Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Dirty, Dificult, Dangerous exerce sur la condition émigrée une sorte de cocasserie à froid, agissant comme une loupe sur le parcours d’épreuves et d’exactions qui la caractérise. [...] La candeur du conte romantique renverse la rhétorique consternée du film à sujet politique, tandis que l’humour en assume la part de cruauté nécessaire.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Wissam Charaf navigue entre drame social, romance contrariée et cinéma fantastique sans caricaturer l'une ou l'autre des approches. Chapeau.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film politique et engagé, auquel Wissam Charaf insuffle une dose ébouriffante de sensualité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
Sous le regard du cinéaste, le Moyen-Orient devient un terrain de jeu où chaos du monde et onirisme se nourrissent l’un l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le second long métrage de Wissam Charaf est un condensé de poésie, un conte social au romantisme assumé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
L’étonnant, c’est que tout en décrivant un monde atroce (guerre, exploitation des immigré·es, trafic d’organes, une presse internationale qui recherche le sensationnel de la misère…), "Dirty Difficult Dangerous" ne se plaint jamais.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
[Un] mélange admirable, en principe si casse-gueule, de légèreté et de gravité, de sobriété et d’excès, toujours au bord des larmes et surtout du fou rire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Une réussite.
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Retenez bien ce nom : Charaf, Wissam Charaf. Le jeune réalisateur libanais signe avec "Dirty, difficult, dangerous", un film chrétien, fantastique, sentimental, cinéphilique. Rien que ça.
Le Figaro
par B. P.
Dans un Beyrouth inhospitalier, un rescapé de la guerre en Syrie aime une femme à tout faire éthiopienne, traitée parfois comme une esclave. Ils vont s'échapper. Leur romance est délicate. Peut-être, seulement, aurait-elle pu accoucher d'une intrigue plus audacieuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thierry Chèze
Il y a du Suleiman chez Wissam Charaf : ce même désir passer par le prisme de l’absurde – teinté de fantastique - pour raconter une réalité violente : le sort douloureux des exilés. Et le geste est joliment orchestré.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Le charme opère, même si la fantaisie revendiquée par Wissam Charaf est parfois trop timide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Dirty, Dificult, Dangerous exerce sur la condition émigrée une sorte de cocasserie à froid, agissant comme une loupe sur le parcours d’épreuves et d’exactions qui la caractérise. [...] La candeur du conte romantique renverse la rhétorique consternée du film à sujet politique, tandis que l’humour en assume la part de cruauté nécessaire.
Ecran Large
Wissam Charaf navigue entre drame social, romance contrariée et cinéma fantastique sans caricaturer l'une ou l'autre des approches. Chapeau.
L'Obs
Un film politique et engagé, auquel Wissam Charaf insuffle une dose ébouriffante de sensualité.
Le Monde
Sous le regard du cinéaste, le Moyen-Orient devient un terrain de jeu où chaos du monde et onirisme se nourrissent l’un l’autre.
Les Fiches du Cinéma
Le second long métrage de Wissam Charaf est un condensé de poésie, un conte social au romantisme assumé.
Les Inrockuptibles
L’étonnant, c’est que tout en décrivant un monde atroce (guerre, exploitation des immigré·es, trafic d’organes, une presse internationale qui recherche le sensationnel de la misère…), "Dirty Difficult Dangerous" ne se plaint jamais.
Libération
[Un] mélange admirable, en principe si casse-gueule, de légèreté et de gravité, de sobriété et d’excès, toujours au bord des larmes et surtout du fou rire.
Ouest France
Une réussite.
Transfuge
Retenez bien ce nom : Charaf, Wissam Charaf. Le jeune réalisateur libanais signe avec "Dirty, difficult, dangerous", un film chrétien, fantastique, sentimental, cinéphilique. Rien que ça.
Le Figaro
Dans un Beyrouth inhospitalier, un rescapé de la guerre en Syrie aime une femme à tout faire éthiopienne, traitée parfois comme une esclave. Ils vont s'échapper. Leur romance est délicate. Peut-être, seulement, aurait-elle pu accoucher d'une intrigue plus audacieuse.
Première
Il y a du Suleiman chez Wissam Charaf : ce même désir passer par le prisme de l’absurde – teinté de fantastique - pour raconter une réalité violente : le sort douloureux des exilés. Et le geste est joliment orchestré.
Télérama
Le charme opère, même si la fantaisie revendiquée par Wissam Charaf est parfois trop timide.