Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
D’apparence aride, "Un printemps à Hong Kong" séduit par sa douceur, sa délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Subtil, ce film hongkongais nous embarque dans la douceur de son sillage et le militantisme de son propos.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Cette chronique d'un amour impossible est bouleversante de pudeur.
Positif
par Yann Tobin
Une grande part de la réussite du film repose sur les deux comédiens, seconds rôles vétérans du cinéma de genre, dont le jeu retenu s’accorde à la répression affective des personnages.
Transfuge
par Romane Carrière
Le film émeut d’abord par sa représentation frontale, mais non voyeuriste, d’une relation amoureuse et sexuelle entre deux personnes âgées et gays. Mais il interroge aussi : comment bien vieillir, qui plus est lorsqu’on sort du schéma hétéronormé ?
Télérama
par Hélène Marzolf
Un beau drame romantique, à la fois solaire et subtilement cruel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Cinéma minimaliste, dans l’air du temps, un peu fleur bleue, limite doucereux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit très triste sur l’acceptation de soi, qui choisit la pudeur pour exprimer une existence de mensonges et de regrets.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Ce film en demi-teinte explore plusieurs sujets à la fois, s'attarde sur la solitude consécutive à l'appartenance à une minorité sexuelle tout autant qu'au vieillissement.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Ray Yeung examine le repli sur soi à l’heure de la vieillesse avec sensibilité et clairvoyance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Une infinie délicatesse entoure chaque plan de ce long métrage, d’une sensibilité inouïe et incroyablement poignant dans sa manière de raconter une passion qu’on sent vouée à ne jamais se déployer tel que ces deux hommes voudraient qu’elle le soit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Pierre Gracel
Ces pauses esthétisantes ne contribuent en rien à l’intrigue ni à l’émergence d’une quelconque émotion ; elles relèvent au fond d’un remplissage, entre les quelques séquences de dialogues en groupe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CinemaTeaser
D’apparence aride, "Un printemps à Hong Kong" séduit par sa douceur, sa délicatesse.
Les Fiches du Cinéma
Subtil, ce film hongkongais nous embarque dans la douceur de son sillage et le militantisme de son propos.
Ouest France
Cette chronique d'un amour impossible est bouleversante de pudeur.
Positif
Une grande part de la réussite du film repose sur les deux comédiens, seconds rôles vétérans du cinéma de genre, dont le jeu retenu s’accorde à la répression affective des personnages.
Transfuge
Le film émeut d’abord par sa représentation frontale, mais non voyeuriste, d’une relation amoureuse et sexuelle entre deux personnes âgées et gays. Mais il interroge aussi : comment bien vieillir, qui plus est lorsqu’on sort du schéma hétéronormé ?
Télérama
Un beau drame romantique, à la fois solaire et subtilement cruel.
L'Obs
Cinéma minimaliste, dans l’air du temps, un peu fleur bleue, limite doucereux.
Le Journal du Dimanche
Un récit très triste sur l’acceptation de soi, qui choisit la pudeur pour exprimer une existence de mensonges et de regrets.
Le Monde
Ce film en demi-teinte explore plusieurs sujets à la fois, s'attarde sur la solitude consécutive à l'appartenance à une minorité sexuelle tout autant qu'au vieillissement.
Les Inrockuptibles
Ray Yeung examine le repli sur soi à l’heure de la vieillesse avec sensibilité et clairvoyance.
Première
Une infinie délicatesse entoure chaque plan de ce long métrage, d’une sensibilité inouïe et incroyablement poignant dans sa manière de raconter une passion qu’on sent vouée à ne jamais se déployer tel que ces deux hommes voudraient qu’elle le soit.
Critikat.com
Ces pauses esthétisantes ne contribuent en rien à l’intrigue ni à l’émergence d’une quelconque émotion ; elles relèvent au fond d’un remplissage, entre les quelques séquences de dialogues en groupe.