Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Monde
par Cl. F.
Il faut absolument éprouver sur grand écran cette expérience, hypnotique, conceptuelle et sensuelle, d’une vie mise entre parenthèses, alors que les années défilent sur la piste, la gestuelle des danseurs évoluant avec les époques (disco, new wave, techno…).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
Un film magnétique, fascinant dans la réduction qu’il se permet d’opérer sur toute péripétie factice, passionnant dans son art de se concentrer sur le cœur de son obsession.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Elle
par Françoise Delbecq
Un film ensorcelant et poétique.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une transe hypnotique, qui ravira les rêveurs noctambules.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Tout ce qui se passe dans une salle de cinéma (l’attente de l’éblouissement, le basculement dans une réalité alternative, l’euphorie et la mélancolie) raconté au moyen de tout ce qui fait le cinéma (la lumière, la musique, le temps, le mouvement et le romanesque).
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Autour des amant·es sacrifié·es, le monde ne cesse de bouger, de s’éteindre et de revivre, de passer de la fougue de la fin des années 1970 à l’état d’hébétude mortifère des années sida, de la chaleur du disco au métal froid de la techno, de l’euphorie à la gueule de bois, d’un certain état de pleine conscience et de pure présence à une forme fantomatique, amaigrie, rigidifiée par l’endurance de la fête et du temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Hadrien Brachet
Au milieu de cette fantasmagorie, que la danse vient transfigurer, Anaïs Demoustier, Tom Mercier et Béatrice Dalle excellent chacun dans leur genre, tous tragiques à leur manière. L’expérience est à oser.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Anaïs Demoustier épate dans le rôle d’une habituée de la vie nocturne, mais qui peine à évoluer avec son époque.
Télérama
par Frédéric Strauss
La poésie surnaturelle de cette Bête dans la jungle invite à une expérience de cinéma qui a tout d’un sortilège.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
De la nouvelle de Henry James, Patric Chiha livre une adaptation radicale et envoûtante en nous embarquant dans le huis clos d’une boîte de nuit de 1979 aux années 2000.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Thomas Baurez
La Bête dans la jungle, librement adapté d’une nouvelle d’Henry James, est un film au romantisme noir, à la poésie ténébreuse, qui sous ses volutes baroques déploie une sensualité revendiquée. Et s’il se heurte parfois à ses propres limites (redondances narratives et afféteries stylistiques), cet objet singulier, séduit.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un peu perché, sans doute un peu trop long, mais rudement original. Le nouveau long-métrage de Patric Chiha après six ans d’absence s’aventure dans les eaux troubles des discothèques des années 80 à nos jours.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Décrivant avec justesse la théâtralité du monde de la nuit, le cinéaste autrichien peine en revanche à donner consistance à cette attente, qui apparaît d’emblée comme une métaphore à choix multiples, jamais comme un enjeu dramatique, là où [Henry] James, au contraire, le tend au maximum.
Critikat.com
par Joffrey Liagre
Malgré le désir du film de brouiller le temps et l’espace, l’ultra-lisibilité des idées de mise en scène va de pair avec une certaine rigidité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
La Bête dans la jungle est un drame amoureux bien trop abscons et théâtral.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Cet aspect est renforcé par le jeu bien trop théâtral des comédiens, qui déclament plus qu’ils incarnent. Tout cela plombe un film pourtant pas inintéressant, mais qui n’est jamais aussi parlant que lors de ses séquences muettes.
Paris Match
par Yannick Vely
Dommage que le charme de la rencontre et le fameux mystère autour de la « chose » s'évaporent sur la langueur, comme si l'idée de transposer l'intrigue du roman dans le Paris branché des années 80 était plus séduisante sur le papier qu'à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par S.O.
D'une déconcertante étrangeté.
Télé Loisirs
par S.O.
Délibérément répétitive, cette transposition moderne d'une nouvelle de Henry James publiée en 1903 est d'une étrangeté déconcertante.
Le Figaro
par La Rédaction
Le scénario n'avance pas non plus. Si Henry James a décrit avec brio les errances de ces personnages condamnés, ceux de Patric Chiha semblent faire du surplace.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Si le lieu évoqué pourrait être une synthèse du Palace, des Bains et du Queen, il n’y a aucune folie festive, ici. Un comble pour un film consacré à une boîte de nuit. Sinistre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Monde
Il faut absolument éprouver sur grand écran cette expérience, hypnotique, conceptuelle et sensuelle, d’une vie mise entre parenthèses, alors que les années défilent sur la piste, la gestuelle des danseurs évoluant avec les époques (disco, new wave, techno…).
Libération
Un film magnétique, fascinant dans la réduction qu’il se permet d’opérer sur toute péripétie factice, passionnant dans son art de se concentrer sur le cœur de son obsession.
Elle
Un film ensorcelant et poétique.
L'Obs
Une transe hypnotique, qui ravira les rêveurs noctambules.
Les Fiches du Cinéma
Tout ce qui se passe dans une salle de cinéma (l’attente de l’éblouissement, le basculement dans une réalité alternative, l’euphorie et la mélancolie) raconté au moyen de tout ce qui fait le cinéma (la lumière, la musique, le temps, le mouvement et le romanesque).
Les Inrockuptibles
Autour des amant·es sacrifié·es, le monde ne cesse de bouger, de s’éteindre et de revivre, de passer de la fougue de la fin des années 1970 à l’état d’hébétude mortifère des années sida, de la chaleur du disco au métal froid de la techno, de l’euphorie à la gueule de bois, d’un certain état de pleine conscience et de pure présence à une forme fantomatique, amaigrie, rigidifiée par l’endurance de la fête et du temps qui passe.
Marianne
Au milieu de cette fantasmagorie, que la danse vient transfigurer, Anaïs Demoustier, Tom Mercier et Béatrice Dalle excellent chacun dans leur genre, tous tragiques à leur manière. L’expérience est à oser.
Sud Ouest
Anaïs Demoustier épate dans le rôle d’une habituée de la vie nocturne, mais qui peine à évoluer avec son époque.
Télérama
La poésie surnaturelle de cette Bête dans la jungle invite à une expérience de cinéma qui a tout d’un sortilège.
La Croix
De la nouvelle de Henry James, Patric Chiha livre une adaptation radicale et envoûtante en nous embarquant dans le huis clos d’une boîte de nuit de 1979 aux années 2000.
Première
La Bête dans la jungle, librement adapté d’une nouvelle d’Henry James, est un film au romantisme noir, à la poésie ténébreuse, qui sous ses volutes baroques déploie une sensualité revendiquée. Et s’il se heurte parfois à ses propres limites (redondances narratives et afféteries stylistiques), cet objet singulier, séduit.
aVoir-aLire.com
Un peu perché, sans doute un peu trop long, mais rudement original. Le nouveau long-métrage de Patric Chiha après six ans d’absence s’aventure dans les eaux troubles des discothèques des années 80 à nos jours.
Cahiers du Cinéma
Décrivant avec justesse la théâtralité du monde de la nuit, le cinéaste autrichien peine en revanche à donner consistance à cette attente, qui apparaît d’emblée comme une métaphore à choix multiples, jamais comme un enjeu dramatique, là où [Henry] James, au contraire, le tend au maximum.
Critikat.com
Malgré le désir du film de brouiller le temps et l’espace, l’ultra-lisibilité des idées de mise en scène va de pair avec une certaine rigidité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La Bête dans la jungle est un drame amoureux bien trop abscons et théâtral.
Le Dauphiné Libéré
Cet aspect est renforcé par le jeu bien trop théâtral des comédiens, qui déclament plus qu’ils incarnent. Tout cela plombe un film pourtant pas inintéressant, mais qui n’est jamais aussi parlant que lors de ses séquences muettes.
Paris Match
Dommage que le charme de la rencontre et le fameux mystère autour de la « chose » s'évaporent sur la langueur, comme si l'idée de transposer l'intrigue du roman dans le Paris branché des années 80 était plus séduisante sur le papier qu'à l'écran.
Télé 2 semaines
D'une déconcertante étrangeté.
Télé Loisirs
Délibérément répétitive, cette transposition moderne d'une nouvelle de Henry James publiée en 1903 est d'une étrangeté déconcertante.
Le Figaro
Le scénario n'avance pas non plus. Si Henry James a décrit avec brio les errances de ces personnages condamnés, ceux de Patric Chiha semblent faire du surplace.
Le Parisien
Si le lieu évoqué pourrait être une synthèse du Palace, des Bains et du Queen, il n’y a aucune folie festive, ici. Un comble pour un film consacré à une boîte de nuit. Sinistre.