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Cthulhu Mantis
26 abonnés
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3,0
Publiée le 9 mai 2016
Il y'avait longtemps...fort longtemps... Dans un passé lointain qui s'éloigne de jours en jours, de semaine en semaine, d'années en années et maintenant révolus à jamais, que j'ai retrouver sur internet ce morceau de film que j'avais découvert à mes 13 ans à une époque ou je ne m'intéresser aucunement au cinéma, que je tombe en rentrant des cours en après-midi sur France 3, cette campagne et une très jeune femme Rousse faisant encore un peu enfant, Muriel Català donc j'ignorais qui elle était. Qui dés sa première apparition,son regard me troubler et que je trouvais si élégante.
Après la fin du film et son titre dans la tête, impossible de remettre la main dessus. J'ai découvert que la réalisatrice était Nina Companeez étant décédée il n'y a que peu de temps le 9 Avril 2015, c'était son premier-long métrage mais elle sera plus active dans la télévision. Alors c'est vraie, c'est pas du grand cinéma, c'est un navet mais un très beau navet d'une petite valeur sentimentale dont ma note n'est pas forcément objectif et sera sans intérêt. Il y'a un coté David Halminton avant l'heure et beaucoup plus pudique. La photographie du film qui caresse à merveille le visage des acteurs et en particulier de Muriel Català.
Il y'a bien de grosse lacunes et des maladresse dans la mise en scène et des dialogues. Companeez aurait du peut être mieux s'entourer d'un dialoguiste car les jeunes gens qui se vouvoient est ridicule et ne peuvent pas atteindre le vouvoiement comme dans la maman et la putain d'Eustache. La musique de Chopin, Rignitto, Schuman,Tchaïkovski,et Liszt colle à merveille à la mise en scène fragile et accompagnant la grâce de Muriel Català avec sa jolie frimousse, son coté boudeuse, butée, enjôleuse, sensuelle, légèrement peureuse et éprise d'un soupçon de voyeurisme.
Il est clair que ce film est réserver au jeune fille en fleur est dépasser dans un style bibliothèque rose. Si Nina Companeez n'est pas une immense réalisatrice elle aura eu le grand mérite d'avoir faire débuter des actrices qui ont su durer. Isabelle Adjani, Isabelle Huppert toute jeune et jolie donc c'est leurs débuts au cinéma et au regard de leurs rôles on se dit quel parcours quand même. Nina Companeez révélera plus tard Fanny Ardant, la dernière égérie féminine Truffaldienne dans le feuilleton télévisée Les dames de la côte. Mention très spécial pour Maurice Garrel en second rôle de luxe avec un charisme exceptionnel en faisant peu de chose et y est très déconcertant, un immense acteur dans les seconds rôle avec la morphologie de son visage se marie à merveille à la photographie.
Voilà un film qui ne vaut que par son casting... Georges Marshall et Adjani, Francis Huster dans un de leurs premiers roles... Mais à part ça l'été de ces ados et surtout de l'adolescente est niaise et sans intéret... On a l'impression que la réalisatrice avait en tete un film érotique mais qu'en fin de compte elle n'a pas osée. Les dialogues sont inutiles et sans vrai but... A voir puis à oublier !
Les vacances de jeunes bourgeois qui s'ennuient fermement et qui nous ennuient. Il ne se passe rien, à part l'attirance d'une gamine de 16 ans pour un homme de 52 ans et qui s'exhibe nue devant lui. De plus, tous ces jeunes qui se vouvoient entre-eux est ridicule.
La jolie et fraiche Faustine connait ses premiers émois sensuels pendant des vacances d'été à la campagne, où elle s'occupe à observer ses beaux voisins et voisines. Ce cadre champêtre baigné de soleil ne se prête-t-il pas aux amours, du moins aux tentatives amoureuses même interdites? On aurait voulu être séduit par les interprètes charmants, la nature ravissante, mais le romantisme qui caractérise cette chronique sentimentalo-sensuelle s'exerce vainement tant le scénario est creux et les personnages insignifiants. Le film de Nina Companeez, qu'on a connue plus espiègle et libertine dans ses collaborations avec Michel Deville, n'est pas tant grotesque que niais, avec ses affectations et son maniérisme suranné. Confrontés à une intrigue indigente -si tant est qu'on peut parler d'intrigue- les acteurs sombrent dans le ridicule et le stéréotype. spoiler: Georges Marchal joue les mûrs séducteurs qui fait de pâmer secrètement la candide et timide Faustine, laquelle se détourne du minet pseudo spirituel que compose, cheveux au vent, Francis Huster. Dans le rôle de Faustine, Muriel Catala, insuffisante comédienne, prend des poses; elle ne parle pas, elle minaude, et ses commentaires, sa voix, soulignent la nunucherie de l'ensemble. Le temps s'écoule, qui confine à l'ennui, où la douceur de vivre, la liberté, le désir ne produisent que de mornes sensations.
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2,0
Publiée le 12 avril 2011
Pauses alanguies, gestes gracieux, "Faustine et le bel ètè" est le tout premier long-mètrage de Nina Companeez qui a rèvèlè au grand public Muriel Catala avec un premier rôle, un charmant visage d’une èternelle adolescente de dix-neuf ans! C'est aussi un des premiers films de Francis Huster, Jacques Spiesser et surtout Isabelle Adjani...Sur les lieux du tournage, Adjani confirmera à la tèlèvision que cette deuxième expèrience a ètè le vèritable dèclic quant à sa volontè d'être comèdienne! Plus de quarante ans après sa sortie, "Faustine et le bel ètè" semble tirè d'une bibliothèque rose quelque peu cochonne puisque son hèroïne se prèsente comme une petite perverse èprise de voyeurisme! C'est tout un ètat d'esprit du sexe à la française qui s'instaure dans ce film reservè uniquement aux amateurs de jeunes filles en fleurs, belles et floues...
Une histoire simple au langage élégant et dénué de vulgarité et qui nous montre des choses de la vie qui n’ont plus cours, Et puis il y a le charme magnétique de l'actrice principale évoluant dans cet univers champêtre où les gens ne se déplacent pas qu'en voiture, et ou l'artificialité totale qui gère nos vies désormais est absente. Un film - certes sentimental avant tout - mais comme on en manque cruellement, peut-être parce qu’il porte les valeurs d’une époque révolue, si ce n’est la fait de quelque esprit idéaliste, et fait esquisser en nous un sentiment désormais méconnu, le bien-être.