Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Cheffe d’orchestre captant la note juste de chaque soliste et de chaque fil formel et narratif, au service de son propos, Alice Diop atteint ici un très haut niveau de cinéma humaniste et politique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film bouleversant.
Elle
par Françoise Delbecq
Une première fiction magistrale.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un film puissant et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Un film puissant et viscéral, qui hante longtemps le spectateur, et nous fait nous interroger individuellement et collectivement sur cette figure de Médée moderne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Saint-Omer est un brillant film de procès, d’une intelligence rare.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Semé de silences parlants et de détails visuels puissants, le film s’enrichit, chemin faisant, de plaidoiries où l’émotion affleure, intense. À croire que le cinéma d’Alice Diop, unique en soi, au croisement du documentaire et de la fiction, a des pouvoirs magiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Film passionnant, à la fois lent et dense, « Saint-Omer », qui a remporté le Lion d’argent à la Mostra de Venise, est un grand film par ce qu’il raconte, mais aussi par la puissance de son incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Foncer voir « Saint Omer », grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
C’est aussi une œuvre qui sait accueillir le silence comme rarement et filme avec une très grande intensité les femmes de ce tribunal qui s’écoutent et se taisent. C’est bien à une écoute et à une attention totales que nous invite Saint Omer, comme une expérience de cinéma partageable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Faire un film extraordinaire sur la maternité en partant d’un infanticide. Faire un film sec, intègre, intelligent à partir d’un épouvantable fait divers. Voilà le petit miracle de Saint Omer, premier long métrage de fiction de la cinéaste Alice Diop [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Cheze
L'une des plus grandes compositions de 2022.
Positif
par Stéphane Goudet
Voici un film de procès qui refuse de juger, au point d’oser se dispenser de filmer le réquisitoire de l’avocat général et le verdict final, connu d’avance. L’essentiel est ailleurs. Alice Diop recherche l’empathie, la compréhension sans la compassion, l’humain derrière l’inhumain, sans jamais nier la monstruosité irréductible des faits.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Saint Omer n’est pas un simple récit judiciaire. C’est un éblouissement d’écriture, subtil, sur le déterminisme culturel et familial, le cinéma et la maternité avortée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Alice Diop se sert de son expérience de documentariste («La permanence», «Nous») pour réaliser un premier film bouleversant et singulier qui aborde la question de la maternité et toute sa complexité.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
C’est le risque du consensus, devenir un écran empêchant de voir les vraies forces d’un film, et qui sont ici peut-être juste-ment celles d’un grand film : réussir à faire éclater ces distinctions, à élargir et à rendre diffuses ces barrières. [...] Ce n’est pas consensuel, mais « forcément sublime (...).
CinemaTeaser
par Renan Cros
Le film sidère par sa puissance, sa grâce et son mystère.
Critikat.com
par Damien Bonelli
La première fiction d’Alice Diop, documentariste remarquée, s’inspire à la fois d’un mythe grec et de la sorcellerie, ce qui ne surprendra pas les spectateurs familiers d’une œuvre à l’affût des puissances tapies dans les existences les plus ordinaires.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Derrière l'apparent académisme du film de procès, Saint Omer déploie une ampleur et un mystère qui le font presque tendre vers le fantastique. Pour son premier long-métrage de fiction, Alice Diop signe une œuvre profonde, intelligente, touchante et radicale qui rend impatient de découvrir vers quels horizons de cinéma elle se tournera par la suite.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Dans sa radicalité et posant plus de questions qu’il apporte de réponses, le film n’aurait sans doute pas déplu à cet autre grand cinéaste de l'épure qu'est Robert Bresson.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Plus qu’ému, on en sort terrassé par la façon magistrale dont Diop a su tenter de saisir l’insaisissable et de remettre en cause les idées reçues.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Un drame sobre et intense.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par David Ezan
Voilà peut-être l’éclatant exploit du film : avoir logé dans un seul visage une infinie quantité d’images, dans lesquelles miroite en creux la souffrance indicible des femmes, des mères, des Noires.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un puissant tableau post-colonial.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
S’inspirant d’une histoire vraie, Alice Diop (Nous) signe un premier film de fiction radical et exigeant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Saint-Omer est un long-métrage âpre, éprouvant et glaçant de maîtrise.
Première
par Thomas Baurez
Saint-Omer est un long-métrage frontal, direct. Les plans le plus souvent fixes, empêchent la dispersion. A l’image de Florence (Guslagie Malanda, impressionnante) C’est pourtant un vrai film de procès, avec sa quête de vérité, où les circonvolutions sont nombreuses.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un film puissant sur la maternité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Le sensationnel et le jugement moral ne sont pas l'affaire d'Alice Diop. Son affaire à elle, c’est le regard de Rama sur Fabienne, regard d’une femme noire sur une autre femme noire, regard d’une mère en devenir sur une mère devenue fantôme. Cette focalisation donne au film une précision inouïe, une parfaite attention au protocole judiciaire.
Télé Loisirs
par S.O.
Austère, mais brillant.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une œuvre radicale, puissante et dérangeante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Adrien Gombeaud
« Saint Omer » réussi le portrait d'une tueuse énigmatique, glaciale et brisée, magistralement campée par Guslagie Malanda, sans convaincre totalement. Malgré plusieurs moments de bravoure et d'audace, le premier long-métrage d'Alice Diop laisse un léger sentiment d'incomplétude.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce film qui s’inspire d’un fait divers sinistre (l’affaire Fabienne Kakou) n’évite malheureusement pas les pièges de l’édification et une certaine confusion.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Le Figaro
par Etienne Sorin
Alice Diop s’inspire d’un fait divers et raconte le procès qui a suivi. Une histoire sans chair.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Cheffe d’orchestre captant la note juste de chaque soliste et de chaque fil formel et narratif, au service de son propos, Alice Diop atteint ici un très haut niveau de cinéma humaniste et politique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film bouleversant.
Elle
Une première fiction magistrale.
L'Humanité
Un film puissant et dérangeant.
La Croix
Un film puissant et viscéral, qui hante longtemps le spectateur, et nous fait nous interroger individuellement et collectivement sur cette figure de Médée moderne.
Le Dauphiné Libéré
Saint-Omer est un brillant film de procès, d’une intelligence rare.
Le Journal du Dimanche
Semé de silences parlants et de détails visuels puissants, le film s’enrichit, chemin faisant, de plaidoiries où l’émotion affleure, intense. À croire que le cinéma d’Alice Diop, unique en soi, au croisement du documentaire et de la fiction, a des pouvoirs magiques.
Le Parisien
Film passionnant, à la fois lent et dense, « Saint-Omer », qui a remporté le Lion d’argent à la Mostra de Venise, est un grand film par ce qu’il raconte, mais aussi par la puissance de son incarnation.
Le Point
Foncer voir « Saint Omer », grand film.
Les Inrockuptibles
C’est aussi une œuvre qui sait accueillir le silence comme rarement et filme avec une très grande intensité les femmes de ce tribunal qui s’écoutent et se taisent. C’est bien à une écoute et à une attention totales que nous invite Saint Omer, comme une expérience de cinéma partageable.
Libération
Faire un film extraordinaire sur la maternité en partant d’un infanticide. Faire un film sec, intègre, intelligent à partir d’un épouvantable fait divers. Voilà le petit miracle de Saint Omer, premier long métrage de fiction de la cinéaste Alice Diop [...].
Ouest France
L'une des plus grandes compositions de 2022.
Positif
Voici un film de procès qui refuse de juger, au point d’oser se dispenser de filmer le réquisitoire de l’avocat général et le verdict final, connu d’avance. L’essentiel est ailleurs. Alice Diop recherche l’empathie, la compréhension sans la compassion, l’humain derrière l’inhumain, sans jamais nier la monstruosité irréductible des faits.
aVoir-aLire.com
Saint Omer n’est pas un simple récit judiciaire. C’est un éblouissement d’écriture, subtil, sur le déterminisme culturel et familial, le cinéma et la maternité avortée.
CNews
Alice Diop se sert de son expérience de documentariste («La permanence», «Nous») pour réaliser un premier film bouleversant et singulier qui aborde la question de la maternité et toute sa complexité.
Cahiers du Cinéma
C’est le risque du consensus, devenir un écran empêchant de voir les vraies forces d’un film, et qui sont ici peut-être juste-ment celles d’un grand film : réussir à faire éclater ces distinctions, à élargir et à rendre diffuses ces barrières. [...] Ce n’est pas consensuel, mais « forcément sublime (...).
CinemaTeaser
Le film sidère par sa puissance, sa grâce et son mystère.
Critikat.com
La première fiction d’Alice Diop, documentariste remarquée, s’inspire à la fois d’un mythe grec et de la sorcellerie, ce qui ne surprendra pas les spectateurs familiers d’une œuvre à l’affût des puissances tapies dans les existences les plus ordinaires.
Ecran Large
Derrière l'apparent académisme du film de procès, Saint Omer déploie une ampleur et un mystère qui le font presque tendre vers le fantastique. Pour son premier long-métrage de fiction, Alice Diop signe une œuvre profonde, intelligente, touchante et radicale qui rend impatient de découvrir vers quels horizons de cinéma elle se tournera par la suite.
Franceinfo Culture
Dans sa radicalité et posant plus de questions qu’il apporte de réponses, le film n’aurait sans doute pas déplu à cet autre grand cinéaste de l'épure qu'est Robert Bresson.
L'Obs
Plus qu’ému, on en sort terrassé par la façon magistrale dont Diop a su tenter de saisir l’insaisissable et de remettre en cause les idées reçues.
LCI
Un drame sobre et intense.
La Septième Obsession
Voilà peut-être l’éclatant exploit du film : avoir logé dans un seul visage une infinie quantité d’images, dans lesquelles miroite en creux la souffrance indicible des femmes, des mères, des Noires.
Le Monde
Un puissant tableau post-colonial.
Les Fiches du Cinéma
S’inspirant d’une histoire vraie, Alice Diop (Nous) signe un premier film de fiction radical et exigeant.
Paris Match
Saint-Omer est un long-métrage âpre, éprouvant et glaçant de maîtrise.
Première
Saint-Omer est un long-métrage frontal, direct. Les plans le plus souvent fixes, empêchent la dispersion. A l’image de Florence (Guslagie Malanda, impressionnante) C’est pourtant un vrai film de procès, avec sa quête de vérité, où les circonvolutions sont nombreuses.
Sud Ouest
Un film puissant sur la maternité.
Transfuge
Le sensationnel et le jugement moral ne sont pas l'affaire d'Alice Diop. Son affaire à elle, c’est le regard de Rama sur Fabienne, regard d’une femme noire sur une autre femme noire, regard d’une mère en devenir sur une mère devenue fantôme. Cette focalisation donne au film une précision inouïe, une parfaite attention au protocole judiciaire.
Télé Loisirs
Austère, mais brillant.
La Voix du Nord
Une œuvre radicale, puissante et dérangeante.
Les Echos
« Saint Omer » réussi le portrait d'une tueuse énigmatique, glaciale et brisée, magistralement campée par Guslagie Malanda, sans convaincre totalement. Malgré plusieurs moments de bravoure et d'audace, le premier long-métrage d'Alice Diop laisse un léger sentiment d'incomplétude.
Marianne
Ce film qui s’inspire d’un fait divers sinistre (l’affaire Fabienne Kakou) n’évite malheureusement pas les pièges de l’édification et une certaine confusion.
Le Figaro
Alice Diop s’inspire d’un fait divers et raconte le procès qui a suivi. Une histoire sans chair.