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    Saint Omer
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    Liliane S.
    Liliane S.

    6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 novembre 2022
    Très grande déception ! Je me suis franchement ennuyée. Le jeu des actrices, la manière de filmer...rien ne m'a plu. Le paralèlle entre les 2 vies est beaucoup trop "encombrant" et particulièrement celle de la narratrice !
    Joce2012
    Joce2012

    198 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 novembre 2022
    Film avec de nombreuses longueurs, scénario mal fait, c'est très ennuyeux et complexe, n'est pas le reflet de procès d'assises mais plutôt des commentaires personnels qui ne laissent pas au spectateur le choix de se faire son propre avis
    Alberti21
    Alberti21

    8 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 février 2023
    Écrit par 3 femmes, j’en attendais beaucoup, dont l’écrivain Marie N’Diaye, sœur du ministre de l’éducation actuel et par Alice Diop, Amrita David. Un sujet intéressant. Ce film ne tient pas ses promesses. C’est un documentaire scénarisé de la part de cette documentariste très bankable. Nullement politique car les raisons de l’acte ne sont pas recherchées. Les actrices ont un côté inquiétant flippant. Très sociologique qui revient à l’éternelle division personnes noires et blanches dans un film aux antagonismes forts. Mise en scène froide et qui en met plein la vue. Une prétentieuse dissertation scolaire très inspirée par Depardon et Bresson et qui a bénéficié du grand travail de Marie N’Diaye. Mme Diop a un discours contradictoire et cela se ressent mais c’est seulement elle qui est l’objet de ses films. Le fait divers émouvant est presque oublié. Il s’agit tout de même d’une petite fille qui est morte. Mme Diop malgré la starification devrait revenir à plus d’humilité pour traiter des sujets importants. Deux films sortis en moins de 6 mois, c’est bien trop. Ce film est si décevant.
    1film250mots
    1film250mots

    10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2022
    Saint Omer partage avec le procès judiciaire une forme de patience et de stationnarité. Le déroulement, minute après minute, laisse à la caméra tout le temps d’articuler les plans fixes qui captent au plus juste l’interprétation simple des actrices. Car à l’exception du témoignage de Luc Dumontet (Xavier Maly) - un grand moment de cinéma - Saint Omer est quasiment exclusivement féminin ; conçu comme un croisement de destins de femmes autour de la maternité, de l’infanticide, et de la culpabilité - suggérée dès les vidéos de femmes tondues.

    Le film d’Alice Diop exploite habilement son terrain pour nous faire pleinement endosser le rôle de spectateur-juré. Ce n’est pas un hasard qu’on omette de nous présenter les derniers citoyens tirés au sort car ce sont bien les numéros de nos propres sièges que le destin désigne. Le plan serré sur l’avocate nous confronte encore plus directement avec notre responsabilité.

    Ce qui sauve (et qui explique qu’on ne tranche pas), c’est une Laurence Coly (Guslagie Malanda) d’emblée coupable. On retrouve notre place de strict spectateur dans le retour à l’hôtel, le repas au restaurant, les flash-back. Ces espaces où la fiction reprend ses droits (nous sommes au cinéma, plus dans un procès filmé), mériteraient d’être plus larges pour donner davantage de relief à tous les petits procès qui se jouent aussi dans les coulisses autour du racisme et de la condition féminine et sociale.

    Un mot pour finir sur la place cardinale des respirations qui battent le rythme et qui aménagent une place à ce qui fait de Saint Omer un vrai film de cinéma : le procès intérieur.

    Retrouvez plus de critiques sur notre compte Instagram @1film250mots :)
    miouze
    miouze

    51 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 novembre 2022
    Moyen. Moyen pourquoi ?
    Parce que d'un côté toute la partie concernant Laurence Coly et son procès était captivante. Les longs plans décriés par beaucoup ne m'ont pas gênée, l'oeil de la caméra remplace nos yeux comme si on était au procès : on fixerait longuement l'accusée lorsqu'elle parle, on fixerait longuement la président lorsqu'elle questionne etc... De plus l'actrice est hypnotique, difficile de détourner le regard pendant ses réponses ses aveux ses mensonges dénués d'émotions.
    Et d'un autre côté toute la partie concernant Rama, la prof écrivaine, était relou au possible, ses états d'âme insupportables (si si, j'ai compris le parallèle) et le charismomètre à zéro.
    Parfois les bons côtés l'emportent, là non, à cause de l'agacement généré.
    Harnoismonique
    Harnoismonique

    11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 novembre 2022
    film qui m' a beaucoup touché
    plus on avance dans le film et plus on comprend la solitude , la maladie car on se confronte aussi au choc des cultures et surtout au départ la présentation de cette femme brillante ne correspond pas à l' acte qu' elle a commis
    cette vie en couple aussi où ce compagnon a une vie double et ou cette femme est invisible aussi
    ce film a aussi des arrêts sur image magnifiques ces expressions de visage , à un moment on se demande si la procureur n' a pas des larmes ,
    pour toi c' est le film de l' année
    mat niro
    mat niro

    340 abonnés 1 783 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2022
    Alice Diop s'inspire ici de "l'affaire Fabienne Kabou" pour retranscrire librement le procès aux Assises de Saint-Omer de celle qui est accusée d'avoir déposée sa fille un soir sur une plage de Berk. Traiter cet infanticide n'est pas chose facile, le film est assez âpre, retranscrivant parfaitement le parcours de cette femme en écoutant sa parole, elle qui s'exprime dans un langage châtié. La cinéaste essaie de comprendre ce geste fou et, à travers une jeune écrivaine spoiler: enceinte
    , questionne sur le poids de la maternité. On peut reprocher une certaine austérité à cette œuvre tant elle traite les faits de manière académique, spoiler: mais quand les regards des deux jeunes femmes se croisent, un moment de magie s'opère
    . Ce n'est pas le chef-d'œuvre attendu mais un bon film porté par deux actrices remarquables.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    75 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2022
    Ce drame, tout à fait inhumain, nous bouleverse…..La réalisatrice, à la sensibilité féminine exacerbée nous conduit vers son « parti-pris » .

    Comment expliquer que cette Maman qui « tue » son enfant puisse pourtant attirer et mériter notre indulgence,
    notre pardon ?

    Je suis resté sans voix devant l’incompréhension de ce « vieil amant » et cette jeune femme étudiante sénégalaise qui se trouve tellement dépendante et désemparée.
    Que de questions ? Entre mensonges, non dit, déni, le mystère de l’être humain est insondable…

    Dans le cadre d’une cour d’assise, la réalisatrice traite ce sujet avec une délicatesse infinie
    Yves G.
    Yves G.

    1 408 abonnés 3 428 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 novembre 2022
    En juin 2016, la cour d’assises de Saint-Omer condamne à vingt ans de réclusion Fabienne Kabou pour la mort de sa petite fille, Adélaïde, âgée d’un an à peine, qu’elle avait déposée sur la grève, à Breck-plage avant que la marée montante ne l’emporte. La documentariste Alice Diop, impressionnée par le fait divers, avait assisté au procès. Elle a décidé de le reconstituer, en changeant le nom des protagonistes, mais en reconstituant à Saint-Omer la salle d’audience et en reprenant le verbatim du procès.

    Le résultat est déconcertant. Il a été encensé par la critique. Il a obtenu le Grand Prix du jury à Venise. Il représentera la France aux Oscars l’an prochain. J’ai eu la chance de le voir en avant-première en présence de sa réalisatrice. Si souvent, ces échanges privilégiés devant un public conquis influencent positivement la réception du film, ce ne fut pas le cas cette fois-là.

    Pour la défense qui plaidait l’irresponsabilité pénale, Fabienne Kabou avait perdu son discernement au moment des faits. Pour le ministère public, Fabienne Kabou était une menteuse, une affabulatrice qui prétendait avoir été ensorcelée pour ne pas assumer sa responsabilité.

    La mise en scène d’Alice Diop adopte un autre parti. En laissant parler l’accusée, qui s’exprime dans un français très châtié, selon un raisonnement parfaitement articulé, elle ne creuse pas la question de la maladie psychiatrique et de l’irresponsabilité pénale. Elle passe beaucoup de temps sur l’enquête de personnalité et y cherche l’explication de cet infanticide inexplicable. Fabienne Kabou y devient malgré elle la figure d’une femme racisée, invisibilisée, qui n’a pas su trouver sa place dans la société parce que la société ne lui en pas laissé la liberté.

    "Saint Omer" (qui aurait aussi bien pu s’intituler Bar-le-Duc, Limoges ou Coutances si les faits s’étaient déroulés dans le ressort d’une de ces cours d’assises) est volontairement lent et long. Il dure plus de deux heures. Il alterne les longues audiences filmées en plans fixes américains et les interludes centrés sur Rama, une écrivaine venue assister au procès, dont la mère de l’accusée se rapproche.

    On peut y voir le procès d’une Médée des temps modernes, d’une mère perdue broyée par l’appareil judiciaire. Je n’y ai rien vu de tel.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    74 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2022

          Un film qui aurait gagné, sans doute, a être nettoyé d'un certain nombre d'affèteries, parce que la réalisatrice s'attache un peu trop à ses propres états d'âme et que nous, ce qui nous intéresse, c'est de comprendre comment une mère (une bonne mère?) a pu commettre ce geste monstrueux: abandonner son bébé de 15 mois sur une plage, à la marée montante.
           Lorsque ce fait divers qui nous a tous bouleversés s'est produit, en 2013, la documentariste Alice Diop s'est rendue au procès, s'est sentie s'identifier à la mère, sénégalaise comme elle -et puis, a fui, ne pouvant le supporter. Presque dix ans plus tard, elle s'est lancée dans sa première fiction, où son double est  la romancière Rama (Kayije Kagame), enceinte, et qui s'interroge sur ses relations compliquées avec sa propre mère. Justement, elle  travaille à ce moment sur Médée, l'infanticide....
          Comme Alice  dans la vie, elle assiste au procès et, comme elle, n'en sort pas indemne. 
      Celle qui pour le film a été rebaptisée Laurence Coly est (et restera sans doute) complètement opaque. Guslagie Malanda qui l'interprète est formidable car cette opacité, elle la rend palpable, prégnante. Fille de bourgeois, Laurence vient en France préparer une thèse.... sur Wittgenstein, excusez du peu. Elle veut devenir, à son tour, une grande philosophe. Et puis.... elle ne valide même pas sa licence, perd ses inscriptions en fac, devient une quasi clocharde quand elle est recueillie par un sculpteur, Luc Dumontet (Xavier Maly excellent aussi dans son assez brève prestation), beaucoup plus âgé qu'elle. 
        Quand il est interrogé, il n'est pas très convainquant, lui aussi demeure indéchiffrable au cours d'un interrogatoire où il semble très mal à l'aise, affirmant avoir adoré sa fille Lilly, affirmant se sentir coupable. Laurence au contraire l'accuse d'indifférence, d'égoïsme. Pourtant l'un et l'autre ont revendiqué, entre eux, une histoire d'amour...  
        Ce qui est également troublant c'est que Laurence  s'exprime remarquablement bien, dans un français élaboré, recherché, elle parle d'elle de façon intellectuelle, détachée, comme s'il s'agissait d'analyser le comportement de quelqu'un d'autre.
          Pourquoi a t-elle caché sa grossesse? Accouchant seule en l'absence de Luc, pourquoi n'a t-elle pas déclaré l'enfant, qui n'est ni vacciné, ni suivi médicalement? (Et pourquoi Luc de son côté, à son retour, n'a t-il pas bougé?) Enfin, pourquoi un jour a t-elle pris le train pour Berck, pris une chambre d'hôtel et abandonné Lilly sur la plage?
        Ce qui est formidable, et là on voit bien la documentariste, c'est le soin avec lequel le procès d'assise est restitué, son cérémonial, mais aussi l'humanité du personnel judiciaire. La Présidente est remarquablement interprétée par Valérie Dréville. Elle réfléchit, elle essaye de comprendre, elle pose des questions simples, précises. Mais en fait d'explications n'a doit qu'à des rêves prophétiques, une malédiction qui aurait été lancée sur la jeune femme... Alors l'avocat général (Robert Cantarella) peut tonner en traitant Laurence de menteuse (ce qu'elle est, assurèment), l'avocate de celle ci (Aurélia Petit) tracer au contraire le portrait d'une fille qui s'est perdue, dans une terrible solitude -la vérité est ailleurs... Laurence pense avoir été envoutée, elle est donc folle. Point final.
         Incontestablement un film passionnant, même si les états d'âme de Rama nous semble parfois un peu longuets. A voir absolument

     
    Cinephille
    Cinephille

    147 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2022
    J’avais suivi de près le proces de Fabienne Kabou et ai retrouvé là l’essentiel des éléments, la lâcheté du compagnon étant mieux mise là en exergue. En revanche dans mes souvenirs Fabienne Kabou comprenait à la fin du procès qu’elle était folle et que voix, sorcellerie et autres voyantes n’étaient que des semblants d’explications auxquels elle se raccrochait. Je trouve un peu dommage que ça ait été transformé en effondrement en larmes dans le giron de son avocate.
    En revanche ce qui est intéressant c’est d’avoir inscrit cette histoire particulière dans celle de l’humiliation et la violence faites aux femmes de tous temps et toutes cultures.
    La dignité des différents protagonistes et la sobriété de la réalisation sont un des gros plus du film.
    Loïck G.
    Loïck G.

    323 abonnés 1 656 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2022
    Je suis un peu surpris par l’envolée lyrique autour de ce film et de son auréole transalpine quand il nous resitue assez classiquement les débats d’un prétoire judiciaire. Au niveau supérieur, une affaire d’assises, à travers un dossier dont la seule prononciation interdit tout qualificatif horrifié. Infanticide, le mot suffit à le rendre abjecte. Ce dont la réalisatrice se préserve en retenant du fait-divers la personnalité de l’accusée, à travers son histoire que remonte le tribunal en quête de compréhension. Et là Alice Diop révise un peu les fondements scénaristique de ce type de cinéma en invitant dans la salle d’audience , une romancière intriguée par l’affaire . Si elle n’est pas la seule, elle demeure particulièrement attentive aux débats qui s’engagent et Diop la filme si près que la jeune femme parait se livrer à une introspection, sinon vivre une psychanalyse. On aborde là enfin l’intérêt du processus judiciaire , pour quelques séquences furtives aux silences éloquents, aux regards puissants. Ce sont de véritables propositions de cinéma au cœur d’un dispositif narratif et scénique sans engager un moment la fonction même de la mise en scène. Que penseront les Oscars 2023 de notre ambassadrice. ? Personnellement j’irais « Revoir Paris » .
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    327 abonnés 603 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2022
    Je suis allé voir "Saint-Omer" avec une certaine appréhension.
    Je me rappelle parfaitement ce fait divers feuilletonné dans le Monde et qui m'avait sidéré à l'époque.
    L'affiche du film me magnétisait déjà avant d'entrer dans la salle.
    Et effectivement ce film se plante directement dans vos yeux dès la première image qui illustre un rêve que fait Rama, une jeune romancière qui est un peu le double de la réalisatrice qui assistat au procès de cette mère infanticide et sénégalaise comme elle ( c'est important de le préciser).
    De plus le film a été écrit avec Marie Ndaye.
    Une grande partie du film est consacré au projet qui a été reconstitué avec une très grande précision.
    Tout au long de celui-ci Rama va essayer de comprendre pourquoi elle se sent si proche de l'accusée. Enceinte de son premier enfant, dans une relation compliquée avec une mère qui lui a demandé de nier sa culture Wolof pour s'intégrer à une société française dans laquelle elle semble se demander quelle est son identité.
    Laurence Coly est une femme "fantôme" qui après avoir démarré des études de Philosophie perdra l'aide financière de ses parents et se retrouvera hébergée dans l'atelier d'un ami, sans ressources, ni sécu, obligée d'élever un bébé en s'aidant de You Tube.
    On touche ici à la violence que représente pour ces femmes déracinées et seules en France d'exister et de s'intégrer...
    Le film nous donne d'ailleurs des preuves par petites touches que Laurence ne sera finalement jamais intégré à cette société quand sa professeur de philosophie se moque à la barre de son choix de raconter qu'elle fait une thèse sur Wittengstein alors " qu'une femme d'origine africaine n'a rien à voir avec un philosophe austro-hongrois".
    J'ai vraiment apprécié qu'au cours du procès, la parole de l’accusée, l’écoute des témoignages fasse vaciller les certitudes de Rama et interrogent notre jugement.
    L'image est superbe et l'interprétation propre à un uppercut en plein visage.
    Le visage de l'actrice qui interpréte Laurence va me hanter pour longtemps.
    Je ne regrette pas d'être allé voir ce film qui a déjà gagné plusieurs prix et mériterait de remporter l'Oscar du meilleur film étranger.
    abdessamad ayadi
    abdessamad ayadi

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 novembre 2022
    Très bon film, prenant. Fait divers , l'actrice est représenté par la réalisatrice Alice Diop qui a vraiment assisté à ce jugement. Pas étonnant qu'il représente la France aux Oscars. Chef d'œuvre dans lequel on passe par plusieurs émotions.
    Yves 4.
    Yves 4.

    97 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2022
    Superbe film sur un fait dramatique récent , la grosse partie du film se passe au tribunal afin de comprendre le mécanisme du comportement de la mère et la mort de sa fille , mention très bien à cette actrice que je découvre , Guslagie Malanda jouant l'accusé d'infanticide.
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