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    Saint Omer
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    163 critiques spectateurs

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    William R. T
    William R. T

    2 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 novembre 2022
    Très bon film, les acteurs sont justes, après je dirais que je l'ai trouvé un peu trop long par moment. L'histoire est très bien retranscrite, on reconnaît la patte de Diop.
    PL06
    PL06

    9 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2022
    Avec un parti cinématographie assez tranché : le montage est constitué de très longs plans fixes, la caméra regarde les visages en gros plans, Alice Diop nous fait revivre de façon très réaliste le procès qui a suivi les faits. Les dialogues sont intenses et nous livrent peu à peu la personnalité complexe de Laurence, cette femme prévenue qui cherche elle-même à comprendre le pourquoi de son geste. Quelques longueurs révèlent la patience qu’il faut parfois dans une salle d’audience...
    Notre regard et nos sentiments sont mis à l’épreuve, sans jamais verser dans le pathos, sans jamais offrir un propos radical dans un sens ou dans l’autre. Alice Diop nous fait habilement entrer dans la position des jurés, dans les questionnements qu’ils vont devoir affronter.
    Beaucoup d’émotion pendant cette projection, et des débats passionnés à prévoir par la suite !
    Pierre P.
    Pierre P.

    5 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2022
    Un film d'une grande puissance narrative et visuelle et d'une complexité magnifique. Il me faudra le revoir pour en parler.
    Jipéhel
    Jipéhel

    52 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 novembre 2022
    Deux films parallèles

    Encore une fois, c’est le 1er film de la franc-sénégalaise Alice Diop que je vois. Et piur cause, car après une belle carrière de documentariste, elle réalise ici son 1er film de fiction. Quoique… Rama, jeune romancière, assiste au procès de Laurence Coly à la cour d’assises de Saint-Omer. Cette dernière est accusée d’avoir tué sa fille de quinze mois en l’abandonnant à la marée montante sur une plage du nord de la France. Mais au cours du procès, la parole de l’accusée, l’écoute des témoignages font vaciller les certitudes de Rama et interrogent notre jugement. Primé à la Mostra de Venise, ce drame est appelé à représenter la France aux Oscar… et là je m’interroge. Pour échapper au simple (?) film de procès, Alice Diop a développé parallèlement les évolutions d’un personnage de fiction, dont l’intérêt m’a totalement échappé. « Parallèlement », tout est là, car les parallèles, comme chacun sait, ne se rejoignent jamais. Et c’est bien là que le bât blesse.
    Après son Prix Jean Vigo et son Lion du meilleur premier film à Venise, on était d’endroit d’attendre beaucoup plus que ces 122 minutes longues, longues, longues… Derrière ce film se cache l'histoire vraie de Fabienne Kabou, une mère condamnée en 2017 pour infanticide. Le 20 novembre 2013, le corps de sa fille Adélaïde, 15 mois, est retrouvé par un pêcheur sur la plage de Berck-sur-Mer. Sa mère, qui ne l’avait jamais déclarée à l’état civil, l'avait abandonnée la veille sur cette plage à marée montante. Mobile du crime selon l’accusée : c'était plus simple comme ça ! Notre réalisatrice avoue une véritable obsession pour ce fait divers et pour la personnalité de la mère, sénégalaise comme elle. Aussi a-t-elle voulu montrer la complexité d’une femme noire intelligente et cultivée à travers les textes exacts notés durant les différentes sessions des Assises. Un pari difficile à réussir au cinéma. Il aurait sans doute pu être gagné si le scénario n’avait voulu ajouter, hélas de manière très artificielle, le personnage de la journaliste qui assiste au procès et, pour des raisons assez obscures, s’identifie peu à peu à l’infanticide. Pour moi, ça plombe totalement l’intérêt que j’aurais pu accorder à ce film.
    Kayije Kagame et Guslagie Malanda ne s’en tirent pas trop mal tout comme Valérie Dréville et Aurélia Petit. Les autres Xavier Lamy, Thomas de Pourquery, Robert Cantarella, jouent les utilités. L’ennui plane sur ce film – et très vite sur la salle -, la sublime photo de Claire Mathon déjà remarquée pour ses contribution à Polisse, Comme un avion, Portrait d’une jeune fille en feu, - couronné d’un césar pour sa photographie - ou Enquête sur un scandale d’état. De l’ambition non aboutie. Qui trop embrasse
    Audrey L
    Audrey L

    607 abonnés 2 517 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 novembre 2022
    On n'a visiblement pas vu le même film que ceux qui ont décidé de faire de Saint Omer notre représentant pour la compétition des Oscars (spoiler alert : on est fichus), tant la séance a été difficile à tenir jusqu'au bout. Concrètement, Saint Omer est un plan fixe, frontal, sans musique, en lumière pâlotte naturelle, sur fond uni marron, de l'actrice principale qui se tient debout, statique, les mains posées sur la balustrade devant elle, qui regarde à votre droite, et répète inlassablement "je ne sais pas". Ce plan d'une pauvreté inédite, qui peut durer jusqu'à dix minutes sans être interrompu (une éternité, on vous promet), vous allez le déguster sur deux heures, par à-coups totalement inutiles (des micro-interventions visuelles d'un gros plan du visage de la juge, puis celui de l'avocat, puis d'une personne dans l'assistance, en revenant à chaque fois entretemps manger dix minutes de "je ne sais pas" statique interminable...). Dans notre salle au début de la séance, six personnes (la promotion du film a été très discrète), au bout d'une heure : nous-même, qui nous tenons les paupières avec les doigts. On se doute bien de la justification "le procès réel s'est déroulé comme ceci" pour soutenir le propos du film, mais on se pose alors la question de l'intérêt de le montrer tel quel, sans mise en scène ni coupure de non-arguments (à part dire qu'elle ne sait rien, et répéter les mêmes arguments légers en boucle). L'enquête aurait été peut-être plus intéressante à voir, car en son absence, le procès seul est inconsistant, et étire sa longue logorrhée sans faits : on comprend de suite qu'elle spoiler: a des troubles psychiatriques
    , comme elle invente avoir fait des choses et ne se rappelle plus, à l'inverse, d'autres essentielles... Le suspens était absent, et la plaidoirie de l'avocate à la fin nous a désagréablement surprise : elle n'avance qu'un discours purement émotionnel et poétique, parmi lequel on cherche les faits et arguments (encore une fois), mais qui réussit l'exploit spoiler: de faire pleurer l'assistance, les jurés et même le juge
    (oh pitié... A ce stade, on se moque carrément de nous). Enfin, on n'a pas saisi l'obsession de la jeune maman d'assister et retranscrire ce procès, tentant un lien maladroit avec sa propre grossesse (elle a des doutes ? Qu'elle arrête de boire de l'alcool, déjà !). Vraiment, Saint Omer nous a donné l'impression de se payer notre tête, et notre patience.
    Luc WAGON
    Luc WAGON

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2022
    Un peu déçu par ce film encensé par la presse et qui représentera la France aux prochains Oscar. Le film se présente comme un documentaire et relate le procès d'une mère infanticide (inspiré par l'affaire Kabou). Beaucoup de longueurs, des plan fixes très longs sur les personnages, des silences trop accentués. La mise en scène du personnage de la jeune journaliste n'est pas vraiment utile au scénario, ça rajoute une psychose à un sujet déjà bien dramatique. La référence à Médée est tirée par les cheveux. Les acteurs sont sans relief sauf l'avocate de la défense (Aurélia Petit) et la juge (Valérie Dréville). Le tout s'étale sur deux heures tout de même !
    MC V
    MC V

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2023
    Grandiose excellent magnifique ! Film délicat et ferme dans ses convictions humanistes ! Un chef-d’œuvre et un outil pédagogique universel dont l’humanité gagnerait à le diffuser périodiquement et à l’étudier sans faux-semblants. Poignant tout en délicatesse et avec une pudeur sincère ! Film extrêmement profond et unique en son genre à tous les niveaux et dans tous ses aspects ! Mérite tous les prix et d’être classé chef-d’œuvre cinématographique et humaniste ! Bravo ! Merci !
    Manon
    Manon

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 novembre 2022
    Le film d'Alice Diop est inspiré d'un fait réel : une histoire d'infanticide avec pour accusée Fabienne Kabou.

    Premièrement, sur la forme : le film est horriblement lent et long. Surtout lorsqu'on sait le contenu qu'il y a dedans...

    En effet, le film veut tellement jouer sur la sobriété et l'effet film documentaire qu'on passe à côté de l'émotion que veut nous faire ressentir la réalisatrice du film. Par ailleurs, les personnages ne sont pas assez travaillés (un approfondissement au niveau de l'expertise psychologique et psychiatrique de l'accusée aurait été la bienvenue). De ce fait, le film manque de profondeur. Si la réalisatrice voulait nous faire ressentir de l'empathie pour cette mère infanticide, c'est raté.

    Heureusement, la plaidoirie de l'avocate de l'accusée sauve un peu la fin du film, que l'on connaît tous, sans avoir besoin d'aller au cinéma pour cela.

    En résumé, des recherches sur internet et un épisode de "Faites entrer l'accusé" suffisent à remplacer ce film judiciaire qui est pour moi très mauvais.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    253 abonnés 1 623 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2022
    Intensité dramatique, dialogues de grande qualité, thématiques riches et profondes pour ce film qui va bien au-delà du simple récit d’un fait divers et de son procès. Alice Diop, qui vient du documentaire, pose un cadre formel fondé sur l’épure et la distance. Pour évoquer l’histoire de l’accusée, elle refuse de s’aventurer sur le terrain de la reconstitution ou de l’immersion émotionnelle, même si l’émotion finit par jaillir vers la fin, frontalement, puissamment, lors de la plaidoirie de l’avocate. Dans le petit théâtre minimaliste d’une salle d’audience, la réalisatrice expose, laisse voir, laisse entendre, sans juger, mais en offrant son regard, son oreille. Éloquence passionnante. Il y a beaucoup d’intelligence dans la mise en scène, la mise en mots, la mise en silences, pour sonder de multiples mystères autour d’un parcours de vie, autour de la question de la maternité et de l’infanticide, du troublant pouvoir de donner à la fois la vie et la mort. Le portrait tragique de cette Médée moderne, noire, est abordé dans toute sa complexité, sans prétendre saisir l’insaisissable. Il est question d’éducation et de pression, d’ambition et d’humiliation sociales – sur fond de racisme ordinaire ou de relents post-coloniaux –, d’orgueil et de colère, de vérités et de mensonges, de solitude et d’isolement, d’intelligence et de délire. Le portrait donne aussi à ressentir une humanité et une monstruosité des abysses, quand une mère laisse son enfant à la mer… Ce pan de l’histoire, sourdement déchirant, est la grande réussite du film. L’autre pan, c’est le contrepoint avec le personnage de l’écrivaine. Autre point de vue. Jeu de miroir, de résonances entre les deux femmes, habilement déployé pour élargir le champ de réflexion sur les liens filiaux et plus précisément les relations mères-filles. Sur ce pan, la fibre est plus émotionnelle, viscérale, et le dispositif s'avère intéressant, même s’il y a quelques répétitions et même si, en voulant boucler la boucle, la réalisatrice tarde à conclure. Pourquoi ne pas avoir terminé le film sur les vues de Saint-Omer et la chanson de Nina Simone ? C’eût été parfait. Petit regret qui n’enlève rien à la conviction d’avoir affaire à du très bon cinéma.
    CinemaxGhinozzi
    CinemaxGhinozzi

    13 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2022
    Doublement récompensé à la Mostra de Venise cette année, Saint-Omer arrive enfin en salles françaises. Même si je n'attendais pas spécialement ce film, les récompenses reçues m'ont fait dire en m'asseyant sur mon siège que j'allais passer un grand moment de cinéma, mais mon espoir fut, à ma grande déception, trop grand.
    Faire un film qui tient sur une histoire judiciaire, c'est bien ; là dérouler pendant les deux tiers du métrage (1h20 environ) dans un tribunal, c'est plus compliqué à tenir. Même si on se plaît à découvrir l'histoire du meurtre de cet enfant de 15 mois par sa mère à travers ce long récit intimement lié au mythe de Médée, au bout d'un moment, le propos traité peut-être intéressant mais on sent le temps passé. Dans le même style, Les Choses humaines d'Yvan Attal sorti l'année dernière s'en sortait mieux car les personnages introduits avant le procès étaient plus ambigus. J'ai été très déçu qu'on ne donne pas plus de place à Rama, campé par Kayije Kagame qui est une actrice somptueuse : ce personnage nous est d'abord présenté par une voix à la fois suave et autoritaire, puis on découvre petit à petit une femme qui doute, sensible, craintive. A l'inverse, j'ai trouvé le personnage de Laurence trop plat, sans nuance dans son comportement : faute peut-être à un jeu trop théâtralisé. D'un point de vue plus personnel, je ne suis pas adepte des voix a cappella qui inonde le champ sonore à certains moments. En revanche, j'ai bien mieux apprécié spoiler: le monologue de l'avocate de Laurence Coly face caméra :
    il témoigne d'une vision très personnelle de la réalisatrice sur le rapport entre une mère et son enfant.
    J'ai du mal à comprendre comment ce film a-t-il été primé : il est bon, certes, mais ne possède rien d'exceptionnel selon moi. Néanmoins, je ne nie pas le talent évident de la réalisatrice Alice Diop notamment dans les termes abordés à l'écran, elle réussira à s'imposer sur le devant de la scène dans les années à venir.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 303 abonnés 4 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2022
    "Saint Omer" de Alice Diop est un film qui s'écoute, sur un procès (celui d'une femme accusée d'homicide sur son nouveau né) captivant de bout en bout...
    Boris&Flo
    Boris&Flo

    15 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 février 2023
    Mon épouse et moi attendions ce film avec impatience, le sujet nous intéressait beaucoup.Nous avions lu quelques articles,
    Nous avons acheté nos place pour une avant-première. Quel choc.
    Après avoir lu des critiques excellentes et après avoir compté les prix internationaux que ce film a obtenu, nous sommes plus que déçus.
    La forme est très dérangeante, ennuyeuse. est-ce un documentaire ou une fiction, une pièce de théâtre?
    Même si nous comprenons le fond social sous le fait divers mais il y a trop de prétention, trop d'ambition.
    Le personnage de la romancière Rama est bien joué, bien qu’il soit ne soit pas nécessaire et qu'il serve de miroir à la réalisatrice.
    Le personnage de l’accusée en revanche essentiel est très étrangement interprété, voix monocorde, regard vide. L'actrice a expliqué dans une interview quelle s'était inspirée de Ingrid Bergman dans le merveilleux film du procès de Jeanne d'Arc. Quelle prétention, encore une fois!
    Nous avons été surpris par les hommes dans ce film : Le mari de la romancière fou amoureux de sa femme caractérielle, froide, distante ! Le procureur général est trop peu entendu d’ailleurs ! Le compagnon de l’accusée est un méchant, lâche profitant de cette intellectuelle de la bourgeoisie sénégalaise.
    Comme si ces personnages ne comptaient pas pour la réalisatrice.
    Les scènes familiales de la romancière n’amènent rien sauf le fait que la fille, la romancière est très froide avec sa mère, égoïste et peu affectueuse.
    La scène de fin ? Un monologue gênant presque risible avec ce regard caméra pour nous arracher des larmes et notre indulgence envers la criminelle.
    La sensation que cette plaidoirie est destinée à faire pleurer le spectateur. Ce n’est pas agréable du tout avec cette impression que l'on se moque de nous. Cette histoire de cellules spoiler:
    chimériques est un mensonge et ça, ce n'est pas très beau de la part des scénaristes;

    Un film décrit comme politique et féministe, parlant de la maternité et d’une meurtrière, nous n'avons rien vu de tout cela.
    Nous avons vu un film dissertation tres clivant, qui crée des antagonismes entre personnes de couleur er personnes blanches.
    C’est un film documentaire sur la propre vie de la réalisatrice selon son prisme social, sa famille qu’elle décrit merveilleusement dans son documentaire Nous qui appelait à former une vraie France .pour toutes et tous.
    Ce film est tout l’inverse. Désolant.
    NardoBordo
    NardoBordo

    11 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2022
    Sujet délicat, horrible, l'infanticide. Un jugement est obligatoire mais lequel ? La tendance à accabler l'autrice de ces "faits divers" sur le coup de l'émotion est rassurant pour soi, en rejet. En déroulant la pelote, tout n'est pas si évident, clair. Jeter l'opprobre est plus facile mais... Le premier film de Alice Diop a une note documentaire sans voyeurisme, il permet de réfléchir et d'arrondir sa réflexion.
    c Kayije Kagame, Guslagie Malanda, Valérie Dréville jouent à merveille ce film de femmes pour tous !
    Damien
    Damien

    156 abonnés 429 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 février 2023
    Alice Diop mêle un drame sordide avec une mère infanticide (Guslagie Malanda), une relation distante entre une romancière (Kayije Kamage) et sa mère (Adama Diallo Tamba) et la grossesse angoissante de la romancière dans un style austère, sur un rythme lent et avec un regard froid. Un film extrêmement aride et difficile.
    paganini
    paganini

    8 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 novembre 2022
    on comprend au bout de 5 minutes que l'accusée à des troubles psy. des lors ça ne prends plus, c'est mal joué (le père est ridicule), les longs cadrages plombent, c'est juste long et ennuyeux. reste alors l'étude sur la maternité en découlant, mais la encore ça ne touche pas. 2h bien pénibles.
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