Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Dans les faits, c’est un petit chef-d’œuvre de fantastique pastoral, plein de petits riens et de choses impossibles, modeste et immense à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Bien plus qu’une énième tentative de « fantastique à la française », Jacky Caillou est d’abord la chronique nue et redoutable d’une passion et le récit d’une initiation: celle menant, par-delà toute contingence (esthétique, narrative ou de genre), à la révélation d’un amour fou dans la vie simple et discrètement oraculaire de Jacky Caillou.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le réalisme magique s'empare du premier film de Lucas Delangle, tourné en territoire rural. Très convaincant.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un jeu de genres réussi, porté par la prestation de l’excellent Thomas Parigi dans le rôle-titre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
Ce premier long-métrage mêle naturalisme et fantastique dans un récit en apesanteur, où l’amour tente de dévier le cours des contes cruels.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Vincent Malausa
Delangle parvient même à une forme de grandeur épique dans sa manière de défier les puissances mystérieuses qui semblent peser sur ce petit village perdu dans les ténèbres.
Positif
par Vincent Thabourey
Cet étrange voyage, modeste dans sa forme, mérite qu’on le rejoigne en savourant comme il se doit les délicats méandres d’une œuvre d’apprentissage (pour le personnage principal et le cinéaste).
Télérama
par Samuel Douhaire
Avec sa volonté d’ancrer la fiction dans un territoire, son habileté à faire cohabiter des acteurs (la troublante Lou Lampros, Jean-Louis Coulloc’h) et des non-professionnels, Lucas Delangle s’inscrit dans le sillon d’Alain Guiraudie − on pense souvent à Rester vertical. Il y a pire comme influence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le réalisateur rend hommage à la beauté du monde rural tout en parvenant à rendre palpable l’invisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Très classique dans sa mise en scène, ce Jacky Caillou très incarné séduit quand il mise sur les sens - le toucher, l’ouïe - et le réel, moins quand il s’aventure dans le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Porté par un super duo d’acteur.ice (Lou Lampros et Thomas Parigi), Jacky Caillou brille par la croyance que Lucas Delangle insuffle dans son film. Avec une vraie épure, qui confine à l’ascèse stylistique, le film déploie un univers où s’entre-choque teen movie rural, film fantastique et déférence au cinéma d’Alain Guiraudie.
Première
par Sylvestre Picard
La sincérité et l’authenticité, il y en a énormément dans Jacky Caillou, mais le film coince parfois en se laissant ligoter par une esthétique trop timide, en n’osant pas assez s’aventurer vers un monde magique et monstrueux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Dans les faits, c’est un petit chef-d’œuvre de fantastique pastoral, plein de petits riens et de choses impossibles, modeste et immense à la fois.
Cahiers du Cinéma
Bien plus qu’une énième tentative de « fantastique à la française », Jacky Caillou est d’abord la chronique nue et redoutable d’une passion et le récit d’une initiation: celle menant, par-delà toute contingence (esthétique, narrative ou de genre), à la révélation d’un amour fou dans la vie simple et discrètement oraculaire de Jacky Caillou.
CinemaTeaser
Le réalisme magique s'empare du premier film de Lucas Delangle, tourné en territoire rural. Très convaincant.
L'Obs
Un jeu de genres réussi, porté par la prestation de l’excellent Thomas Parigi dans le rôle-titre.
Le Monde
Ce premier long-métrage mêle naturalisme et fantastique dans un récit en apesanteur, où l’amour tente de dévier le cours des contes cruels.
Mad Movies
Delangle parvient même à une forme de grandeur épique dans sa manière de défier les puissances mystérieuses qui semblent peser sur ce petit village perdu dans les ténèbres.
Positif
Cet étrange voyage, modeste dans sa forme, mérite qu’on le rejoigne en savourant comme il se doit les délicats méandres d’une œuvre d’apprentissage (pour le personnage principal et le cinéaste).
Télérama
Avec sa volonté d’ancrer la fiction dans un territoire, son habileté à faire cohabiter des acteurs (la troublante Lou Lampros, Jean-Louis Coulloc’h) et des non-professionnels, Lucas Delangle s’inscrit dans le sillon d’Alain Guiraudie − on pense souvent à Rester vertical. Il y a pire comme influence.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur rend hommage à la beauté du monde rural tout en parvenant à rendre palpable l’invisible.
Les Fiches du Cinéma
Très classique dans sa mise en scène, ce Jacky Caillou très incarné séduit quand il mise sur les sens - le toucher, l’ouïe - et le réel, moins quand il s’aventure dans le fantastique.
Les Inrockuptibles
Porté par un super duo d’acteur.ice (Lou Lampros et Thomas Parigi), Jacky Caillou brille par la croyance que Lucas Delangle insuffle dans son film. Avec une vraie épure, qui confine à l’ascèse stylistique, le film déploie un univers où s’entre-choque teen movie rural, film fantastique et déférence au cinéma d’Alain Guiraudie.
Première
La sincérité et l’authenticité, il y en a énormément dans Jacky Caillou, mais le film coince parfois en se laissant ligoter par une esthétique trop timide, en n’osant pas assez s’aventurer vers un monde magique et monstrueux.