Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Avec Petite Solange, Axelle Ropert fait preuve d’une double audace : filmer un drame en apparence petit, banal, et le faire au premier degré, au ras des sentiments. (...) Il y a quelque chose du cinéma d’Ozu, dans cette manière très concrète de se pencher sur de microscopiques drames et de progressives séparations qui finissent par former une grande déchirure muette et irréversible entre les membres d’une famille. Ou dans ces plans furtifs de lieux vides ou d’objets, qui rappellent le passage du temps à travers ce qui demeure par-delà les événements humains.
20 Minutes
par Caroline Vié
Parfois, pas souvent, on découvre une jeune actrice à l’écran et on est scotché. C’est le cas pour Jade Springer, héroïne de «Petite Solange » d’ Axelle Ropert.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Benoit Basirico
Axelle Ropert capte avec délicatesse les remous intérieurs d’une jeune adolescente qui apprend que ses parents divorcent. Ce récit construit en creux, avec des ellipses, des silences, sans colère exprimée, fonctionne comme une énigme à déchiffrer.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par La rédaction
Axelle Ropert signe un film au charme doux-amer, parfois souriant, attachant comme son interprète principale.
Le Figaro
par Éric Neuhoff
Pour Petite Solange, Axelle Ropert a choisi la douceur, la retenue. Elle filme la solitude avec la grâce d'un Truffaut.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans une mise en scène frémissante d'énergie, cette chronique intime et parfois cruelle, qui ose le mélo sans être tire-larmes, réussit à être totalement au diapason des palpitations de sa jeune héroïne, en résistance devant son monde qui s'écroule.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La rédaction
À partir d’une trame si ténue et rebattue, rarement la vibration des accidents les plus universels d’une vie de famille n’a été aussi intensément filmée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses airs de déjà-vu, le film sur la séparation parentale échappe toutefois aux facilités et à l'académisme grâce à sa sensibilité impressionniste, à sa description subtile des tourments de la préadolescence et à l'interprétation de ses trois acteurs principaux. Un « petit » film qui en vaut assurément bien des grands.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est un mélo sur le passage, et la séparation en est un.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Axelle Ropert met en scène ce récit d’apprentissage en laissant s’épanouir les regards et les non-dits, au son d’une musique mélo hélas souvent envahissante, les faisant circuler entre les personnages sans aucun naturalisme, sans effet appuyé non plus, sans jamais enfin que tel ou telle soit jugé, chaque phrase tombant avec netteté et douceur, réverbérant dans les couches de ouate entourant Solange.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Au coeur de ce film, qui charme particulièrement par ses scènes de classe, l'histoire gracieuse et dissonante d'une éclosion.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un récit initiatique à fleur de peau, d’autant plus touchant qu’il n’est jamais larmoyant, porté par l’interprétation d’un naturel saisissant de Jade Springer, révélation d’un film dont on devrait entendre reparler.
Positif
par Ariane Allard
Axelle Ropert signe là son film le plus bouleversant, dans la lignée de L’Incompris de Luigi Comencini (auquel elle fait discrètement allusion).
Sud Ouest
par Sophie Avon
Axelle Ropert filme cette histoire simple avec un sens de l’ellipse et une délicatesse bouleversante.
Télérama
par Frédéric Strauss
Le souvenir du réalisateur des Quatre Cents Coups traverse comme un complice ce quatrième long métrage d’Axelle Ropert où l’envie de filmer la jeunesse est tout aussi généreuse, affectueuse, passionnée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Axelle filme de mélodrame assumé, sans climax, avec douceur et sensibilité, collant à la tristesse de cete ado, sans nous tirer de larmes.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Joli film traité avec délicatesse, Petite Solange, malgré de petites réserves sur la direction d’acteurs, touche juste dans la transcription des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Un mélo poignant sur la perte de l’innocence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un drame poignant et un mélo assumé qui révèle le talent et le naturel de sa jeune actrice, Jade Springer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Porté par une caméra narrative et subjective, soutenue par un sens du cadre qui capte sans la forcer la solitude et le désarroi de son héroïne, le film d’Axelle Ropert circonscrit avec une incroyable justesse les affres de cet âge auquel la vie ne fait pas de cadeau.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas de poncifs ni de démonstrations hyperboliques, juste un regard à hauteur d’enfant-ado, tellement délicat sur la forme mais qui cache une profonde tempête intérieure.
Première
par Thomas Baurez
Devenir adulte, c’est devenir maître d’un royaume qui n’est pas le sien, composer avec un chaos permanent. Petite Solange raconte tout ça, avec une grâce folle, sans tapage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Sur un fil très ténu, la réalisatrice Axelle Ropert tisse un film délicat, porté par la douceur de ses interprètes. Si le récit manque d'originalité, on se laisse séduire par ce mélo en ré mineur.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un long métrage attachant sur la souffrance d'une jeune adolescente. Axelle Ropert trouve le ton juste et se montre subtile dans sa direction d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Murielle Joudet
Le film semble étrangement tenu par deux mouvements contradictoires : la tentation d’un mélodrame lacrymal et un excès de retenue qui empêche le récit de trouver sa pleine incarnation.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Comment réagir quand ses parents se séparent ? C’est le thème de ce mélodrame familial qui vaut surtout pour sa pas si petite actrice Jade Springer. On peine malgré tout à s’intéresser à une intrigue très ténue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Avec Petite Solange, Axelle Ropert fait preuve d’une double audace : filmer un drame en apparence petit, banal, et le faire au premier degré, au ras des sentiments. (...) Il y a quelque chose du cinéma d’Ozu, dans cette manière très concrète de se pencher sur de microscopiques drames et de progressives séparations qui finissent par former une grande déchirure muette et irréversible entre les membres d’une famille. Ou dans ces plans furtifs de lieux vides ou d’objets, qui rappellent le passage du temps à travers ce qui demeure par-delà les événements humains.
20 Minutes
Parfois, pas souvent, on découvre une jeune actrice à l’écran et on est scotché. C’est le cas pour Jade Springer, héroïne de «Petite Solange » d’ Axelle Ropert.
Bande à part
Axelle Ropert capte avec délicatesse les remous intérieurs d’une jeune adolescente qui apprend que ses parents divorcent. Ce récit construit en creux, avec des ellipses, des silences, sans colère exprimée, fonctionne comme une énigme à déchiffrer.
Femme Actuelle
Axelle Ropert signe un film au charme doux-amer, parfois souriant, attachant comme son interprète principale.
Le Figaro
Pour Petite Solange, Axelle Ropert a choisi la douceur, la retenue. Elle filme la solitude avec la grâce d'un Truffaut.
Le Journal du Dimanche
Dans une mise en scène frémissante d'énergie, cette chronique intime et parfois cruelle, qui ose le mélo sans être tire-larmes, réussit à être totalement au diapason des palpitations de sa jeune héroïne, en résistance devant son monde qui s'écroule.
Le Parisien
À partir d’une trame si ténue et rebattue, rarement la vibration des accidents les plus universels d’une vie de famille n’a été aussi intensément filmée.
Les Echos
Malgré ses airs de déjà-vu, le film sur la séparation parentale échappe toutefois aux facilités et à l'académisme grâce à sa sensibilité impressionniste, à sa description subtile des tourments de la préadolescence et à l'interprétation de ses trois acteurs principaux. Un « petit » film qui en vaut assurément bien des grands.
Les Inrockuptibles
C’est un mélo sur le passage, et la séparation en est un.
Libération
Axelle Ropert met en scène ce récit d’apprentissage en laissant s’épanouir les regards et les non-dits, au son d’une musique mélo hélas souvent envahissante, les faisant circuler entre les personnages sans aucun naturalisme, sans effet appuyé non plus, sans jamais enfin que tel ou telle soit jugé, chaque phrase tombant avec netteté et douceur, réverbérant dans les couches de ouate entourant Solange.
Marie Claire
Au coeur de ce film, qui charme particulièrement par ses scènes de classe, l'histoire gracieuse et dissonante d'une éclosion.
Ouest France
Un récit initiatique à fleur de peau, d’autant plus touchant qu’il n’est jamais larmoyant, porté par l’interprétation d’un naturel saisissant de Jade Springer, révélation d’un film dont on devrait entendre reparler.
Positif
Axelle Ropert signe là son film le plus bouleversant, dans la lignée de L’Incompris de Luigi Comencini (auquel elle fait discrètement allusion).
Sud Ouest
Axelle Ropert filme cette histoire simple avec un sens de l’ellipse et une délicatesse bouleversante.
Télérama
Le souvenir du réalisateur des Quatre Cents Coups traverse comme un complice ce quatrième long métrage d’Axelle Ropert où l’envie de filmer la jeunesse est tout aussi généreuse, affectueuse, passionnée.
Voici
Axelle filme de mélodrame assumé, sans climax, avec douceur et sensibilité, collant à la tristesse de cete ado, sans nous tirer de larmes.
Franceinfo Culture
Joli film traité avec délicatesse, Petite Solange, malgré de petites réserves sur la direction d’acteurs, touche juste dans la transcription des sentiments.
L'Obs
Un mélo poignant sur la perte de l’innocence.
La Croix
Un drame poignant et un mélo assumé qui révèle le talent et le naturel de sa jeune actrice, Jade Springer.
La Septième Obsession
Porté par une caméra narrative et subjective, soutenue par un sens du cadre qui capte sans la forcer la solitude et le désarroi de son héroïne, le film d’Axelle Ropert circonscrit avec une incroyable justesse les affres de cet âge auquel la vie ne fait pas de cadeau.
La Voix du Nord
Pas de poncifs ni de démonstrations hyperboliques, juste un regard à hauteur d’enfant-ado, tellement délicat sur la forme mais qui cache une profonde tempête intérieure.
Première
Devenir adulte, c’est devenir maître d’un royaume qui n’est pas le sien, composer avec un chaos permanent. Petite Solange raconte tout ça, avec une grâce folle, sans tapage.
Télé Loisirs
Sur un fil très ténu, la réalisatrice Axelle Ropert tisse un film délicat, porté par la douceur de ses interprètes. Si le récit manque d'originalité, on se laisse séduire par ce mélo en ré mineur.
aVoir-aLire.com
Un long métrage attachant sur la souffrance d'une jeune adolescente. Axelle Ropert trouve le ton juste et se montre subtile dans sa direction d'acteurs.
Le Monde
Le film semble étrangement tenu par deux mouvements contradictoires : la tentation d’un mélodrame lacrymal et un excès de retenue qui empêche le récit de trouver sa pleine incarnation.
Les Fiches du Cinéma
Comment réagir quand ses parents se séparent ? C’est le thème de ce mélodrame familial qui vaut surtout pour sa pas si petite actrice Jade Springer. On peine malgré tout à s’intéresser à une intrigue très ténue.