre avis si vous êtes curieuses/curieux.
J'ai tout de même hâte de voir les prochains projets dans lesquels Mélanie Laurent est/sera impliquée, puisque jusqu'à présent, je n'ai jamais été déçu par son travail, y compris en ce qui concerne Le Bal Des Folles, contre lequel je n'ai rien. Je pense que c'est chose normale et évidente de ne pas entrer dans chaque film, série, œuvre que l'on voit, car en tant que spectateurs on ne peut se sentir concerné par chaque œuvre, au vu de leur multitude: Il y en a forcément qui sont trop éloignées de notre sensibilité. Je vous écrivais plus haut que je vous invite à aller vous faire votre propre avis, puisque le film peut intéresser certaines/certains, chacun sa sensibilité, et si je ne suis pas entré dedans, je dois reconnaître que, outre les choses assez difficiles qu'il illustre, il se finit sur une belle touche d'humanité que je trouve remarquable, et comporte certains moments de beauté, au détour de certains échanges entre le personnage d'Eugénie et celui de Geneviève.
Instagram: @passion.culture
Par contre, ce qui est certain, c'est que c'est un film assez dur car mettant en images des choses très difficiles:
C'est dur de voir à quel point les femmes que l'on considérait comme folles, c'est le terme, étaient maltraitées, de quelles façons et dans quelles conditions, et c'est sidérant de voir, même si je ne suis pas spécialiste de la question, les "traitements" qu'on leur infligeait, qui, de façon assez évidente, n'avaient pas la possibilité de les soigner (si tant est qu'elles avaient besoin d'être soignées): La torture ne permet en aucun cas de guérir.
Je suppose que, la bande-annonce du film étant passée et passant encore dans de nombreux cinémas, avant les films, à répétition, et au vu de ce que je viens d'écrire, vous aurez une idée de la teneur du Bal Des Folles, alors je vous invite à aller vous faire votre propre avis si vous êtes curieuses/curieux.
J'ai tout de même hâte de voir les prochains projets dans lesquels Mélanie Laurent est/sera impliquée, puisque jusqu'à présent, je n'ai jamais été déçu par son travail, y compris en ce qui concerne Le Bal Des Folles, contre lequel je n'ai rien. Je pense que c'est chose normale et évidente de ne pas entrer dans chaque film, série, œuvre que l'on voit, car en tant que spectateurs on ne peut se sentir concerné par chaque œuvre, au vu de leur multitude: Il y en a forcément qui sont trop éloignées de notre sensibilité. Je vous écrivais plus haut que je vous invite à aller vous faire votre propre avis, puisque le film peut intéresser certaines/certains, chacun sa sensibilité, et si je ne suis pas entré dedans, je dois reconnaître que, outre les choses assez difficiles qu'il illustre, il se finit sur une belle touche d'humanité que je trouve remarquable, et comporte certains moments de beauté, au détour de certains échanges entre le personnage d'Eugénie et celui de Geneviève.
Instagram: @passion.culture
Quel dommage que ce film très réussi ne soit pas en salle de cinéma..... A quoi bon faire des reconstitutions d'époque pour un petit écran......Mélanie Laurent dont j'aime particulièrement les réalisations..... j'espère voir votre prochain film sur grand écran. Merci et vive le cinéma en salle .
Un sentiment d’humanité et d’injustice parcourt le “Bal des Folles”. La vérité n’est pas discutable et qui se méprend à penser hors des sentiers battus se verra méprisé de tout et pris pour un fou…ou pour une folle, car il s’agit dans ce long-métrage uniquement de maux féminins. Dans un monde où le dogme religieux est roi, il n’y a pas de place pour la liberté d’expression, pour l’ouverture d’esprit. Le film joue donc sur deux tableaux : où la folie commence t-elle ainsi que la place des femmes dans une époque qui ne les considère peu ou pas. Le second point est sûrement quelque chose qu’a voulu souligner Mélanie Laurent. Dans son ensemble, c’est une œuvre cohérente avec une forme très soignée. Se retrouver parmi ces “folles” a finalement quelque chose d’agréable et de spontané. On remarque que la plupart d’entre elles ont été abusées moralement et/ou sexuellement pour en arriver là. C’est le cas de Louise (Lomane De Dietrich) qui est devenue “hystérique” à la suite d’abus par son oncle. Sa tante l’a donc fait interner pour éviter toute accusation. Mais au nom de quoi est-elle vraiment folle ? Au-delà de la folie de certains hommes qui préfèrent se cacher derrière un argumentaire pour profiter de la situation. Je pense notamment à ce jeune homme bras droit du Dr Charcot qui abusera jusqu’à la fin de Louise, par son insouciance et son handicap. Bref, on ressent l’injustice de bout en bout, la réalisation le souligne très bien, le film est réussi. Note : Un Ernest (César Domboy) qu’on regrettera de ne pas voir réapparaître par la suite, sûrement car ce n’était pas l’enjeu du film.
Connaissant le passé sinistre de La Pitié, je voulais voir ce que Mélanie Luarent en avait tiré... Je ne suis pas décue! Quel grand film. Prendre comme point de départ l'idée d'Eugénie qui communique avec les défunts était culotté mais tellemnt bien trouvé. Franchement, cette jeune fille faisait tache dans la belle société! Donc, hop, papa décide, la place d'Eugénie est avec avec les folles ( merci le patriarcat) ... Tellement simple. La violence de cet univers est terrifiant. La suffisance des médecins enfin surtout du "Maître" est écoeurante sans même parler des pseudo traitements "administrés" ou plutôt des tortures dignes d'un Mengele.
Comme bien évidemment plus on dit que l'on n'est pas "fou", moins on vous croit (ce qui est toujours valable de nos jours, soyons clairs!), le destin de toutes ces femmes aux vies fracassées pour diverses raisons était de se retrouver internées. Pour le coup, il y avait de quoi devenir dingue...La grande bourgeoisie venait ainsi se donner des frissons et s'encanailler au Bal des folles Merci Mélanie Laurent pour ce film violent, subtil, tendre, émouvant sur un sujet qui est resté tu bien longtemps avec une distribution impeccable.
Comme bien évidemment plus on dit que l'on n'est pas "fou", moins on vous croit (ce qui est toujours valable de nos jours, soyons clairs!), le destin de toutes ces femmes aux vies fracassées pour diverses raisons était de se retrouver internées. Pour le coup, il y avait de quoi devenir dingue...La grande bourgeoisie venait ainsi se donner des frissons et s'encanailler au Bal des folles Merci Mélanie Laurent pour ce film violent, subtil, tendre, émouvant sur un sujet qui est resté tu bien longtemps avec une distribution impeccable.
Magnifique et poignant , Mélanie Laurent est une actrice de talent mais se révèle être également une excellente réalisatrice. L émotion monte en crescendo , et la tension est de plus en plus palpable. J avais lu le livre que j avais apprécié, mais j avoue avoir préféré le film , avec ses actrices si belles et qui ont su transmettre leur souffrance leurs espoirs et désespoirs. Les quelques différences avec le livre ne m ont pas gênée , bien au contraire, je trouve qu elles ont servi l histoire.
Avant nous avions de superbes actrices la classe a la française avec souvent une profondeur nous pouvions rêvé un peu ce qui est me semble-t-il le rôle du cinéma comme son nom l'indique,et roulement de tambour aujourd'hui le cinéma français est divisé en deux castes,les racailleux racailleuse à rendre son déjeuner l'hymne au wesh wesh sans cerveaux caricatural mal écrit bref,et de l'autre des acteurs et actrices gauchos moches inexpressif qui joue mal aucune profondeur crédible,mais là on atteint un niveau de laideurs de c'est actrices un film du molasse incroyable y'a absolument rien si ce n'est a acheté un anti vomitif surpuissant, après les omard cuits les Pierres ninet d'une laideur odieuse pour les rôles qu'il incarne bref le cinéma français est devenue le plus nul de l'univers observable,ou sont nos grand maître nos petits films drôle émouvant touchant avec d'imence acteurs,t'imagine les Villeret les Depardieu les anémone même les bidasses était des films magnifique même la soupe au choux les gendarmes les tchao Pantin les la grande vadrouille papy fait de la résistance les Rabi Jacob les une époque formidable les la chèvre et d'autre films plus intimistes mais servi par de vrai acteurs,c'est exactement la même chose dans le foot des racailleux Guignol au cheveux rose et dans le rap des racailleux au cheveux rose à la télé des Guignol sans cheveux,y'a plus d'idée plus d'inspirations,imagine des films étrange a Petit budget comme reclu ou le bar ou bien d'autres qui sont des perles magnifique et nous c'est omard cuit et Mélanie doutey,tu vois les physique et le talent c'est niveau promotion chez Lidl sur des produits périmés c'est atrocement inesthétique pas crédible mal joué mal écrit une perte de temps abyssal,l'étoile c'est juste pour la qualité de certains plan je trouve que de ce niveau ça vaut un sinon même musical c'est nul bref une purge
Belle réalisation!
Je m'attendais pas à être bluffée à dire vrai (bien que le résumé me plaisait bien).
Emportée du début à la fin, autant par la mise en scène que par le scénario et bien évidemment par le charisme de tous les personnages.
Une vraie émotion, une vraie force de caractère émanent de chacun des acteurs, ce film en impose par "sa juste sincérité".
Je m'attendais pas à être bluffée à dire vrai (bien que le résumé me plaisait bien).
Emportée du début à la fin, autant par la mise en scène que par le scénario et bien évidemment par le charisme de tous les personnages.
Une vraie émotion, une vraie force de caractère émanent de chacun des acteurs, ce film en impose par "sa juste sincérité".
exellent film. scénario bluffant, acrices de tallent, robes traditionnel magnifique, personnage attachante, ambiance d'époque et mise en scène exellente. ont est plongé dans un monde d'asille psychatrique d'époque qui remplace les accusation a tord de sorcellerie. un combats de nombreuses filles jugé folles a tord qui dovent prouver qu'elles sont saines d'esprit, époque de croyances en la science et un tout début de monde moderne.
Yves G.
À la fin du dix-neuvième siècle, Eugénie Cléry (Lou de Laâge) est une jeune fille de la haute bourgeoisie parisienne dont les parents collets montés n’apprécient guère les foucades féministes. Quand Eugénie prétend communiquer avec les esprits, ils la placent à l’asile de la Salpêtrière dans le service du docteur Charcot qui met en oeuvre des méthodes révolutionnaires pour soigner l’aliénation mentale. Terrifiée par son nouvel environnement, Eugénie apprend à connaître les autres convalescentes. Elle supplie qu’on la libère et révèle ses dons à Geneviève, l’infirmière en chef (Mélanie Laurent).
Il ne faisait guère de doute que le roman de Victoria Mas (la fille de), gros succès de la rentrée littéraire 2019, serait promptement porté à l’écran. Il possédait en effet toutes les qualités d’une oeuvre cinématographique : un sujet en or (le sort des aliénées à la fin du dix-neuvième siècle), des personnages bien trempées (la pure Eugénie, la menaçante Geneviève…), une histoire riche en rebondissements qui s’achève dans une folle bacchanale, digne des tableaux enfiévrés de James Ensor.
Quelques mois à peine après la sortie du livre, le projet de Mélanie Laurent était déjà sur les rails avec une brillante distribution. Mélanie Laurent elle-même interprèterait le rôle de Geneviève ; la jeune Lou de Laâge, éternel espoir du cinéma français, jouerait celui d’Eugénie. Les deux héroïnes seraient entourées de seconds rôles prestigieux : André Marcon (qu’on vient de voir dans "Illusions perdues" et dans "Boîte noire"), Emmanuelle Bercot, le jeune Benjamin Voisin (Lucien de Rubempré dans l’adaptation de Balzac), Valérie Stroh (qui m’enflammait quand elle était jeune et jouait dans les films de René Féret)…
Gaumont aurait dû le produire, mais y renonça. Amazon, qui poursuit sa stratégie d’expansion mondiale, le reprit en chemin et en fit le porte-étendard de sa chaine de VOD pour un lancement à grands frais en septembre dernier, loin hélas des salles de cinéma où cette oeuvre-là aurait eu pourtant sa place.
C’est pitié en effet de regarder sur son ordinateur ou, pire, sur sa tablette, ce film en costumes qui utilise l’hôpital de la Marine de Rochefort pour reconstituer la Salpêtrière. Tout y est léché dans la reconstitution de la France de la Troisième République, depuis la foule qui se presse au Panthéon pour l’enterrement de Victor Hugo jusqu’à ces culs de basse-fosse où l’on cantonnait les malheureuses aliénées et où on les soumettait aux pires expérimentations.
Charcot y voit son étoile écornée, au mépris d’ailleurs de la réalité historique. De ce point de vue, le film "Augustine" d’Alice Winocour (2012) où Vincent Lindon interprétait le rôle du grand neurologue était plus convaincant.
Comme dans les grands romans du dix-neuvième siècle – on pense beaucoup à Zola en lisant "Le Bal des folles" ou en en regardant l’adaptation, ce qui est plus un éloge qu’un reproche – l’oeuvre est manichéenne, les rebondissements parfois téléphonés (on imagine mal comment M. Cléry décide d’abandonner sans espoir de retour sa fille à l’asile et on ne dira rien du dénouement pas vraiment crédible). Tout est un peu trop prévisible dans une histoire cousue de fil blanc.
Autre reproche : le sort misérable des aliénées aurait gagné à être incarné, non pas par une jeune bourgeoise dotée de dons extra-lucides, sorte de "Superwoman" dans les chaînes, mais au contraire par une femme ordinaire comme l’était l’héroïne du film d’Alice Winocour.
Il ne faisait guère de doute que le roman de Victoria Mas (la fille de), gros succès de la rentrée littéraire 2019, serait promptement porté à l’écran. Il possédait en effet toutes les qualités d’une oeuvre cinématographique : un sujet en or (le sort des aliénées à la fin du dix-neuvième siècle), des personnages bien trempées (la pure Eugénie, la menaçante Geneviève…), une histoire riche en rebondissements qui s’achève dans une folle bacchanale, digne des tableaux enfiévrés de James Ensor.
Quelques mois à peine après la sortie du livre, le projet de Mélanie Laurent était déjà sur les rails avec une brillante distribution. Mélanie Laurent elle-même interprèterait le rôle de Geneviève ; la jeune Lou de Laâge, éternel espoir du cinéma français, jouerait celui d’Eugénie. Les deux héroïnes seraient entourées de seconds rôles prestigieux : André Marcon (qu’on vient de voir dans "Illusions perdues" et dans "Boîte noire"), Emmanuelle Bercot, le jeune Benjamin Voisin (Lucien de Rubempré dans l’adaptation de Balzac), Valérie Stroh (qui m’enflammait quand elle était jeune et jouait dans les films de René Féret)…
Gaumont aurait dû le produire, mais y renonça. Amazon, qui poursuit sa stratégie d’expansion mondiale, le reprit en chemin et en fit le porte-étendard de sa chaine de VOD pour un lancement à grands frais en septembre dernier, loin hélas des salles de cinéma où cette oeuvre-là aurait eu pourtant sa place.
C’est pitié en effet de regarder sur son ordinateur ou, pire, sur sa tablette, ce film en costumes qui utilise l’hôpital de la Marine de Rochefort pour reconstituer la Salpêtrière. Tout y est léché dans la reconstitution de la France de la Troisième République, depuis la foule qui se presse au Panthéon pour l’enterrement de Victor Hugo jusqu’à ces culs de basse-fosse où l’on cantonnait les malheureuses aliénées et où on les soumettait aux pires expérimentations.
Charcot y voit son étoile écornée, au mépris d’ailleurs de la réalité historique. De ce point de vue, le film "Augustine" d’Alice Winocour (2012) où Vincent Lindon interprétait le rôle du grand neurologue était plus convaincant.
Comme dans les grands romans du dix-neuvième siècle – on pense beaucoup à Zola en lisant "Le Bal des folles" ou en en regardant l’adaptation, ce qui est plus un éloge qu’un reproche – l’oeuvre est manichéenne, les rebondissements parfois téléphonés (on imagine mal comment M. Cléry décide d’abandonner sans espoir de retour sa fille à l’asile et on ne dira rien du dénouement pas vraiment crédible). Tout est un peu trop prévisible dans une histoire cousue de fil blanc.
Autre reproche : le sort misérable des aliénées aurait gagné à être incarné, non pas par une jeune bourgeoise dotée de dons extra-lucides, sorte de "Superwoman" dans les chaînes, mais au contraire par une femme ordinaire comme l’était l’héroïne du film d’Alice Winocour.
On a toujours le droit d’apprécier ou pas mais être objectif est très "compliqué "
Pour ce qui me concerne : un grand coup de chapeau à Mélanie Laurent pour avoir travaillé ce sujet avant 2020 et 2021
Y a vraiment des hommes néandertaliens
Pour ce qui me concerne : un grand coup de chapeau à Mélanie Laurent pour avoir travaillé ce sujet avant 2020 et 2021
Y a vraiment des hommes néandertaliens
Intense. Très intense. Le personnage d'Eugénie est beau et grave .
La période à l hospice nous en apprend sur les conditions des malades à l époque.
Dur . Très dur.
Le bal. Un bal de l horreur. Les innocents fassent aux mains des puissants.
La délivrance. Une dernière lettre. Des mots légers...
La liberté.
Magnifique.
La période à l hospice nous en apprend sur les conditions des malades à l époque.
Dur . Très dur.
Le bal. Un bal de l horreur. Les innocents fassent aux mains des puissants.
La délivrance. Une dernière lettre. Des mots légers...
La liberté.
Magnifique.
Aprés avoir lu le livre, je dois dire que je suis fortement déçue de son adaptation cinématographique.
Pour commencer, le film est trop lent, donc bien trop long.
Il y a également des "scènes" du livre qui devaient être présentées, et qui ont été omises.
Des scènes qui ont été ajoutées, mais qui n'étaient pas nécessaires.
Par exemple : Dans le livre la scène familiale est bien plus pesante, elle démontre clairement le manque d'estime du père d'Eugénie à son égard de par sa condition féminine.
Ou encore, la grand mère d'Eugénie qui l'a dénonce.
Ou la scène, dans laquelle, le médecin lui demande ce qu'elle a :
Dans le livre, cela semble être une salle silencieuse où des femmes parle chacune leur tour devant un public d'homme, ce qui donne plus de puissance au passage.
Malheureusement, ces passages importants à mon sens ne figurent pas ou ne sont pas assez travaillés dans le film.
A contrario des passages, concernant les traitements n'étaient pas nécessaires.
Le film a été réalisé en grande partie autour des mauvais traitements subient par les femmes dans cet hôpital.
Pour moi il s'agit d'un léger hors sujet.
Car, le livre parle en partie des mauvais traitements fait aux femmes par des hommes, à l'hôpital, mais aussi dans la vie de tous les jours.
Selon ma compréhension, la douleur physique est en second plan, il est plus question de démontrer le pouvoir des hommes, par leurs decisions, leurs actes, leurs avis, leur ignorance, leur hypocrisie, leur voyeurisme, et par le caractère des personnages.
Ce qui m'emmène à un autre point, l'interprétation des personnages, même problème que précédemment évoqué, des personnages qui ont été effacés au détriment d'autres.
Un jeu d'acteur parfois surjoué, ou vide d'interprétation.
Par exemple : Les "apparitions d'esprits" semblaient plus naturelles dans le livre; éreintant pour Eugénie mais moins spectaculaire que dans le film.
Le bal (le film s'appelle quand même le bal des folles) n'est pas plus travaillé alors que dans le livre dès le début, elles œuvrent pour le bon déroulement du bal et semblent bien plus exitées, de plus cet evenement est révélateur de l'état d'esprit voyeuriste, hypocrite pour les uns et libérateur, sincère pour les autres.
La notion de folie (qui est fou ou qui ne l'est pas) n'est pas plus travaillé, je reviens sur les personnages mais, dans le livre beaucoup ne semblent pas si folles que ça, elles semblent surtout être des femmes qui ont été abusées, violentées, trahies par des hommes et qui sont soignées par des hommes.
Bref une déception totale...
Je met deux étoiles, car les décors, les costumes, les plans et la musique sont beaux.
Mais franchement nul, un téléfilm de dimanche après midi quoi.
Pour commencer, le film est trop lent, donc bien trop long.
Il y a également des "scènes" du livre qui devaient être présentées, et qui ont été omises.
Des scènes qui ont été ajoutées, mais qui n'étaient pas nécessaires.
Par exemple : Dans le livre la scène familiale est bien plus pesante, elle démontre clairement le manque d'estime du père d'Eugénie à son égard de par sa condition féminine.
Ou encore, la grand mère d'Eugénie qui l'a dénonce.
Ou la scène, dans laquelle, le médecin lui demande ce qu'elle a :
Dans le livre, cela semble être une salle silencieuse où des femmes parle chacune leur tour devant un public d'homme, ce qui donne plus de puissance au passage.
Malheureusement, ces passages importants à mon sens ne figurent pas ou ne sont pas assez travaillés dans le film.
A contrario des passages, concernant les traitements n'étaient pas nécessaires.
Le film a été réalisé en grande partie autour des mauvais traitements subient par les femmes dans cet hôpital.
Pour moi il s'agit d'un léger hors sujet.
Car, le livre parle en partie des mauvais traitements fait aux femmes par des hommes, à l'hôpital, mais aussi dans la vie de tous les jours.
Selon ma compréhension, la douleur physique est en second plan, il est plus question de démontrer le pouvoir des hommes, par leurs decisions, leurs actes, leurs avis, leur ignorance, leur hypocrisie, leur voyeurisme, et par le caractère des personnages.
Ce qui m'emmène à un autre point, l'interprétation des personnages, même problème que précédemment évoqué, des personnages qui ont été effacés au détriment d'autres.
Un jeu d'acteur parfois surjoué, ou vide d'interprétation.
Par exemple : Les "apparitions d'esprits" semblaient plus naturelles dans le livre; éreintant pour Eugénie mais moins spectaculaire que dans le film.
Le bal (le film s'appelle quand même le bal des folles) n'est pas plus travaillé alors que dans le livre dès le début, elles œuvrent pour le bon déroulement du bal et semblent bien plus exitées, de plus cet evenement est révélateur de l'état d'esprit voyeuriste, hypocrite pour les uns et libérateur, sincère pour les autres.
La notion de folie (qui est fou ou qui ne l'est pas) n'est pas plus travaillé, je reviens sur les personnages mais, dans le livre beaucoup ne semblent pas si folles que ça, elles semblent surtout être des femmes qui ont été abusées, violentées, trahies par des hommes et qui sont soignées par des hommes.
Bref une déception totale...
Je met deux étoiles, car les décors, les costumes, les plans et la musique sont beaux.
Mais franchement nul, un téléfilm de dimanche après midi quoi.
Quel magnifique film et quel dommage qu'il n'est pas été diffusé au cinéma, il méritait un grand écran. Ce long métrage permet d'en apprendre davantage sur la médecine du 19e siècle et le sort horrible qu'était réservé à ces femmes. De belles musiques, une superbe photographie et évidemment de très bons acteurs.
Une belle écriture, d'excellents jeux d'actrices, une belle reconstitution d'époque. J'ai aimé visionner ce film qui m'a transportée dans un autre temps. Un drame lent, beau, intéressant, où l'intrigue est plantée dans le décor froid et austère du monde psychiatrique de la fin du XIXème siècle, où les femmes servaient de cobayes aux médecins de l'équipe du Dr Charcot lors de ses leçons cliniques.
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