Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
CNews
par Charlotte Marsal
Somptueux film sur la sororité incarné par une belle brochette de comédiennes (India Hair, Zita Hanrot, Rosemary Standley, Pascale Arbillot…), «Annie Colère» se présente comme un récit d’émancipation où l’éducation à la sexualité n’est pas un tabou, alors que le droit à l’avortement est aujourd’hui encore bafoué dans de nombreux pays.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ouest France
par Thierry Cheze
Un film choral emballant, où brille, une fois encore, Laure Calamy.
20 Minutes
par Caroline Vié
Un film féministe et fier de l’être.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jenny Ulrich
À travers le personnage d’Annie, qui a tout à découvrir, le spectateur est accompagné dans ce parcours initiatique fourmillant d’informations, aussi bien politiques que techniques, sans jamais déplacer l’humain de son centre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Avec Annie Colère, Blandine Lenoir resitue non seulement l’action du MLAC qui a organisé de manière illégale mais légitime l’avortement en France au mitan des années 70, mais elle montre que ce combat n’était pas seulement une affaire de femmes, qu’il a mobilisé des hommes, médecins, maris, frères ou amis.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film choral et tendre.
Femme Actuelle
par La Rédaction
On salue aussi le jeu retenu, digne et sans outrances.
L'Obs
par François Forestier
A l’heure où les droits sont menacés, où l’extrême droite met en péril les conquêtes sociales et où l’avortement est contesté (Hongrie, Etats-Unis) voici un film nécessaire et juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec Annie Colère, Blandine Lenoir resitue non seulement l’action du MLAC qui a organisé de manière illégale mais légitime l’avortement en France au mitan des années 70, mais elle montre que ce combat n’était pas seulement une affaire de femmes, qu’il a mobilisé des hommes, médecins, maris, frères ou amis.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
La cinéaste Blandine Lenoir signe un troisième film joyeusement féministe qui retrace avec bienveillance le combat des femmes pour l’avortement dans la France des années 1970, à quelques mois du passage de la loi Veil. Laure Calamy y est formidable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
L’actrice d’Antoinette dans les Cévennes donne toute son authenticité et sa générosité à cette mère de famille qui, grâce à un groupe de féministes solidaires, prend le contrôle de ses désirs et s’engage dans la lutte collective.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Poignant, implacable et généreux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Dans « Annie Colère », Blandine Lenoir met en scène le(s) combat(s) de son personnage avec une délicatesse constante et, en parallèle, radiographie une époque pas si lointaine où les femmes et les hommes engagés dans la lutte pour la légalisation de l'IVG étaient étroitement surveillés et menacés par la police et la justice. Un film à la fois intime et politique rappelle l'actualité et la nécessité de ce combat.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Bien que mis en scène à travers le personnage d’Annie, le film réussit à dépasser le récit individuel pour mener une réflexion politique sur le corps des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Ève Beauvallet
[Un] beau film solaire de Blandine Lenoir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film aussi offensif qu’émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Le scénario étonne par sa méticulosité au-delà de son sujet. Evacuant violence et pathos, le film préfère se concentrer sur des sentiments positifs [...].
Positif
par Vincent Thabourey
Blandine Lenoir a imaginé une fiction lumineuse fondée sur une puissante sororité.
Public
par Sarah-Lévy Laithier
Laure Calamy est convaincante et juste.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un film choral, certes un peu didactique, mais porté par une formidable troupe d’actrices. Vivifiant, éclairant et nécessaire.
Télé Loisirs
par Véronique Trouillet
À travers la quête d’indépendance de cette seule femme, la réalisatrice Blandine Lenoir illustre la conquête de la liberté de toutes les femmes et d’un de leurs droits qui reste aujourd’hui dangereusement fragilisé.
Télérama
par Guillemette Odicino
Avant la loi Veil, l’émouvante lutte d’un collectif qui pratiquait l’IVG. Et de merveilleux portraits de femmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Chacun, suivant sa sensibilité, pourra adhérer à l’un ou l’autre de ces points de vue qui ont néanmoins en commun de rappeler que les batailles sociales ne se gagnent que grâce à l’unité et à la solidarité, et surtout que rien jamais n’est acquis.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Ce contrepied au cliché de l’avortement sanglant (apport principal de cette méthode américaine arrivée peu avant la loi Veil qui réduisait l’inégalité entre IVG étrangères coûteuses et aiguilles des faiseuses d’anges) a le mérite d’être tenu tout du long, mais sa douceur renvoie un peu vite hors champ la raison de l’engagement d’une Annie au départ peu politisée (...).
L'Humanité
par Sophie Joubert
Il émane de ce film aux couleurs chaudes une douceur inhabituelle qui met en lumière le choix des femmes, leur soulagement, plutôt que la tragédie. Une fiction à valeur documentaire qui émeut et galvanise.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
La réalisatrice s’est inspirée d’une thèse de 800 pages qu’une jeune chercheuse a consacrée au Mlac. Le film s’en ressent dans sa volonté pédagogique et militante de raconter l’histoire de ce mouvement aussi efficace qu’éphémère (...). Il se révèle plus convaincant, grâce notamment à la sensibilité de son actrice, dans le récit du parcours d’émancipation d’Annie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film fort en émotions et en informations, sur une période méconnue. Un film qui dit que rien n’est jamais définitivement gagné non plus.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Clarisse Fabre
Qu’un tel dialogue soit prononcé par des acteurs populaires, à l’heure où le droit à l’avortement doit sans cesse être réaffirmé pour ne pas reculer, procure une force de levier incroyable à ce film, d’utilité « grand public ».
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Portrait généreux et captivant sur la naissance et la sédimentation d’un corps politique, autant sur le plan individuel que collectif, Annie Colère assume pleinement sa démarche pédagogique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Chronique forte sur une question douloureuse, récit davantage didactique quand il évoque les enjeux politiques, "Annie Colère" est un film militant utile, porté par une Laure Calamy une nouvelle fois habitée.
Première
par Thierry Chèze
Ce qui pourrait n’être qu’un film à sujet va bien au- delà. Grâce à la qualité de ses interprètes (Laure Calamy en tête).
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si tout le monde sait le combat de Simone Veil, peu connaissent les luttes qui l’ont précédé. C’est cette histoire que la cinéaste a voulu raconter. Une histoire d’entre-aide, rendue politique par la force des choses, mais née du plus intime des femmes.
CNews
Somptueux film sur la sororité incarné par une belle brochette de comédiennes (India Hair, Zita Hanrot, Rosemary Standley, Pascale Arbillot…), «Annie Colère» se présente comme un récit d’émancipation où l’éducation à la sexualité n’est pas un tabou, alors que le droit à l’avortement est aujourd’hui encore bafoué dans de nombreux pays.
Ouest France
Un film choral emballant, où brille, une fois encore, Laure Calamy.
20 Minutes
Un film féministe et fier de l’être.
Bande à part
À travers le personnage d’Annie, qui a tout à découvrir, le spectateur est accompagné dans ce parcours initiatique fourmillant d’informations, aussi bien politiques que techniques, sans jamais déplacer l’humain de son centre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec Annie Colère, Blandine Lenoir resitue non seulement l’action du MLAC qui a organisé de manière illégale mais légitime l’avortement en France au mitan des années 70, mais elle montre que ce combat n’était pas seulement une affaire de femmes, qu’il a mobilisé des hommes, médecins, maris, frères ou amis.
Elle
Un film choral et tendre.
Femme Actuelle
On salue aussi le jeu retenu, digne et sans outrances.
L'Obs
A l’heure où les droits sont menacés, où l’extrême droite met en péril les conquêtes sociales et où l’avortement est contesté (Hongrie, Etats-Unis) voici un film nécessaire et juste.
Le Dauphiné Libéré
Avec Annie Colère, Blandine Lenoir resitue non seulement l’action du MLAC qui a organisé de manière illégale mais légitime l’avortement en France au mitan des années 70, mais elle montre que ce combat n’était pas seulement une affaire de femmes, qu’il a mobilisé des hommes, médecins, maris, frères ou amis.
Le Figaro
La cinéaste Blandine Lenoir signe un troisième film joyeusement féministe qui retrace avec bienveillance le combat des femmes pour l’avortement dans la France des années 1970, à quelques mois du passage de la loi Veil. Laure Calamy y est formidable.
Le Journal du Dimanche
L’actrice d’Antoinette dans les Cévennes donne toute son authenticité et sa générosité à cette mère de famille qui, grâce à un groupe de féministes solidaires, prend le contrôle de ses désirs et s’engage dans la lutte collective.
Le Parisien
Poignant, implacable et généreux.
Les Echos
Dans « Annie Colère », Blandine Lenoir met en scène le(s) combat(s) de son personnage avec une délicatesse constante et, en parallèle, radiographie une époque pas si lointaine où les femmes et les hommes engagés dans la lutte pour la légalisation de l'IVG étaient étroitement surveillés et menacés par la police et la justice. Un film à la fois intime et politique rappelle l'actualité et la nécessité de ce combat.
Les Fiches du Cinéma
Bien que mis en scène à travers le personnage d’Annie, le film réussit à dépasser le récit individuel pour mener une réflexion politique sur le corps des femmes.
Libération
[Un] beau film solaire de Blandine Lenoir.
Marianne
Un film aussi offensif qu’émouvant.
Marie Claire
Le scénario étonne par sa méticulosité au-delà de son sujet. Evacuant violence et pathos, le film préfère se concentrer sur des sentiments positifs [...].
Positif
Blandine Lenoir a imaginé une fiction lumineuse fondée sur une puissante sororité.
Public
Laure Calamy est convaincante et juste.
Télé 7 Jours
Un film choral, certes un peu didactique, mais porté par une formidable troupe d’actrices. Vivifiant, éclairant et nécessaire.
Télé Loisirs
À travers la quête d’indépendance de cette seule femme, la réalisatrice Blandine Lenoir illustre la conquête de la liberté de toutes les femmes et d’un de leurs droits qui reste aujourd’hui dangereusement fragilisé.
Télérama
Avant la loi Veil, l’émouvante lutte d’un collectif qui pratiquait l’IVG. Et de merveilleux portraits de femmes.
aVoir-aLire.com
Chacun, suivant sa sensibilité, pourra adhérer à l’un ou l’autre de ces points de vue qui ont néanmoins en commun de rappeler que les batailles sociales ne se gagnent que grâce à l’unité et à la solidarité, et surtout que rien jamais n’est acquis.
Cahiers du Cinéma
Ce contrepied au cliché de l’avortement sanglant (apport principal de cette méthode américaine arrivée peu avant la loi Veil qui réduisait l’inégalité entre IVG étrangères coûteuses et aiguilles des faiseuses d’anges) a le mérite d’être tenu tout du long, mais sa douceur renvoie un peu vite hors champ la raison de l’engagement d’une Annie au départ peu politisée (...).
L'Humanité
Il émane de ce film aux couleurs chaudes une douceur inhabituelle qui met en lumière le choix des femmes, leur soulagement, plutôt que la tragédie. Une fiction à valeur documentaire qui émeut et galvanise.
La Croix
La réalisatrice s’est inspirée d’une thèse de 800 pages qu’une jeune chercheuse a consacrée au Mlac. Le film s’en ressent dans sa volonté pédagogique et militante de raconter l’histoire de ce mouvement aussi efficace qu’éphémère (...). Il se révèle plus convaincant, grâce notamment à la sensibilité de son actrice, dans le récit du parcours d’émancipation d’Annie.
La Voix du Nord
Un film fort en émotions et en informations, sur une période méconnue. Un film qui dit que rien n’est jamais définitivement gagné non plus.
Le Monde
Qu’un tel dialogue soit prononcé par des acteurs populaires, à l’heure où le droit à l’avortement doit sans cesse être réaffirmé pour ne pas reculer, procure une force de levier incroyable à ce film, d’utilité « grand public ».
Les Inrockuptibles
Portrait généreux et captivant sur la naissance et la sédimentation d’un corps politique, autant sur le plan individuel que collectif, Annie Colère assume pleinement sa démarche pédagogique.
Paris Match
Chronique forte sur une question douloureuse, récit davantage didactique quand il évoque les enjeux politiques, "Annie Colère" est un film militant utile, porté par une Laure Calamy une nouvelle fois habitée.
Première
Ce qui pourrait n’être qu’un film à sujet va bien au- delà. Grâce à la qualité de ses interprètes (Laure Calamy en tête).
Sud Ouest
Si tout le monde sait le combat de Simone Veil, peu connaissent les luttes qui l’ont précédé. C’est cette histoire que la cinéaste a voulu raconter. Une histoire d’entre-aide, rendue politique par la force des choses, mais née du plus intime des femmes.